Les ex, sexe ou next ?

La rédaction 19 décembre 2024

Plus on avance dans la vie, plus les ex peuvent s’accumuler. Qu’il s’agisse d’amour d’enfance, d’aventures d’un soir ou d’anciens partenaires de vie, la question de savoir s’il est pertinent de maintenir une relation, voire de recoucher avec, semble toujours très périlleuse. Certes, mais si on passait à côté d’une belle histoire, d’une deuxième opportunité, ou d’un nouveau départ ? Voici ce que disent les sondages.

La gestion des ex à l’heure des réseaux sociaux

D’après un sondage IFOP pour lemon.fr (2023, sur la tranche 18- 35 ans), 70% des jeunes hommes et 59% des jeunes femmes estiment que l’on peut rester ami avec un ou une ex. Cependant, dans la réalité, 90% des jeunes sont gênés à l’idée que leur partenaire revoit son ex et/ou le suive sur les réseaux sociaux. Loin d’être un acte anodin, conserver des liens avec son ex génère même des tensions dans 40 % des couples actuels, en raison des interactions numériques.

Le plus difficile à appréhender à la suite d’une rupture ? Des comportements problématiques comme l’espionnage numérique et le revenge porn, qui concernent principalement les hommes.

À l’heure du digital, les réseaux sociaux deviennent ainsi un terrain miné pour les ex, rendant plus complexe la gestion des relations post-rupture.

Les projets avec les ex doivent-ils être annulés ?

Selon un sondage, réalisé par l’institut OnePoll pour le site de réservations de vacances Lastminute.com (2014), de nombreux Français, Allemands, Britanniques, Espagnols et Italiens sont déjà partis en vacances avec leur ex, pour éviter d’avoir à annuler des vacances prévues avant la rupture. Toutes nationalités confondues, c’est près de 23% des 5 000 adultes sondés qui décident de maintenir leur voyage pour diverses raisons, notamment financières ou émotionnelles. Les plus aventureux restent les Britanniques, puisque 39% indiquent être déjà partis en vacances avec leur ex pour préserver ces congés, contre 24% des Italiens, 21% des Espagnols, 16% des Allemands et 15% des Français. Si certains trouvent ce choix bénéfique pour une transition apaisée, d’autres vivent des situations tendues et parfois inconfortables. Il reste important de bien évaluer la situation avant de s’embarquer dans l’aventure.

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