Mobile-home et gémissements

La rédaction 4 février 2023
Cris et chuchotements

Myriam est une jeune fille très douce que j’ai rencontrée à l’occasion d’un enterrement de vie de garçon mixte, ambiance paintball et accrobranche. Ça se fait de plus en plus, paraît-il. En tout cas, c’était l’argument du témoin qui organisait la journée. En gros, le programme ne passionnait personne, mais on la fermait pour faire plaisir au marié. Bref, ma seule motivation a rapidement tourné autour de cette petite nana joyeuse et rigolote qui offrait son sourire à tout le monde : Myriam. Ses yeux finement bridés, son rire spontané et son sympathique derrière convenaient parfaitement à mon envie actuelle, c’est-à-dire un bon plan cul, sympa et pas compliqué. Eh bien, c’est exactement ce que j’ai trouvé avec elle et je m’en félicite. Je m’appelle Jérémy, j’ai 27 ans et voici mon histoire porno.

Douce partenaire de jeu

Bref, la journée tournait en rond et après une séance de paintball correcte, je n’avais en revanche aucune envie de me farcir l’accrobranche. Je me suis débrouillé pour me retrouver dans l’équipe de Myriam. Nous portions toujours nos combinaisons de paintball, donc on nous a demandé de nous changer. Sous les arbres, il y avait des mobile-homes destinés à cet effet. Comme la météo n’était pas formidable, nous étions le seul groupe présent sur le site ce jour-là, la majorité des mobile-homes était vide. J’ai attiré ma nouvelle copine vers l’un d’eux. La porte était ouverte. Il régnait là-dedans une ambiance de vestiaire, avec cette petite odeur d’humidité caractéristique des endroits qui ne servent qu’une partie de l’année.

Myriam s’est blottie contre moi, elle avait un peu peur, je crois. Après tout, nous étions au fin fond des bois, isolés. « On se change ?« , ai-je proposé. Elle a souri en ouvrant langoureusement le zip de sa combinaison. En dessous, elle portait simplement un T-shirt blanc décolleté, à travers lequel on pouvait aisément distinguer ses tétons bruns. En bas, un tout petit short de couleur bleu ciel moulait ses hanches étroites.
Quand elle s’est baissée pour tirer sur la combinaison, elle m’a offert une vue plongeante sur ses seins mignons. Elle n’avait pas dû penser que j’étais en train de la mater. Elle a certainement fini par sentir mon regard sur elle, car ses yeux sont remontés vers moi. Elle a rougi, mais ne s’est pas dérobée. Sa charmante poitrine était toujours aussi visible.

Je savais qu’elle savait que je savais qu’elle le savait. J’ai ouvert ma combinaison et baissé mon froc pour lui montrer ma bite. J’ai été un peu déçu quand elle a rigolé. Mais c’était seulement sa manière de réagir en gardant un minimum de tenue. De toute façon, j’avais déjà une bonne mi-molle, ce n’était pas le moment de jouer les susceptibles. Elle m’a fait les gros yeux comme si elle allait me gronder et a poussé un timide « rrhhô » de reproche. Mais ce que disait son expression, son corps l’a aussitôt contredit : elle a approché son visage de ma queue et l’a léchée amoureusement en caressant mes couilles. Elle couinait doucement. On aurait dit qu’elle consolait un petit animal. C’était bizarre, mais je n’allais surtout pas faire mon compliqué… Elle m’a pompé un moment comme ça, c’était très tendre. Toutefois, il allait m’en falloir plus! Je me suis déchaîné. autant littéralement sur elle, je me suis senti chien de meute.

Des gémissements incontrôlables

Je l’ai prise dans mes bras, je l’ai serrée très fort en l’embrassant dans le cou, en humant tous ses recoins. Je suis passé derrière pour lui arracher ce tout petit short bien énervant. Je suis tombé sur un string blanc en coton. Chic alors. J’ai croqué dedans et j’ai tiré avec les dents. Elle a présenté sa croupe en poussant un petit cri de souris. Sa chatte luisante de mouille me tendait les bras. J’ai plongé ma langue entre ses lèvres au soyeux poil noir. Elle a gémi vraiment fort et, pendant un instant, j’ai eu peur qu’elle ne rameute les autres. Mais non, apparemment, on pouvait se faire baiser sans crainte au fond de ces bois.

En attaquant sa rondelle avec le plat de ma langue, j’ai senti qu’elle n’était pas étrangère à la sodomie, et j’ai scotché un post-it mental au fond de ma boîte crânienne : « Note pour plus tard… » Son cul est venu vers moi avec plus de force. J’ai plaqué ma main sur sa chatte pour la faire jouir à fond. Elle a soufflé très fort et a ponctué le final de son orgasme par un « aaaah ! » très aigu. C’était beau et étrange. Elle s’est écroulée par terre sur sa combinaison de paintball souillée et s’est retournée. Son cul était bariolé de taches de peinture, rouge, vert, bleu… Un vrai arc-en-ciel.

Dans la pénombre du mobile-home, j’ai saisi les reins de Myriam et je l’ai pénétrée en levrette. À l’intérieur de sa chatte, j’ai failli exploser instantanément et je ne parle pas seulement de l’éjaculation ! Non non, j’ai vraiment failli exploser de bonheur, auto-combustion, boum ! Un grand frisson de sexe m’est remonté le long de la colonne. Pareil pour elle je crois, car elle a recommencé à geindre. Elle était faite dans un format si menu que j’ai pu poser ma main sur sa bouche pour la réduire au silence. Cette fois, j’ai eu peur qu’on nous ait captés pour de bon. Je l’ai baisée, baisée, baisée comme une bête ! J’ai joui en râlant au moment où la porte s’est ouverte. C’était le marié qui avait entendu des bruits de meurtre dans notre mobile-home… On s’est tous regardés, interdits. Pour être honnête, je pense qu’un grand sourire devait quand même me barrer le visage, ma jouissance était à peine terminée, après tout. Myriam a enfoui le sien dans ses mains, et le marié a refermé la porte. On s’est marrés comme des gosses.

La suite de la journée a été un peu particulière. Disons qu’on a soigneusement évité les mariés… Depuis ce jour, je revois Myriam de temps en temps. On boit un verre, on fait l’amour. C’est parfait comme ça !

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