La Marseillaise

La rédaction 3 octobre 2025

Le soleil brûlait à Marseille quand j’ai poussé la porte de l’immeuble où j’avais réservé un appartement pour la semaine. Dans le hall, elle m’attendait, un trousseau de clés à la main et un air malicieux dans le regard. Voici mon histoire de sexe érotique.

 -Bienvenue ! Je suis Léa, c’est moi qui loue l’appart. Vous avez fait bon voyage ?

L’hospitalité marseillaise

Son accent chantant et son air amusé m’ont pris de court. Elle était superbe, blonde et élégante dans sa robe d’été légère, le genre de femme qu’on remarque instantanément. Et moi ? Moi, j’avais une copine qui allait arriver le lendemain, mais soudain, cette information me parut bien secondaire.

Elle me fit visiter l’appartement, détaillant les petites attentions qu’elle avait préparées. J’écoutais à peine, trop absorbé par la façon dont ses mains effleuraient distraitement le comptoir de la cuisine, la manière dont ses yeux pétillaient quand elle me parlait.

 -Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas. Même si c’est juste un bon resto à tester, ajouta-t-elle en me lançant un regard appuyé.

 L’occasion était trop belle. 

 -En fait, j’allais justement vous demander… Vous seriez libre pour en essayer un ce soir ?

Elle haussa un sourcil, amusée, puis fit tourner les clés entre ses doigts avant de répondre en souriant :

 -Pourquoi pas ? Après tout, l’hospitalité marseillaise, c’est sacré.

Je ne sais pas ce qui m’avait pris, c’était trop tentant et désormais c’était trop tard pour faire marche arrière. Je ne pensais pas que ce serait aussi spontané, mais j’avais bien vu qu’elle me trouvait quelque chose qui lui plaisait.

Le soir, je l’ai retrouvée au resto, elle était toute pimpante, maquillée à la perfection et elle avait toujours ce regard et ce sourire malicieux. Elle m’a fait encore plus d’effet que la première fois. Tout était fluide et le dîner délicieux.

Fellation improvisée

À la fin, nous avons erré dans les rues de Marseille, un peu comme des amoureux, elle me tenait le cou et moi par la taille. Elle m’a entraîné sous un porche pour m’enlacer. Il n’y avait personne dans la rue et elle y est allée franco : elle s’est agenouillée pour sortir ma queue en pleine rue et la fourrer dans sa bouche humide et agile. J’ai trouvé son audace folle, démesurée. Sa bouche, sa langue, sur ma queue, ses yeux clos dans la pénombre, le rais de lumière du réverbère sur son visage, c’était incroyable.

Je l’ai ramené à la raison et nous nous sommes dirigés vers son appartement. La porte à peine fermée, elle s’est jetée à mes pieds pour me gober les couilles et la bite. Elle était avide de ça, on aurait dit qu’elle était en manque !

Avec son autorisation, je l’ai photographiée en train de me sucer. J’adore voir les bouches déformées par une fellation, je trouve ça esthétiquement canon. Elle m’a sucé, sucé, j’aurais voulu aller plus loin, mais elle était si adroite et si sensuelle que j’ai giclé dans sa bouche, sans pouvoir me retenir. Elle m’a dit que voir un mec prendre son pied était ce qui l’excitait le plus. Lorsqu’elle m’a demandé un cunni en échange, j’ai rebandé aussitôt et elle a joui en un rien de temps sous mes coups de langue. J’étais moi aussi ravi de la voir s’épanouir sous mes caresses.

Le lendemain, je l’ai prise en photo sur le lit, son corps baigné de soleil. Elle a aussi posé pour moi topless sur le balcon, pour me laisser un souvenir vraiment impérissable, puis elle est repartie comme une voleuse et ma copine est arrivée. Elles se sont même probablement croisées dans l’escalier… J’espérais que ma copine ne se rendrait pas compte que mes draps et ma bouche étaient encore imprégnés de l’odeur de cette Marseillaise volage. 

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