Ma passion pour l’exhibition
30 octobre 2023Domy aime s’exhiber peut importe là ou elle se trouve, même quand elle était étudiante elle écartait les jambes pour que les profs puissent la matés.
J’aime m’exhiber !
Je m’appelle Domy, la trentaine. Aussi loin que ma mémoire me permette de me le rappeler, j’ai toujours été exhibitionniste, enfin presque… Ce que j’aime montrer, ce sont les dessous que je porte sous ma jupe, souvent rien d’ailleurs. Pendant mes études, je prenais toujours un malin plaisir à me mettre au premier rang pour ouvrir mes jambes et permettre à mon prof, si c’était un homme, d’y jeter un coup d’œil. Les femmes sont moins mateuses. Les enseignants, quels cochons ! Je les voyais bien me reluquer discrètement. Cela m’a permis d’être bien appréciée.Voici mon histoire de sexe.
Aujourd’hui, mes études sont finies depuis longtemps, mais ma passion pour l’exhibition ne m’a pas quittée. Bien au contraire…Pour les lecteurs et lectrices d’Union, je vais raconter cette envie de me montrer qui m’excite au point d’arriver parfois à un orgasme. Bien que je ne planifie jamais de dévoiler ce que je porte sous ma jupe, j’ai un petit scénario pour le dimanche, si le temps le permet. Dans ma ville se trouve un très grand parc (dont je tairai le nom). Arbres, pelouses, bancs, un petit havre de paix loin des voitures et du bruit. D’un côté du parc, des familles se réunissent. De l’autre, pas d’aires de jeux, pas de roulottes de confiserie, ni de crêpes, ni de glaces, pas de manèges, pas d’animaux, pas d’enfants qui jouent et crient… Tout mon confort pour lire un livre et m’adonner à ma passion : montrer ce que je porte sous mes vêtements. J’y vais toujours habillée en jupe avec de beaux dessous, qu’il m’arrive d’ôter si les rayons du soleil peuvent venir caresser mon entrejambe.
Je conseille vivement aux lectrices d’interstron.ru d’essayer. Le dimanche, jamais aux mêmes heures, je me rends dans ce parc avec une serviette au cas où je viendrais à me mettre sur l’herbe, un livre, des lunettes de soleil et une bouteille d’eau. J’ai mes coins fétiches, pas trop de passage, une petite difficulté pour les mateurs à voir mes dessous, genre broussailles, arbres, bref impossible de se planter devant moi sans passer pour un pervers. C’est dingue le nombre d’hommes qui se baladent seuls dans les parcs pour s’oxygéner ! Mais les mateurs, je les repère très vite à leur façon de se déplacer, de regarder un peu partout, le ciel, le soleil, les cimes des arbres, un livre à la main, un journal gratuit ou un dépliant publicitaire, etc., bref, ce qu’ils ont pu ramasser en venant au parc pour se rincer l’œil sur des filles qui sont loin de penser qu’elles se font épier, si “par malheur”, elles portent une jupe et qu’un petit morceau de leur slip est visible.
La satisfaction de me voir matter
Un fois assise, il me faut rarement plus de vingt minutes pour identifier un premier observateur. J’en repère même qui suivent les femmes en jupe dès l’entrée du parc pour voir s’ils peuvent mater quelque chose, reluquer au cas où elles viendraient à s’asseoir. Ceux-là n’ont aucune chance avec moi. Il faut que je constate que mon mateur cherche la meilleure place pour me reluquer discrètement. Je veux voir comment il va s’y prendre pour me mater sans attirer l’attention de ceux qui se promènent dans le parc. S’il me convient, livre à la main, je commence monexhibition, comme si je ne le remarquais pas en train de regarder entre mes jambes. S’il est correct (pas de grimaces vicelardes, pas de caresses déplacées sur lui-même ou pire : sortir le petit oiseau), il pourra alors se rincer l’œil sans problème. Au moindre geste malvenu, tant pis pour lui, j’arrête tout en mettant sur mes jambes un joli châle en tissu léger que j’emporte pour stopper mes exhibitions.
Je refuse de me montrer aux hommes de moins de 50 ans. Les jeunes dégainent trop facilement leur portable ou tablette pour me filmer ou prendre des photos. Je couvre toujours mes jambes à la moindre vue d’un téléphone ou appareil pouvant me capter en vidéo, photo. Je viens de mentir… Il m’arrive quelquefois de me dévoiler à un jeune homme, seulement s’il est accompagné de sa femme. C’est fou de voir un joli couple se mettre près de moi sur une pelouse immense et déserte. L’emplacement est choisi par le garçon qui vient me mater sans que sa chérie ne capte quoi que ce soit à l’affaire. Incroyable, mais cela arrive. Le mec se trouve un angle idéal et Mademoiselle pique un somme, la tête sur ses genoux, insouciante. Mais au final, je préfère les purs voyeurs, pas ceux qui se déplacent pour venir faire connaissance… de quoi d’ailleurs ? Je sais déjouer leur “drague” en les repoussant gentiment. Quand je tiens mon mateur, je prends tout mon temps pour qu’il me découvre. Parfois, j’y prends du plaisir tellement mon excitation est puissante. Il me suffit de croiser les cuisses fortement pour jouir comme jamais. Certains ont ainsi la satisfaction de me voir assise sur l’herbe, jambes pliées et cuisses ouvertes pour permettre au soleil de lécher mon sexe trempé.
Aux messieurs qui me rencontreraient : ne venez pas me parler. Regardez, mais restez corrects et prenez autant de plaisir que moi quand je vous montre ce que je porte sous ma jupe… Souvent rien !
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