Le joujou de Julie
17 juillet 2020Julie, 21 ans, adore jeter son dévolu sur des hommes matures et mariés. Elle réserve une petite surprise pluggée à sa nouvelle cible Sébastien.
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Ma mère est une soixante-huitarde décomplexée. Elle m’a toujours dit : « Julie, le bon Dieu n’existe pas mais si c’était le cas, il t’aurait fait exactement comme tu es ». Ça m’a convaincue que j’étais parfaite ou du moins, que j’avais un corps qui était précieux, et qu’il fallait en profiter. Après, est-ce que c’est parce que je n’ai jamais connu mon père que j’ai une attirance dingue pour les Papas ? C’est la théorie de ma mère, avec qui on partage tout. C’est d’ailleurs à elle que j’ai piqué mes premiers interstron.ru.
Maintenant, j’ai 21 ans et je vis à deux cents kilomètres de chez elle pour mes études. J’ai mon chez moi, mes cours et je fais du baby-sitting pour être plus à l’aise financièrement. Bon, c’est aussi LE plan pour draguer ma cible préférée : les pères de famille quadra, de préférence poivre et sel et barbus, bien sapés, avec des épouses sexy. Sinon, c’est trop facile !
Celui que vous voyez en photos, c’est Sébastien. Je l’ai péché grâce à ma technique préférée : je vais au parc et, pendant que les Mamans ont le dos tourné, je rapplique voir leurs chéris. Ce samedi-là, Sébastien, que j’avais repéré depuis quelques semaines déjà, galérait avec sa petite qui voulait absolument manger des cailloux. J’y suis allée l’air de rien, emballée par le physique du Monsieur. J’ai expliqué ma technique anti-grignotage de cailloux et fais des mamours à la gamine. Ensuite, j’ai proposé mes services de baby-sitting, « au cas vous auriez besoin de soutien ». Sébastien a eu l’air emballé. Je portais un short moulant et un débardeur très échancré, et je me mordais les lèvres en lui parlant… Avant de partir, j’ai vérifié que personne ne nous regardait et je me suis pressée tout contre lui pour lui dire au revoir. « Je file, j’habite juste à côté. Au X de la rue XX, quatrième étage droite ».
Une fois chez moi, j’ai ouvert la fenêtre et j’ai vu l’homme planté à côté du toboggan. Il réfléchissait. Puis, il a pris sa gosse sous le bras, a rejoint sa femme (la jolie blonde qui profitait du soleil de juin sur un banc) et il s’est lancé dans une grande explication. J’aurais parié qu’il lui faisait le coup de l’urgence au boulot. J’ai refermé la fenêtre, je me suis déshabillée et j’ai enfilé quelque chose de… confortable : mon petit plug anal chéri, afin de faire grimper de suite mon Papa au rideau.
LES SOLDES SONT A LA BOUTIQUE SEXY !
Oui, parce que généralement, ces Messieurs sont tout stressés en arrivant chez moi. Ils veulent m’expliquer que ce sont des gars bien, que c’est la première fois qu’ils trompent leur femme, voire même, ils se dégonflent, et je me retrouve toute seule avec la minette en chaleur. Donc ma technique, c’est de leur ouvrir la porte en étant déjà prête à l’emploi, avec le petit détail qui tue (pinces à tétons, culotte fendue ou bien le plug, comme ce jour-là). Sébastien a fait la tête du loup des cartoons quand il m’a vue. Je l’ai chopé par le col et je l’ai fait entrer avant que les voisins ne s’en mêlent.
Manque de bol, ce gros bêta avait dit à Madame qu’il devait aller chercher un médicament pour sa mère. Une course, ça ne prend pas des heures. Mais bon, j’allais me contenter du temps qu’on avait. J’étais particulièrement excitée car il m’attirait beaucoup physiquement, avec ses tempes grises et son corps de Daddy, un peu moelleux au niveau du bidon. J’ai voulu le sucer mais il était obsédé par mon joujou. C’est vrai que ça n’est pas commun, une baby-sitter avec une jolie sucette rose dans le cul ! Il s’est mis à le titiller, d’abord en missionnaire, puis dans plein de positions farfelues. Monsieur voulait faire des photos avec son smartphone, alors j’ai pris la pose comme une Lolita !
J’ai profité du fait qu’il était très chaud pour sortir un petit vibro pour mon clito. J’ai joui une première fois grâce à lui et j’ai vu que Sébastien était un peu vexé. Avant qu’il ne me fasse le coup du bande mou, je l’ai excité davantage : « Hum, j’ai trop envie de toi dans mon cul, sers-toi de ma mouille ! » Le Papa a pénétré ma chatte pour bien se barbouiller la queue, puis nous avons tous les deux goûté au plaisir anal ! Pendant qu’il m’enculait, j’ai commencé à penser à sa femme qui devait toujours être en bas. Elle ne savait pas que son mari chéri était en train de faire le cul à une jolie jeune fille, après l’avoir godée dans tous les sens ! Et qu’est-ce qu’elle dirait, Madame, si elle le voyait en train de me mettre la pétée du siècle. « Oh oui, comme ça, attrape-moi bien ! Défonce-moi en me tenant par la taille, Daddy ! Oui, oui, oui ! »
Je n’ai même pas senti Sébastien éjaculer en moi. Ça palpitait dans ma tête et dans mes orifices, ça sonnait dans mes oreilles. Il s’est retiré, l’air embêté. Il était en train de réaliser ce qu’il avait fait. Moi, je m’en fichais, de sa conscience. Je lui ai montré la salle de bain du doigt et je me suis lovée sous le drap, pour profiter des “boum-boums” de l’orgasme dans tout mon corps.
Bien sûr, Sébastien a pris mon numéro et est revenu me baiser plusieurs fois. La mauvaise conscience a disparu quand il m’a envoyé les photos de notre séance… La prochaine fois, je vous raconterai ma méthode pour attraper les Papas avec deux ou trois sextos coquins !