Sucer et aller mieux !
5 août 2019Camille, 28 ans, Lyon.
Bonjour à tous, je m’appelle Camille, je viens tout juste de fêter mes 28 ans. Quand on ne me connaît pas, on s’imagine souvent que je suis le genre de personne qui a confiance en elle, qui s’assume pleinement, mais en réalité c’est totalement faux !
Je traîne avec un groupe de filles qui ont à peu près mon âge, et je peux vous dire que je me sens carrément à l’écart. Je le vois quand on sort en boîte de nuit par exemple, elles n’hésitent pas à aborder des mecs, à utiliser leurs charmes, à trouver toujours la bonne vanne pile au bon moment, à rire ensemble. Moi, je suis souvent dans un coin, et je les laisse faire, sans rien dire. Cela fait environ trois ans que je suis célibataire, et ma période de solitude forcée commence sérieusement à peser sur mon moral. J’ai l’impression que je ne suis pas quelqu’un digne d’intérêt ni même jolie. Même si tous les garçons se retournent sur mon passage ou me sifflent dans la rue, ceux qui m’intéressent vraiment détournent souvent leur attention de moi. Et si je dois vous faire une confidence, j’en souffre beaucoup.
Un jour, j’ai tout déballé de façon pêle-mêle à Mathis, un collègue de bureau. Mathis, c’est un peu mon meilleur pote, il est discret comme moi mais ne manque jamais de me lancer un regard en coin quand quelqu’un balance une blague stupide dans l’open space.
On doit être les deux seuls jeunes du bureau, tous les autres ont dans les cinquante ans, et je peux vous dire que cela se ressent vraiment sur le niveau des blagues. Bref, Mathis a plongé son regard dans le mien de façon très compatissante, et a écouté sans m’interrompre. Après que j’ai terminé mon monologue plaintif, il a pris le temps de m’examiner un instant puis m’a soufflé à l’oreille : « Tu sais, moi tu m’as fait fantasmer depuis que je t’ai vue. Si personne n’ose t’aborder, Camille, c’est que tu es belle. Extrêmement belle. Et on a peur de se faire rembarrer… » C’est là première fois que je me rendais compte que je pouvais intimider les gens ! J’ai souri à Mathis qui m’a embrassée timidement sur le coin de la joue. « Là, je dois retourner bosser, on en parle ce soir ? » m’a-t-il demandé très poliment. J’ai hoché la tête, et nous nous sommes retrouvés à 19 heures dans son appart près du bureau, à savourer un excellent verre de rouge.
« Alors comme ça tu fantasmes sur moi ? » lui ai-je demandé, un peu enhardie par la confession qu’il m’avait faite plus tôt. Son regard amusé en disait long sur ce qu’il voulait me faire. Même si j’aimais beaucoup Mathis, je ne voulais pas qu’il imagine que cela puisse devenir sérieux entre nous. Ce n’était vraiment pas mon type de mec.
Il a cherché à toucher mes seins, au départ je me suis un peu reculée, puis, voyant sa tête, je me suis laissé faire, comme une petite poupée. C’était agréable, et quelque part, pas très engageant. Je sentais à travers la toile de son jean qu’il bandait bien fort ! Quel petit cochon.
Je me doutais bien que nous ne pourrions pas reprendre une discussion normale après tout ça, et qu’il fallait que je le vide. Je me suis donc penchée vers son entrejambe et l’ai débraguetté.
Sa bite était de taille normale, enfin je crois, ça fait un petit moment que je n’en avais pas vu une de si près. Je l’ai aussitôt engloutie, d’une bouchée. Mathis faisait des petits mouvements avec son bassin en poussant des cris de rongeur pris dans un piège. C’était assez comique. Il aimait ça le salaud alors j’ai bien tout sucé. C’était vraiment très agréable et excitant, je ne sais pas comment j’ai fait pour m’en passer tout ce temps. Mathis n’a pas mis longtemps à s’éjaculer dessus. Son sperme dégoulinait du haut de son urètre jusqu’à ses couilles. Bien gentiment, je suis venue le lécher de haut en bas, collant ma langue de façon ostentatoire sur sa peau et son foutre. Si ça, ça ne s’appelle pas un show hot de bonne qualité…
Mathis s’est rhabillé, un peu frustré d’être parti si vite. « La prochaine fois, je t’assure je tiendrais plus longtemps » m’a-t-il annoncé avec des yeux de cocker. Je lui ai dit poliment qu’il n’y aurait certainement pas de prochaine fois, mais que j’avais apprécié ce moment.
Maintenant que j’étais convaincue d’être une bombe sexuelle, le monde était à moi.
(Photo à la une : Getty Images)
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« Il regardait sous ma jupe, ce qui m’a excitée au plus haut point. Pendant tout l’entretien, il n’a fait que ça. Un moment après, il s’est levé, il est passé derrière moi, j’ai senti ses mains me caresser le cou, puis les seins. Je n’osais pas dire non, surtout que j’en avais envie. » Alexandra.
« Sophie s’est lovée dans le canapé en me faisant face. Elle portait un short court et blanc, et un T-shirt échancré qui ne cachait pas grand-chose de son décolleté. » Guillaume.
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