CRS : Compagnie Réjouissante de Sexe

La rédaction 9 octobre 2025
L’été 2023 j’ai été larguée par mon mec. Après un mois de déprime, j’ai sauté dans un train, direction la Côte d’Azur, rien de plus indiqué que la Méditerranée et le soleil pour repartir du bon pied. Cela s’est avéré encore mieux que prévu. J’ai cherché une plage peu fréquentée et j’ai commencé à bronzer topless lorsqu’un coup de mistral a fait s’envoler mon haut de maillot ! C’est là que je l’ai vu courir, un vrai corps d’athlète dans son « uniforme » réglementaire, slip de bain rouge et tee-shirt floqué « CRS sauveteur en mer », Olivier m’a rapporté mon soutien-gorge. Son sourire et son énorme paquet se sont chargés du reste, je lui ai donné rendez-vous à la fin de son service et me suis offerte à lui. Voici mon histoire de sexe érotique !

Soumise à mon amant

J’apprécie les hommes qui savent ce qu’ils veulent dans la vie et Olivier était de cette race. Il m’a tout de suite soumise, tendrement, mais il a vite compris que j’aimais jouer. Il a exhibé ses menottes et m’a attachée au lit pour commencer à me prendre en photo dans des poses lascives. Puis il m’a libérée et m’a tendu un tube de gel pour que je continue à l’exciter en me lubrifiant la chatte et le cul. À quatre pattes, je m’en suis donné à cœur joie, le regardant régulièrement pour le titiller encore davantage. Lorsque son gland est sorti par le haut de son maillot de bain tellement il bandait fort, je me suis approchée de lui, toujours en levrette, j’ai abaissé le gros élastique et accueilli l’imposant braquemart tout au fond de ma gorge. Je l’ai bien sucé, en n’oubliant pas de lui lécher les boules, son péché mignon visiblement. Je lui ai astiqué le manche et je l’ai pompé jusqu’à goûter son présperme salé se disperser dans ma bouche. Je sentais ma source couler, Olivier mouillait autant que moi ou presque, nous étions prêts pour d’autres jeux.
Il m’a attrapée par ma queue de cheval, le rodéo pouvait commencer. Il a introduit son gros gland entre les petites lèvres de mon sexe, il était brûlant, et il a procédé par poussées successives, laissant son engin prendre sa place jusqu’au plus profond de ma matrice ! Un délice ! Entre torture et libération, j’ai failli jouir lorsque j’ai senti ses énormes couilles frotter contre mon clitoris. La suite a été digne des Jeux olympiques, mon amant s’est révélé aussi sportif qu’infatigable … Il m’a assommée de coups de bite plus puissants les uns que les autres, un véritable maestro, il m’a fait partir deux fois de suite dans cette position. J’ai adoré éprouver sa domination totale sur moi, il me tirait les cheveux, juste ce qu’il faut, tout en me demandant de bien écarter mes fesses, il voulait voir mon sexe, mon petit trou. Mon ex-petit-ami ne faisait vraiment pas le poids face à cette force de la nature !

Un amant hors pair

Ça n’est qu’une fois qu’il m’a retournée pour me prendre en missionnaire que j’ai remarqué que ce sacré cochon avait gardé son téléphone en main et qu’il nous photographiait et nous filmait pendant que nous baisions. Cela a ajouté du piment à la situation, j’ai joué le jeu à fond et me suis glissée dans la peau d’une actrice porno, accentuant un peu mes gémissements (je n’ai pas eu d’effort à faire, je l’avoue), cambrant mes reins, lui lâchant des « encore, encore ! » pour l’encourager à continuer à me faire du bien. La grosse queue a abandonné mon vagin à mon plus grand désarroi, mais ça n’était que pour une pause linguale. Olivier m’a régalée d’un cunnilingus terrible, sa langue, très mobile, allait et venait de mon bouton de plaisir à l’orée de ma chatte baveuse. Je sentais mes nymphes gonflées, j’étais sur le point de jouir lorsque ses caresses intimes ont dérapé jusqu’à mon anus, j’ai eu l’orgasme le plus fort de ma vie à l’instant où il m’a enfilé deux doigts dans chaque trou !
Après m’être remise de mes émotions, je lui ai de nouveau présenté mes petites fesses écartées et je lui ai proposé de m’enculer s’il en avait envie, à condition qu’il y aille doucement, rapport à la taille de son engin. Olivier a saisi mon huile de bronzage et, visiblement trop heureux de ma proposition, s’est appliqué à me forer lentement l’œillet serré, lubrifiant ma rondelle et glissant dedans de plus en plus de phalanges pour l’élargir suffisamment. Une fois qu’il a considéré que j’étais prête, il s’est agenouillé derrière moi et les prémices d’une sodomie dantesque ont commencé. Il a fait entrer et sortir plusieurs fois son gland de mon anus, puis s’est fiché à l’intérieur d’un coup, j’en ai eu le souffle coupé. Il m’a limée doucement, puis plus fort sur la fin, jusqu’à ce qu’il éjacule tout au fond de mon sphincter.
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