Émois d’antan
15 février 2019Gilles, 53 ans, Indre-et-Loire
J’ai aujourd’hui la cinquantaine, mais récemment je me suis mis à repenser à ma jeunesse, principalement pour m’exciter. Malgré mon mariage, j’aime toujours autant me branler, que ce soit avec votre magazine, des vidéos ou, encore mieux quand c’est bien fait, des souvenirs.
J’avais 18 ans quand je faisais ma rentrée en terminale. J’avais redoublé et je n’étais pas la coqueluche de la classe, loin de là. Mais il y avait une autre fille un peu comme moi, un peu plus âgée, un peu dans ses rêves, un peu ailleurs. Je la regardais en douce, elle et ses longs cheveux blond vénitien qui encadraient son visage pâle et ses seins déjà lourds et pleins. Je rêvais de les toucher, je les imaginais de tout un tas de façons, une fois rentré chez moi. Il nous arrivait parfois de faire un bout de chemin à pied à travers champs pour rentrer chez nos parents après le lycée. On ne parlait pas beaucoup, mais c’était comme une évidence, comme si nos âmes étaient faites pour la présence de l’autre. Une fois, j’avais essayé maladroitement de l’embrasser et elle s’était laisser faire, m’avait même guidé de sa bouche beaucoup plus sûre d’elle que la mienne, qui tremblait presque d’hésitation. C’était devenu un rituel. Nous marchions et nous nous quittions sur ce baiser qui était l’acmé de notre route ensemble, et qui me donnait de quoi me masturber le soir, transi de désir pour elle. J’avais déjà eu des relations sexuelles, mais je n’avais jamais désiré autant une femme. Sa présence me rendait tout mou et en même temps, dur entre les jambes.
Un jour que notre baiser durait plus longtemps que d’habitude, nichés dans notre cachette, sous un arbre dans un champs de hautes herbes, ma belle m’a attiré à elle plus fermement et s’est assise par terre, m’entraînant dans sa chute. Je me retrouvais à genoux entre ses jambes, ne sachant que faire. C’est alors qu’elle a soulevé son chemisier pour découvrir sa poitrine que je rencontrais enfin ! Je la touchais, émerveillé, soupesant la chair blanche dans ma main éblouie. Lila, c’était son nom, m’a regardé de cet air provocateur et impénétrable dont elle avait le secret et a écarté les cuisses. Elle avait retiré sa culotte (ou n’en avait pas porté de la journée !) et je voyais son sexe jeune, ses lèvres un peu bombées, sa toison claire sous sa jupe. J’avais tendu la main pour caresser ce sexe qu’elle me donnait, et j’avais bandé très fort en sentant la peau et les plis de cet endroit si délicat sous mes doigts. J’étais entré en elle et je me souviendrai toujours du plaisir que j’ai eu à la sentir autour de ma queue qui glissait maladroitement dans sa chatte, de ses petits gémissements rapides, de ses seins blancs sur lesquels je posais mon regard et de ses yeux perdus dans les miens. Son sexe était tout serré autour de moi, comme une main de velours dans laquelle je me branlais. Elle m’avait donné un plaisir infini. Je m’étais retiré d’elle pour éviter les mésaventures et j’avais giclé sous ses yeux attentifs, devant sa nudité déjà si sensuelle et adulte. Cette scène m’a donné un réservoir de souvenirs pour des années entières de plaisirs solitaires, en plus des fois où nous avons recommencé. Aujourd’hui, à 53 ans, je continue à convoquer ces images en me revoyant en terminale et en l’imaginant, elle, les jambes écartées dans les hautes herbes.
(Image à la une : Getty Images)
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