Un neveu ravageur

La rédaction 28 avril 2016

Fred et moi, sommes amis depuis plus de quinze ans. Au lycée, on nous surnommait « les inséparables » ! La plupart de nos connaissances pensent d’ailleurs que nous sommes gay, mais à part quelques « touche-pipi » en mettant un film de boules, nous n’avions jamais franchi le pas.

La tante de Fred travaille dans un petit centre de remise en forme et, assez régulièrement, elle nous refile une invitation pour bénéficier des nouveaux soins proposés. Nous sommes, en quelques sortes, les testeurs officiels ! Cette fois-ci, ce n’était pas un produit sur lequel nous devions nous prononcer, mais sur une nouvelle postulante que la tante de Fred nous avait décrite comme « canon ».

L’idée n’était pas pour nous déplaire, surtout après notre match de rugby dominical. Un bain à remous et un petit massage étaient toujours bons à prendre pour nous remettre sur pieds. En ce dimanche pluvieux, il n’y avait quasiment personne au centre.

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Fred et moi nous nous sommes plongés dans un jacuzzi après avoir avalé un jus de fruits multivitaminé qui nous a redonné un peu de peps après le match rugueux que nous venions de fournir. En prime, nous étions tous deux pas mal excités par la situation.

Nous nous étions montés de gros scénarios, en nous chauffant l’un l’autre. Dans le bain, en délirant, j’avais même passé mon pied sur la teub de Fred. L’atmosphère était aussi chaude que l’eau dans laquelle nous trempions.

Lorsque la recrue sur laquelle on fantasmait a fait son apparition, on a cru à une blague ! La miss, une splendide blonde au look de pornstar de l’Est, était vêtue d’une blouse blanche ras-la-touffe et de cuissardes en vinyle aptes à faire bander un arc.

Pas tout à fait le style de la maison ! Fred et moi, on s’est matés en se faisant un clin d’œil.

La dame était simplement au-delà de nos fantasmes les plus ouf. Elle nous a demandés si tout se passait bien et si nous étions prêts pour quelques massages. La coquine avait du mal à nous regarder dans les yeux et elle ne cessait de jeter de petits coups d’œil sur nos queues au garde-à-vous. En effet, impossible de ne pas bander dans une telle situation !

Si les gars de l’équipe nous avaient vus, je crois que même le coach se serait foutu à poil avec nous dans le bain pour sentir les mains de la belle sur son corps. Fort en gueule comme je suis, j’ai demandé à notre hôtesse si elle préférait qu’on reste en érection pendant ses massages où si on devait débander.

Carmen, c’était son nom, nous a gratifiés d’un petit sourire en coin. « De toute façon, m’a-t-elle répondu, avec ce qui vous attend, je pense que vos belles queues vont rester dures comme du bois ! » On a dû faire des têtes de gros débiles car Carmen a éclaté de rire. Elle était visiblement décidé de mettre me paquet pour nous séduire !

D’un ton calme mais qui ne laissait pas de place au refus, elle nous a fait lever afin de débuter les « soins ». Il faut bien avouer que la dame avait une conception toute particulière des massages. Avec Fred, on rigolait mais, contrairement aux apparences, on n’en menait pas large (hormis nos parties génitales, bien sûr !).

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Carmen a saisi nos queues et a commencé à faire coulisser ses mains expertes avec douceur. « Alors les garçons, a-t-elle soupiré, ma technique de massage vous plaît ! »

On est resté bouche bée, toutes les courbatures du match avaient miraculeusement disparu. « Maintenant, vous vous laisser guider pour découvrir tous les bienfaits de mes soins ! », s’est exclamée notre beauté blonde.

Fred et moi, on était si excités par cette situation totalement imprévue que c’est à peine si on prêtait attention au discours de Carmen. Pourtant, lorsqu’elle a sauté sur la bouche de Fred en lui disant qu’elle aimerait le voir s’occuper de ma bite, il y a eu comme un virage à 180° pas du tout prévu au programme ! Encore une nana dont le fantasme était de voir deux mecs s’enfiler, me suis-je dit intérieurement.

