Une bonne fessée déculottée

La rédaction 8 juillet 2019

Etienne, 20 ans, Deauville.

Une bonne fessée déculottée

Je suis un jeune homme de 20 ans, brun, assez grand, 1,78 m mais paraissant tout au plus 18 ans. Je suis très timide avec les filles, je n’ai aucune petite amie. Je lis beaucoup de revues et de bouquins pornos. Je me masturbe en les lisant, cela me fait venir de drôles de désirs. Je vais souvent acheter mes livres dans une librairie dirigée par une femme dont la soeur s’occupe du rayon bazar.

La libraire est une forte femme brune, entre 45 et 50 ans, encore très belle, avec une grosse paire de seins et un large fessier. Sa soeur, un peu moins forte, est tout aussi belle, quoique un peu plus âgée. Elles s’habillent toutes deux avec des corsages ajustés et des jupes moulantes. Un jour, la libraire m’a demandé une pièce d’identité; il y a un an de cela, elle ne croyait pas que j’avais 19 ans, elle m’en donnait 16. Alors je me suis mis à fantasmer. Elle me dit : «Tu devrais venir à l’heure de la fermeture, tu pourrais choisir les lectures sans être dérangé.» Je suis un bon client, tout mon argent de poche passe dans ces livres.

Je suis son conseil, je viens tard feuilleter magazines et livres. La libraire me dit: «Tu aimes les revues sur les fessées à ce que je vois ?» J’en achète effectivement souvent, qu’elle feuillette parfois avec moi. Un jour elle me dit : « Cela te plairait de te faire déculotter et fesser par une femme ?» Je ne réponds pas; elle insiste : «Réponds donc !» Je suis rouge de honte, je murmure : «Je ne sais pas.»
Une autre fois, elle ferme comme d’habitude, s’approche pour regarder les livres avec moi. Son corsage est déboutonné très bas, je vois à demi ses seins. Elle s’aperçoit que je mate. « Si tu acceptes de te laisser fesser, je te montre mes seins». À nouveau je pique un fard sans répondre. Le soir, je repense à sa proposition, cela m’excite et je me masturbe. La fois suivante, elle recommence : « Pense à ce que je t’ai proposé, si tu veux les voir, dis-le». Je reconnais : « Ça me plairait». Elle sourit. « Petit vicieux, tu veux les voir tout de suite?» Timidement je dis oui.

«D’accord, tu connais les conditions, tu te laisses fesser». J’accepte. Elle baisse le rideau de fer, revient vers moi : «Je te préviens, je te déculotte devant ma soeur». Je n’ose protester. Elle me fait passer dans l’arrière-boutique, appelle sa soeur et lui dit en riant : « Il veut une bonne fessée». Elle s’assoit en croisant les jambes et commande: «Viens te faire déculotter». J’approche, elle déboutonne mon jean, le baisse, décroise les jambes : « Mets-toi en travers de mes genoux.» J’hésite, elle me tire par le bras. «Allez, couche-toi sur mes genoux». J’obéis, elle baisse mon slip et me flanque une fessée magistrale. «Tu aimes ça, hein ?» Les fesses me cuisent mais cela ne m’a pas déplu. Tandis que je me reculotte, la libraire ouvre son corsage, remonte son soutien-gorge au-dessus de ses seins et demande : «Ils te plaisent?». Elle en a une sacrée paire !

Au moment de partir, elle propose : « La prochaine fois, si tu veux, je te montre mon slip, à condition que tu te laisses masturber». Je pars en y pensant. Trois jours plus tard, je reviens. Elles ferment comme d’habitude. La libraire s’assoit, me fait agenouiller devant elle, relève sa jupe au-dessus des genoux, croise et décroise ses jambes sous mon nez, écarte les jambes. La soeur demande : «Tu la vois sa culotte?» Je vois qu’elle porte des bas et un petit slip blanc. J’ai été ensuite masturbé et fessé par chacune d’elles. La semaine suivante, comme je choisissais un nouveau livre, l’aînée me montre la photographie d’une femme fessée et demande: «T’as jamais fessé une femme?» Je reconnais que non. «Tu veux fesser ma soeur ?» «Non, pas elle». Elle me regarde. «Pas elle alors qui?» J’hésite à répondre : «Vous». Elle réfléchit, choisit un livre, me montre une photo d’une femme à quatre pattes se fait caresser l’anus. Elle rit : «D’accord, tu me fesses, mais après tu me fais ça». J’accepte.

Elle se met à quatre pattes sur une table et sa soeur dit: «Allez, trousse-la, déculotte-la». Je la trousse très haut, je la déculotte et reste en extase devant ses énormes fesses, les premières que je vois au naturel. Je lui donne la fessée, elle geint un peu et je la caresse. La soeur dit : « Maintenant à moi». Un jour, j’ai été allongé sur une table et les deux soeurs m’ont chevauché, l’une sur mon visage, l’autre sur mon sexe et une m’a dépucelé. Je n’y suis pas retourné depuis deux mois.

Je commence à avoir peur. Je préférerais tellement, au lieu de ces rêvasseries, trouver une fille de mon âge et pouvoir l’aimer comme les autres s’aiment. Mais voilà, je suis timide !

(Image à la une : Getty Images)

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