Mes très chers voisins

Bonjour à tous, moi c’est Céline, 28 ans, je suis de Villeurbanne. Voici mon histoire porno. J’ai déménagé récemment près de Lyon, dans un appartement des années 70, aux cloisons fines et à la cage d’escalier bruyante. J’aimais bien cette ambiance très bohème, avec des odeurs de cuisine qui émergent de toutes les portes, avec les bruits d’enfants et de chiens. Et quand la nuit venait, tout devenait si calme.

Sauf pour mes voisins. Jean et Nayri, deux jeunes trentenaires encore pris dans la passion de leur relation. Tous les soirs, à minuit, leur lit tapait fort sur la cloison, et j’entendais avec beaucoup de précision leurs ébats. C’est un peu comme si j’étais dans leur lit, avec eux.

Comme si c’était un plan à trois. La dernière fois, je me souviens même que Nayri avait carrément posé ses mains sur le mur, j’entendais encore ses supplications sonores « Oh oui, Jean ! Mets-la moi plus fort ! C’est trop bon Jean, elle est si grosse ! » 

Des couilles pleine à vider

Si la plupart du temps je me réfugiais dans le salon avec un bon livre pour faire passer le moment, cette fois-ci j’avais décidé de me masturber en cachette, en les écoutant. Je m’imaginais prise en sandwich entre Nayri et Jean, je m’imaginais embrasser goulument les lèvres de Nayri et toucher les couilles bien pleines de Jean.

Je m’imaginais qu’ils trouvaient mille parades pour m’incorporer à leurs jeux. Peut-être que Jean aimerait me voir lécher la chatte de sa belle ? Peut-être qu’il m’encouragerait, qu’il se branlerait en même temps ? Peut-être qu’il demanderait que je relève mes cheveux pour mieux voir ma langue se démener sur son petit clitoris ? 

Tout d’un coup, une voix virile s’est élevée du mur : « Hum, hum, hum, tiens prends ça Nayri ! T’aimes ça, hein ? Dis-le, que tu aimes ça, enfin ! » Ça y’est, le voilà ; le Jean qui vocalise à travers la paroi.

Je m’imaginais qu’il me parlait à moi, qu’il me demandait d’y aller plus fort, de mieux m’appliquer quand je prenais en bouche sa chérie. 

Mes doigts glissaient de plus en plus frénétiquement sur ma fente, je sentais l’orgasme monter petit à petit. J’ai serré très fort mes cuisses, l’une contre l’autre et j’ai continué à me concentrer, à la fois sur mes doigts, mais aussi sur les sons que j’entendais de l’autre côté.

Une fellation d’exception

Manifestement, plus aucun mot construit n’arrivait à sortir de la bouche de Nayri, seul des onomatopées, des « Oh, oui, oh, oui » servaient de guide à Jean. Et puis, tout d’un coup, plus rien.

Peut-être était-ce une fellation ? Jean devait avoir la bite plantée dans la gorge de Nayri et celle-ci ne pouvait plus s’exprimer.

Rien que l’image m’excitait au plus haut point ! Jean, triomphant, debout sur le lit, qui imposait à Nayri de recevoir sa bite (que j’imaginais énorme) dans sa bouche. Ma main droite m’astiquait à une vitesse folle.

J’allais jouir, ça y’est. La voix de Jean s’est faite plus douce, plus précise aussi. « C’est ça ma belle, je veux te voir jouir. Continue, c’est bien, je veux voir ton visage quand tu as un orgasme… »

J’avais l’impression qu’il me voyait me toucher, qu’il m’encourageait. Et paf, j’ai joui. Très fort. Tous mes membres se sont mis à trembler d’un coup. Mes yeux se sont révulsés dans leur orbite. J’ai joui si fort que mon souffle rauque devait lui aussi, traverser les parois du mur.

J’ai eu honte, un court instant. Et qui sait ? S’ils savaient qu’ils m’excitaient, peut-être allaient-ils m’inviter la nuit prochaine ? On peut toujours rêver…

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