Je pensais que, face à notre refus mutuel, Carmen n’insisterait pas et, qu’au pire, le plan délicieux auquel nous participions prendrait fin prématurément. Au moment où j’ai senti la main de mon pote entourer ma queue, je me suis dit qu’on se dirigeait sur un terrain glissant. Après tout, on s’était déjà branlé mutuellement. Rien ne nous obligeait à aller plus loin.

En plus, j’étais obnubilé par la paire d’obus de Carmen, qui avait laissé tomber sa blouse pour se mettre à l’aise. J’étais dans un tel état que la main de Fred sur ma bite était plus agréable qu’autre chose.

Le hic, c’est lorsque j’ai entendu Carmen lui prononcer à l’oreille : « Vas-y, je suis certaine que tu as envie de goûter sa belle queue ! »

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Avant même que je ne puisse réagir, j’ai senti la bouche de mon pote gober ma queue. Je n’ai pu contenir un « whaou ! » d’étonnement. Mon meilleur ami, mon partenaire de rugby, celui avec qui je partageais tout hormis le sexe, était en train de me tailler une pipe.

Le pire, c’est que j’ai tout de suite trouvé cela divin et super excitant. Jamais une meuf ne m’avait sucé avec autant d’application, et je me demandais si Fred ne me cachait en définitive pas certains trucs sur ses penchants sexuels. C’est vrai que, depuis un moment, son regard dans les douches après les matches se faisait plus marqué. Même si j’appréciais qu’une fille me glisse un doigt, voir un petit gode en me suçant, de là à me faire casser les fesses, il y avait un fossé que je n’étais pas prêt à franchir !

Carmen couinait en regardant Fred me sucer. Cela la mettait en transe ! J’en ai profité pour glisser quelques doigts dans sa fente huilée d’excitation à la vue d’un tel spectacle. C’est vrai que l’on s’accordait une troisième mi-temps bien différente de d’habitude !

Fred s’appliquait à passer sa langue sur toute la longueur de ma bite avant de m’engloutir bien profondément au fond de sa bouche. Mon vieux pote avait un véritable talent pour tailler des pipes !

Spectatrice, Carmen ne tenait plus en place. « Allez, il faut s’occuper de ma petite chatte maintenant. Vincent, viens donc me baiser comme je le mérite ! »

La nouvelle masseuse de la tante de Fred avait de l’appétit, et notre hors-d’œuvre lui avait donné une faim de louve ! Elle a pris son sac et en a sorti une boîte de capotes. La garce avait décidément tout prévu !

Carment était chaude comme une pyrolyse. Elle m’a sauté sur la teub et a enfilé le capuchon en mode speed pour que je l’attrape. A trois dans le jacuzzi, c’était plutôt tendu, mais cela créait des affinités !

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Fred a écarté les fesses de Carmen pour que j’y fourre ma bite. Malgré le côté sport de la pose, j’ai pu m’introduire en elle jusqu’aux couilles. La cochonne était bien dilatée, elle avait dû en voir passer des kilomètres à l’intérieur de son minou tout humide !

Fred me matait droit dans les yeux et continuait à plaquer ses mains sur les hanches de Carmen pendant que je lui assénais de grands coups de reins. Parfois, il me palpait les couilles en souriant et vu, la taille de sa bite, je me suis douté que mon pote n’allait pas se contenter d’une simple petite pipe !

M’occuper de la belle blonde alors que mon pote caressait mon corps, c’était une sensation plaisante. Mais qu’est-ce qui me passait par la tête ? Je n’étais pas homo et pourtant ! C’est vrai qu’à force de se balader à poil dans les douches du club de rugby, de faire les cons en se tirant sur le zgeg dans les vestiaires, toute intimité est à ranger au placard. Mais, de là à jouer au gay de service avec son meilleur pote !

Carmen a demandé à Fred s’il voulait, lui aussi, venir profiter de sa petite chatte. Mon pote ne s’est pas fait prier. On a viré l’eau du jacuzzi pour être plus peinards, et la belle Carmen est venue s’empaler sur la tige de Fred en poussant un miaulement qui résonne encore aujourd’hui à mes oreilles. On aurait dit un chaton mort de faim qui réclamait son lait !

