Gode est grand !

La rédaction 7 octobre 2020

Alexy, 28 ans, découvre que sa chérie a un énorme gode. Un peu perplexe au début, il va ensuite l’utiliser sur elle pour leur séance de baise torride.

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Un jour, alors que je fouillais notre penderie à la recherche d’un pull, je suis tombé sur un objet dur. C’était un énorme gode rose « réaliste » (ou plutôt surréaliste, devrais-je dire !), parcouru de veines saillantes, en plastique bas de gamme et d’une taille assez impressionnante. Je suis resté sans voix. J’ignorais totalement que ma chérie possédait ce genre de jouet. Un peu intimidé, je suis allé la voir dans le salon avec ce mastodonte à la main. « Laura, ce truc me fait un peu complexer… Est-ce que tu fantasmes sur des gros calibres comme ça ? Est-ce que ça veut dire que je ne te satisfais pas tout à fait ! » Ma copine m’a regardé avec des grands yeux. « Mais non voyons, pas du tout ! Ça n’a rien à voir, ce truc, c’est pour me faire un petit plaisir personnel quand tu n’es pas là ou que j’ai envie de nouvelles sensations ! »

Comme je devais avoir l’air un peu perplexe, elle s’est levée pour me rejoindre et m’a pris dans ses bras. « Je ne remplacerais ta queue pour rien au monde, mon chéri… » Même si j’avais encore une petite réserve, ses paroles commençaient à m’exciter. C’est fou comment les compliments sur ma bite peuvent me faire bander ! Les hommes sont facilement corruptibles… Elle l’a senti et a poursuivi : « Je l’aime tellement, elle est tellement vivante et me fais tellement de bien, tous les sextoys du monde n’y pourront rien. »

Tout en parlant, Laura a commencé à caresser ma bite à travers mon jean, puis elle s’est agenouillée à mes pieds. J’adore quand elle fait ça. Elle s’est mise à me déboutonner et à me sucer, à avaler toute ma longueur. Puis elle m’a entraîné sur le canapé pour se mettre à quatre pattes et continuer à me sucer. Elle a retiré sa petite robe d’été pour être libre de ses mouvements. Je voyais mon chibre gobé, merveilleuse image.

Puis c’est moi qui me suis mis au-dessus de sa tête pour m’enfoncer dans sa bouche grande ouverte. J’ai pris des photos d’elle tant je la trouvais canon avec son joli visage et ses yeux noirs absorbés par sa pipe. Elle semblait prendre tant de plaisir à me faire une fellation que cela me redonnait confiance en moi. Ses lèvres gourmandes me pompaient avec toute la luxure qui la caractérise et que j’aime chez elle. Pour lui montrer que j’étais ouvert, je me suis saisi du gode et j’ai commencé à la peloter avec. J’ai caressé les lèvres et le clito, et j’ai présenté l’objet sur le bord de son sexe pour l’y introduire petit à petit.

Ses jambes et ses lèvres s’ouvraient sur l’impressionnant godemiché et je regardais avec fascination sa petite chatte engloutir cet énorme calibre. Puis Laura a saisi le sextoy de sa jolie main pour se goder avec et me montrer les mouvements qui lui plaisaient. Elle se l’enfonçait avec fermeté, l’agitait en le pointant vers le plafond de sa paroi vaginale. Elle mouillait abondamment et se pénétrait avec une vigueur sexuelle et une spontanéité débridée qui me faisaient encore plus bander.

Puis Laura a retiré la bête de sa chatte en me disant : « Je veux ta queue maintenant. » De la même manière que le gode, j’ai d’abord posé le gland, puis je l’ai pénétrée en guettant l’expression de son visage. Ses traits se tendaient et se détendaient, elle lâchait des gémissements, me soufflait des mots crus qui me rendaient fous (et qui, je crois, étaient aussi destinés à me rassurer) : « J’adore ta bite, je la sens bien, tu me baises trop bien. » Je suis peut-être un peu facile à la flatterie, mais ces mots me poussaient à la sauter avec d’autant plus de passion. Elle était allongée, moi agenouillé entre ses cuisses et poussant mon pieu dans son fourreau. Nos sexes se reconnaissaient, s’encastraient parfaitement, et je doute qu’un sextoy puisse remplacer pareille entente.

Ensuite, Laura s’est soulevée pour se mettre au-dessus de moi et fourrer petit à petit ma bite dans son sexe en me disant de bien regarder. Je regardais, toujours aussi fasciné, ma queue toute dure de mon désir pour elle disparaître entre ses lèvres intimes comme elle avait disparu dans sa bouche lubrique. Ma chérie m’avait tout à fait rassuré et offert ce grand moment de complicité dans lequel j’avais vu sa dévotion pour ma bite…

Je lui en étais très reconnaissant et la voir s’enlacer autour de mon corps et se fondre sur moi, attrapant mes mains pour les plaquer sur le lit pendant qu’elle me sautait jusqu’à se faire jouir, me rendait fou d’elle. Son plaisir semblait tel qu’il était communicatif et, dans les derniers ébranlements de sa chatte, je me suis laissé cueillir à mon tour par la jouissance qui a tout bousculé, les percées du plaisir se manifestant en des jets de sperme qui jaillissaient de ma queue bandée… Finalement, j’étais bien content d’avoir mis la main sur ce gode dans ses affaires.

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