Orgasmes en cachette

La rédaction 17 janvier 2020

Jean-Paul, 40 ans

L’histoire que je vais vous raconter s’est passée il y a maintenant une dizaine d’années. Je venais de rencontrer ma future épouse. À l’époque, nous étions célibataires depuis quelques mois. Autant préciser que dès qu’une occasion se présentait, nous trouvions le temps de faire des cochonneries dans tous les sens.J’avais reçu une invitation pour le mariage d’un ami sur une île, en Charente-Maritime. Il m’a bien entendu confirmé que je pouvais et que je devais venir accompagné.

Arrivés sur place, ma chérie et moi nous sommes dirigés vers les lieux du mariage : un collège. Pour ma part, j’étais habillé très classique : costard, cravate. Elle, elle avait mis, en plus d’un superbe tailleur rouge, des bas, un string et des porte-jarretelles. Elle était terriblement excitante. Déjà , en nous préparant dans le dortoir qui faisait office de pièce privée pour les invités, nous nous étions excités tous les deux : elle m’avait caressé le sexe pendant que je lui attachais son collier.

Puis, à mon tour, en lui fixant son porte-jarretelles, j’avais réussi à glisser deux doigts dans sa fente déjà bien trempée. J’avais titillé son clitoris avec mon pouce. Elle m’a alors prévenu qu’à le sexe et la plume ce rythme, son string ne tiendrait pas tout le mariage…On est allés rejoindre le reste des invités autour du bar, un peu frustrés de n’avoir pu aller jusqu’au bout. Pendant le cocktail, on n’arrêtait pas de se frotter, de se chauffer mutuellement, le champagne participant allègrement à cet état. Juste avant de passer à table, une pause pipi s’imposait.

J’ai réussi à attirer ma chérie avec moi dans les toilettes, malgré la présence des autres convives à proximité. Il fallait faire vite car les mariés battaient le rappel. Elle a pris ma tige à pleine main et a commencé de longs va et vient. Sentant monter le plaisir trop rapidement, je l’ai contrainte à ralentir l’allure tout en jouant avec la ficelle de son string, ce qui n’a pas manqué de la faire gémir. J’en ai également profité pour titiller la pointe de ses tétons. Je me suis alors assis sur les toilettes, et elle a commencé à me sucer comme elle sait si bien le faire. Des petits coups de langue sur le frein, puis un bon moment de léchage du gland… Avec un tel traitement, j’ai fini par me déverser dans le fond de sa gorge (il ne fallait surtout pas tacher son tailleur). Tout était allé très vite. Je la sentais frustrée mais, compte tenu du délai imparti, nous ne pouvions pas la jouer autrement. Nous nous sommes installés à table sans nous faire remarquer. Tout au long du dîner, j’ai promené délicatement ma main sur ses cuisses afin de maintenir la pression. Mais il nous fallait trouver une solution et passer aux choses sérieuses pour pouvoir combler notre soif de sexe.

Dès la fin du dessert, en attendant le café, nous sommes sortis dans le hall du collège à la recherche d’une porte dérobée. Pas de chance, le gardien avait pris soin de tout verrouiller à clé. Nous sommes allés dans la cour et là , miracle : il n’avait pas fermé l’une des portes du bâtiment. J’ai poussé ma douce à l’intérieur de la pièce, qui était déjà  dans la pénombre au vu de l’heure avancée. Nous pensions tous les deux être dans une salle de classe. Eh bien non, il s’agissait de l’infirmerie ! Il y avait un lit et un marchepied. J’ai enlevé ma veste et aussitôt embrassé furieusement ma chérie. Mes doigts fébriles ont dégrafé les boutons de son chemisier, caressé son dos, ses fesses avant de remonter sur sa poitrine. Notre souffle était court.

Nous restions à  l’affût des bruits extérieurs. Elle a déboutonné mon pantalon et fait coulisser ma hampe au creux de sa main en me soufflant à l’oreille : « Tu vas devoir être patient, comme moi je l’ai été toute la journée… » Je bandais comme un fou. Je l’ai attrapée par les hanches et assise sur le lit. J’ai commencé à jouer avec son intimité en caressant ses lèvres charnues, puis en alternant du clitoris à l’intérieur de son puit d’amour. J’ai fini par ôter son string et j’ai plongé ma tête entre ses cuisses pour enfoncer ma langue dans sa chatte humide. L’odeur était enivrante : depuis le matin qu’elle attendait ce moment d’intimité, elle avait eu le temps de mouiller son triangle de dentelle… Elle a joui une première fois en étouffant ses cris afin de ne pas attirer l’attention.Elle était assise sur le lit, et moi debout sur le marchepied pour être à hauteur de son visage. Je me suis enfoncé doucement dans sa bouche. Elle se doigtait en même temps pour se faire repartir. C’était super excitant d’entendre à l’extérieur tous les invités qui discutaient, pendant que je m’activais entre ses lèvres.

Ensuite, elle s’est mise à quatre pattes et j’ai commencé à l’exciter doucement en caressant sa fente avec mon gland. Elle m’a dit qu’elle n’en pouvait plus d’attendre et qu’elle voulait que je la prenne avec vigueur, immédiatement. Elle était tellement trempée que ma bite a été littéralement aspirée. Elle était en transe, totalement soumise. J’allais de plus en plus vite, tout en lui agrippant la poitrine. Nous avons joui en même temps. Je l’ai inondée de ma liqueur dans des râles de plaisir.Nous nous sommes embrassés langoureusement, essuyés comme nous avons pu. Puis nous sommes partis danser toute la nuit (avec son string dans la poche de ma veste)…[email protected]e.net

(Image à la une : Getty Images)

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