Je me suis dit que j’allais patienter en attendant que mon tour revienne mais là, j’ai entendu Fred me dire : « Viens, j’ai envie de te sucer, j’ai envie de ta bite ! » La vache ! Mon pote avait rejoint le côté obscur et ne jurait plus que par ma queue ! Quand elle a entendu Fred, Carmen est devenue in-con-trô-lable. Elle s’est mise à le chevaucher comme un mustang qu’on essaye de dompter.

La chaudasse allait et venait sur la teub de mon pote en criant : « Ouis, vas-y, suce le bien en me baisant, ça me rend folle ! » En appui sur les cuisses au dessus de la baignoire, j’ai fourré mon engin entre les lèvres de Fred qui n’attendait que ça. Mon pote avait une bouche en or. Il a gobé mon gland comme un vrai pro. J’avais un peu honte de ce que nous étions en train de faire, mais c’était si bon !

Carmen ne cessait de jeter des regards derrière elle pour mater Fred à l’ouvrage. La vue de mon copain me pompant la queue, elle kiffait grave !

C’est marrant, c’est vraiment un délire de nana de voir deux mecs ensemble, mon ex avait aussi ce fantasme. En tout cas, la blondinette prenait cher. Aux sons qu’elle émettait, la teub de Fred faisait des merveilles entre ses cuisses. Voir son bon cul aller et venir sur mon partenaire était un spectacle super plaisant.

Après s’être occupé de ma bite, Fred m’a lapé les couilles, whaou c’était top !

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Je me demandais comment nous allions gérer notre amitié après la bataille mais, de toute façon, il était trop tard pour faire machine arrière. J’ai dû arrêter de m’astiquer la queue pendant que Fred me léchait, car j’étais désormais tout proche de l’explosion.

J’avais envie de poursuivre ce rodéo en baignoire encore un peu ! Afin de tempérer mes ardeurs, j’ai changé de position et je suis venu me placer devant Carmen pour que la cochonne me prenne au fond de sa bouche.

Les coups de langue sur le gland dont elle me gratifiait étaient terribles.

Lorsque je l’ai entendue dire à Fred : « J’ai envie que tu te fasses enculer par ton pote », j’ai su que l’aventure allait de nouveau prendre un tournant imprévu. Fred est venu s’empaler sur ma queue si vite que je n’ai pas eu le temps de protester.

Une pipe, ok ! Mais là j’étais en train d’enfiler mon meilleur ami et le pire, c’est qu’on y prenait du plaisir tous les deux.

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Carmen était en ébullition, elle pompait la queue de Fred tout en me malaxant les couilles, une vraie chienne !

Mon pote couinait et poussait pour s’enfoncer bien au fond sur ma tige. Si les mecs du club avaient vu le spectacle, je crois qu’on nous aurait retiré notre licence illico. Quoi que, depuis le calendrier des jours du Stade Français dans des poses de gay, on ne peu pas dire que le rugby ait une image du sport 100% hétéro !

Les choses s’accéléraient et, bien au chaud entre les fesses de Fred, je n’étais pas loin de l’explosion. Pour décupler mes sensations, notre chaude masseuse a même aventuré un doigt dans mon petit trou ? C’en était trop !

Quelques allers-retours supplémentaires et j’ai senti que le coup de grâce était arrivé. Je me suis vidé dans le présa en émettant un râle qui a fait comprendre à Fred ce qu’il se passait. Carmen a accéléré les va-et-vient sur la queue de mon copain, qui a crié en giclant. Son petit cul s’est contracté au même moment ce qui, je dois le dire, a été un régal pour moi. La bataille était terminée, mais qu’en allait être le guerre ?

Heureusement cette séance de baise n’a pas altéré notre amitié. Et, bien sûr, Carmen a été engagé au centre de remise en forme, où elle nous reçois de temps à autre, après les matches ; alors tout est bien qui finit bien, non ?

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