Mon beau-père et moi

La rédaction 4 février 2019

Aurélie, femme au foyer.

Je suis une femme au foyer avec deux enfants. Il y a un mois, je suis allée chez mon beau-père pour lui faire du repassage. Quand il m’a vue, il a souri et fait la bise comme d’habitude. J’étais un peu fatiguée et stressée. Jean m’a demandé ce qui n’allait pas. Il s’est approché de moi, et j’ai fondu en larmes. Alors il m’a prise dans ses bras pour me consoler, et j’ai craqué. Je lui ai dit que son fils ne m’avait pas touchée depuis plus de deux mois. Il a eu l’air surpris. J’ai passé les bras autour de sa taille et posé ma tête sur son épaule. Il me caressait les cheveux en disant que tout allait s’arranger, et qu’il fallait être patiente.

Je me serrais de plus en plus fort contre lui en pleurant. Il a déposé quelques baisers dans mon cou. Ça m’a fait frissonner de la tête aux pieds. Il s’en est aperçu et il m’a serrée encore plus fort. J’avais passé une jambe entre les siennes et je percevais une grosseur contre ma cuisse. Je ne bougeais plus, mais je le sentais qui ondulait légèrement. Le volume de la bosse augmentait de plus en plus… Je me sentais bizarre. Tout mon corps se réchauffait. Jean me donnait de plus en plus de baisers dans le cou et sur mon épaule qui était légèrement dénudée.

Il m’a repoussée doucement. Ses yeux brillaient dans les miens. Il a déposé un baiser sur mes lèvres, et j’ai fondu. Je lui ai dit que j’avais besoin d’amour aussi, comme tout le monde. Il a eu l’air étonné que je lui dise ça… Je me suis blottie dans ses bras à nouveau. J’ai osé lui demander s’il avait envie de me faire l’amour. Je lui ai dit que ça me manquait beaucoup… Si vous aviez vu sa tête ! Il a réfléchi quelques minutes et il m’a prise dans ses bras pour me porter jusqu’à sa chambre. Là, il m’a déshabillée entièrement avec une grande douceur, très lentement. Je l’ai laissé faire, en fermant les yeux. Il a reconnu que son fils était un sacré idiot de ne pas s’occuper « d’une femme pareille ».

Ses mains se sont posées sur mon corps pour le parcourir entièrement, j’ai chuchoté un petit râle de plaisir et j’ai ouvert les yeux. Il était debout devant moi. Il se déshabillait. Lorsqu’il a retiré son caleçon, j’ai vu jaillir une belle queue tendue, pas très longue, mais très large. Mon regard s’est fixé dessus.

Il s’est allongé près de moi et a embrassé toutes les parties de mon corps. Il a léché mes seins qui sont très sensibles, puis mon entrecuisse. Je coulais de bonheur. Nous nous sommes caressés de longues minutes. Je tenais enfin sa queue dans la main. Je l’ai embouchée. J’ai eu beaucoup de mal à la prendre entièrement en bouche tellement elle était épaisse. Je l’ai sucée, léchée, j’ai caressé ses couilles. J’étais devenue une vraie salope devant cette queue dressée. Je l’ai supplié de me prendre rapidement, j’avais très envie… Mon corps était en feu !

Doucement, il s’est glissé sur moi en embrassant mon corps au passage, mon ventre, mon nombril, mes seins. J’ai senti sa queue tendue frotter contre l’entrée de ma chatte. Jean s’est relevé sur ses bras, et j’ai attrapé sa bite pour caresser mon bouton avec son gland tout luisant. J’en avais plein les doigts. Son engin palpitait dans ma main. Lentement, j’ai tiré dessus en lui disant de me la mettre. Il m’a pénétrée tout en douceur. Sa queue a coulissé en moi. Bientôt, il m’a remplie tout à fait.

Une sensation intense s’est déclenchée dans mon ventre, et j’ai joui d’un coup ! J’ai hurlé de plaisir. Il y avait si longtemps que je n’avais pas eu de queue… Celle de Jean était un vrai cadeau de la nature. J’en prenais plein la chatte. Nous avons commencé à onduler ensemble et nous sommes partis dans une chevauchée fantastique. Je le sentais me labourer de l’intérieur. J’allais au-devant de ses coups de reins. Ma chatte coulait le long de mes cuisses. Cela faisait si longtemps ! Je gémissais de plus en plus fort. Ma chatte avalait toute cette queue épaisse. Mes parois intimes s’enroulaient à la perfection autour de ce vigoureux poteau. Elle me semblait si énorme en moi !

À présent je râlais de plaisir sans discontinuer. J’en voulais toujours plus. Jean me pistonnait en conséquence. Je me sentais extrêmement dépravée, mais c’était tellement bon cette grosse queue. Il était pris en tenaille entre mes jambes et mes bras. J’ondulais comme une déchaînée. Jean haletait. J’ai senti qu’il s’enfonçait plus fort en moi, sa queue gonflait… Il a joui dans un vrai torrent de sperme, avec de puissantes saccades. Il râlait de plaisir.

Nous restions collés serrés. Il continuait à me baiser plus doucement, pour finir sa jouissance et la mienne. Heureusement que je prenais la pilule, ai-je pensé… J’avais du foutre plein la chatte ! Il s’est enfin écroulé de tout son poids sur moi. Son corps tremblait de partout. Lorsqu’il s’est retiré, le sperme a coulé en abondance. Nous nous sommes caressés et choyés durant de longues minutes. Jean m’a fait ma toilette intime. En le regardant faire, j’ai décidé que je reviendrais bientôt pour le voir à nouveau… Et depuis, nous l’avons refait plusieurs fois. C’est mon amant maintenant, et ça me plaît autant qu’à lui… En plus, ça reste dans la famille comme ça !

(Photo à la une : Getty Images)

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