Improbable trio
1 août 2020Jeanine, 47 ans, n’est pas satisfaite par son mari Jean. Elle découvre que son cousin et Jean couchent ensemble mais cela va énormément l’exciter. Un trio improbable va se former pour des parties de sexe hard…
Bonjour interstron.ru ! Je voulais vous raconter mon histoire de sexe…
Je m’appelle Jeanine. J’ai 47 ans et je suis mariée à Jean, 47 ans également. Je suis plutôt autoritaire, grande, brune, tour de poitrine 90C, fesses larges et fermes. Jean est frêle et très peu membré, même si ce n’est pas mal pour la sodomie ! Nous avons de beaux enfants, mais au lit, il n’est pas terrible. Il ne le sait pas, mais j’ai un gode très gros avec lequel je me soulage. Mais là n’est pas le propos. Depuis un an, notre couple s’est transformé en trio. Jean a toujours été docile et il me craint, tout comme il craint mon cousin Henri. Quand mon cousin est chez nous, Jean file droit.
Un jour, Henri est resté à la maison avec Jean et je suis sortie faire une course. En rentrant, je ne les trouvais pas dans la maison. La porte qui mène au garage était entrouverte et en l’entrebâillant, je suis tombée sur un spectacle qui m’a stupéfaite. Mon cousin était adossé à l’établi, le pantalon et le caleçon baissés, pendant que Jean le suçait d’une manière hyper sensuelle et je me suis dit qu’il ne devait pas en être à sa première fellation. La grosseur de la queue de Henri était impressionnante, au moins autant que mon gode.
J’étais toute transpirante, je sentais ma chatte bouillir. Je me suis même mise la main dans la culotte pour m’y enfoncer un doigt. Mon cousin chuchotait : « Oui, vas-y ma petite chienne, suce ton mec, tu l’aimes ma grosse queue, hein petite bite ? » « Hum oui, elle est belle et bonne », répondait mon mari. Jean avait lui aussi la bite à l’air et se branlait en même temps. Puis Henri l’a fait se lever et s’appuyer contre l’établi pour lui écarter les fesses. Il a posé son gland sur son anus puis s’est mis à le pénétrer. Ça ne devait pas être la première fois non plus, parce qu’au bout de quelques instants, la bite de mon cousin était toute entière dans le cul de mon mari. Au bout de cinq minutes d’enculade, mon cousin a grogné et rempli Jean. J’ai filé dans ma chambre pour me faire jouir. Quand on s’est retrouvés, tout le monde paraissait normal.
Je me suis souvent branlée par la suite avec mon gode, en pensant à eux. Mais je ne pouvais plus garder tout ça pour moi et j’ai décidé d’en parler aux deux en même temps. Un samedi que mon cousin était chez nous, je leur en ai touché deux mots. Jean était tout penaud, mais Henri a dit : « Tu veux faire quoi ? Divorcer parce que Jean est une couille molle ? Tu le savais déjà, non ? » « Oui, couille molle et petite bite, ça ne m’étonne pas que tu puisses lui faire faire ce que tu veux. Par contre, c’était intéressant de voir qu’il te suçait aussi bien qu’une petite chienne. Ça m’a même excitée. Viens-là toi, et suce Henri, allez, lèche-le », ordonnais-je.
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Henri avait déjà baissé son pantalon. J’ai pris la tête de Jean et l’ai dirigée vers la bite de son comparse. « Allez, suce, et plus vite que ça. » Jean s’exécuta. « Alors, c’est vrai que tu aimes me voir lui baiser le cul ? » a demandé mon cousin. « Oh oui, ça me fait mouiller. » Puis je me suis mise à sucer sa queue également, sous le regard éberlué de Jean. Henri était maintenant bandé à fond. Je me suis installée et foutue à poil sur le canapé, les cuisses ouvertes. « Viens, viens me baiser avec ta grosse bite. » Il a mis mes jambes sur ses épaules et m’a pénétrée d’un coup. Ouf, quel morceau ! « Oui, ah, une vraie queue, ah que c’est bon ! » Il m’a pilonnée un bon moment avant de me souiller d’un jus incroyable.
On s’embrassait à pleine bouche, puis Henri m’a demandée de me mettre à quatre pattes. « Pendant que je m’occupe de te préparer le cul, Jean va me sucer pour me refaire bander. Tu aimes par le cul au moins ? » « Oui, tout ce que tu veux. » Il m’a doigtée avec trois doigts puis caressé le clito. « Tiens, prends ça ma jolie. » Il m’a enculée pendant au moins un quart d’heure en levrette en me triturant les seins et la chatte. J’ai joui au moins deux fois avant qu’il me remplisse le cul. Pendant qu’on se papouillait, il a dit à Jean de nettoyer mes trous pleins de sperme.
Aujourd’hui, mon cousin vit pratiquement avec nous. Il me baise tous les jours pour mon plus grand plaisir. Quand je suis au travail, on s’arrange pour que Jean soit avec lui pour que mon cousin puisse décharger dans son cul ou sa bouche. Je ne baise plus avec Jean. Par contre, dernièrement, Henri a eu une super idée. Il a invité un de ses bons copains, aussi bien monté que lui. Il n’était pas au courant et était juste venu prendre l’apéro.
Nous étions au salon et nous nous faisions servir par Jean. Henri a commencé à plaisanter sur des histoires de cul en demandant à son pote David s’il avait ce qu’il fallait à la maison pour se satisfaire. Quand il a répondu que non, Henri a soulevé ma jupe (je ne portais rien en dessous) et m’a écartée les cuisses. « Et ça, ça te plairait mon pote ? C’est beau hein ? » La bosse dans le pantalon de David montrait qu’il appréciait. Henri m’a poussée doucement vers son entrejambe. « Vas-y ma chérie, fais plaisir à David. » J’ai déboutonné son pantalon et j’ai commencé à le sucer. Il n’en revenait pas.
Lorsque les deux mâles furent bien en forme, Henri a dit : « Jeanne, tu vas connaître ta première double pénétration avec deux belles bites. » Puis je me suis empalée sur lui et il m’a ouverte les fesses. « Vas-y David, encule-la. » Ils m’ont baisée et enculée et j’ai joui comme une folle. Plus tard, David a aussi enculé Jean qui a dû nettoyer mon trou avec sa langue. Depuis, David revient souvent, il a même dormi avec Henri et moi dans le lit, Jean au pied du lit.
Le lendemain, je me suis aperçue que Jean avait souillé le sol de sperme. Il a dû nettoyer avec sa langue devant Henri et David qui l’ont enculé en même temps. Voilà, je suis la plus heureuse des femmes, quelle découverte ! Je jouis à fond tous les jours. Parfois, Henri m’appelle au boulot entre midi et deux pour m’exciter en me faisant écouter comment il se fait sucer par Jean et comment il l’encule. Je suis obligée d’aller me faire jouir aux toilettes après en pensant à la belle grosse bite qui m’attend en rentrant.