Dingues de dong
16 mars 2021Gaëlle, 23 ans qui n’avait plus de relations sexuelles depuis un moment, succombe enfin à son désir de céder aux plaisirs lesbiens.
J’ai 23 ans et, depuis que j’ai perdu mon compagnon, il y a trois ans, dans un accident de moto, je vis chez ma tante, Karine, une femme divorcée, de vingt ans mon aînée. Après la mort de mon copain, je suis restée longtemps sans relations sexuelles. Les garçons ne m’intéressaient plus trop, et je me suis même demandé si je n’étais pas devenue lesbienne. Je n’avais jamais osé tenter l’expérience, mais j’ai néanmoins connu quelques effleurements, des baisers furtifs lors de soirées, qui n’ont fait que confirmer mon désir d’essayer l’amour avec une femme. Je vous raconte mon histoire de sexe.
Un soir où je me caressais seule dans mon lit avant de m’endormir, je ne sais pas pourquoi, je me suis mise à fantasmer sur Karine. J’ai même joui en pensant qu’elle me léchait. Ma tante est une très jolie femme, attirante, avec des formes sensuelles. Un soir, à table, la conversation a dérapé sur les sextoys. Je lui ai demandé si elle s’en était déjà servi. Elle m’a répondu que ça lui était arrivé avec d’anciens amants, mais jamais toute seule. Moi, je lui ai juste dit que j’aimerais bien essayer. Les jours ont passé, mais je ne parvenais pas à oublier cette conversation.
Je suis allée sur des sites de vente de gadgets sexy, et j’en ai trouvé un qui me faisait fantasmer énormément, car on pouvait s’en servir seule ou à deux : un double dong. Je l’ai commandé et, dès réception, j’ai fait un bel emballage cadeau, avec un petit message : « En souvenir d’une agréable conversation. De la part d’une femme si proche et pourtant encore lointaine… » Puis je l’ai expédié à Karine par la poste. Deux jours après, le facteur a sonné pour livrer un colis. J’ai crié que je ne pouvais pas aller ouvrir, que j’étais sous la douche, afin que ce soit Karine qui le réceptionne.
Ce jour-là, elle a semblé un peu nerveuse. Le lendemain, elle s’est montrée distante, presque absente. Ce n’est que trois jours plus tard qu’elle m’a demandé, à la fin du dîner : « Dis-moi Annabelle, tu ne m’aurais pas fait une blague, cette semaine ? » Je me suis sentie rougir. J’ai bafouillé : « Heu, non… Pourquoi ? » Au regard qu’elle m’a lancé, j’ai compris que je venais d’être démasquée. J’avais le feu au ventre. J’ai baissé les yeux, et en les relevant, j’ai constaté qu’elle était aussi rouge que moi. Puis nous avons éclaté de rire toutes les deux. « C’était donc toi ? » Je ne pouvais plus reculer. Mes jambes tremblaient.
Je me suis levée de table, et j’ai embrassé Karine. Juste un petit smack sur la bouche. Elle n’a rien dit, ne bougeait pas, me regardait droit dans les yeux. J’ai compris qu’à partir de ce moment, plus rien n’allait m’arrêter. Je me suis assise à califourchon sur ses genoux, et la prenant par le cou, je l’ai embrassée à pleine bouche. Je la sentais fondre sous mes baisers. Moi, j’étais tellement excitée que je tremblais de tous mes membres.
Elle a fourré une main sous ma jupe et l’a posée sur ma culotte. Elle m’a glissé avec un grand sourire « Dis-moi, je ne pensais pas te faire autant d’effet ! » Je n’en pouvais plus. Mes mains la caressaient partout, ses seins, son ventre, ses bras, son visage, ses cheveux… Elle m’a chuchoté à l’oreille, tout en continuant à chatouiller ma chatte à travers le tissu de ma culotte : « Alors, tu veux essayer avec moi le jouet que tu m’as offert ? » C’est à cet instant que j’ai eu un premier orgasme.
Elle s’est levée et m’a prise par la main pour aller jusqu’à sa chambre. J’étais tellement excitée que je sentais la mouille me couler entre les cuisses. Elle m’a glissé : « Allonge-toi sur le lit, je vais m’occuper de toi. » Le sang battait à mes tempes. Nous nous sommes déshabillées à toute vitesse. Moi, je ne me reconnaissais plus. Allongée sur le dos, j’ai levé le bassin en direction de Karine pour qu’elle me bouffe la chatte. Elle s’est vraiment comportée comme si ce n’était pas la première fois qu’elle faisait cela. Elle a d’abord promené sa langue autour des grandes lèvres, puis s’est rapprochée peu à peu du clito pour le laper, tandis que de ses deux mains, elle m’écartait les fesses.
Puis, elle est venue fourrer sa tête entre mes cuisses pour me dévorer vraiment. Elle enfonçait sa langue très loin en moi, me mettait des doigts, un, deux, trois… J’avais l’impression d’être prise, possédée, comme avec un mec. De ses deux mains, elle a empoigné mon cul et m’a renversée en arrière. J’ai tout de suite compris que mon petit trou allait subir le même sort que ma chatte ! Elle m’a écarté la rondelle, y a enfoncé son nez pour bien renifler mes parfums intimes, puis y a plongé sa langue bien profond. Mes sphincters s’ouvraient de façon indécente, appelant ses doigts. Je regardais, incrédule et comblée, ma tante, à genoux entre mes cuisses, qui me doigtait la rondelle. Je voulais le dong dans ma chatte mais avant, je tenais à m’occuper de Karine.
À mon tour, je l’ai léchée, mais j’ai voulu commencer par le cul et je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes. J’ai peloté ses seins par-derrière, puis j’ai fourré mon nez dans sa raie. Elle ne s’épilait pas autour de l’anus, ses poils trempés de sueur dégageaient une odeur bien musquée qui me rendait dingue! Tout en lui bouffant l’oeillet, je lui titillais le clito, lui enfonçait des doigts.
Entre deux gémissements, elle a dit tout bas, d’une voix enrouée: « Attends, je ne veux pas jouir tout de suite, j’ai envie d’essayer le gode… » Elle s’est levée pour s’emparer de la matraque de silicone, et m’a demandé de m’allonger sur le dos. Elle m’a enfoncé sans difficulté l’une des deux extrémités dans la chatte, puis s’est empalée sur l’autre. Je ne regrettais pas mon achat ! Ce gode bicéphale était tout simplement diabolique ! Nous nous enfilions comme deux cochonnes, en essayant de bouger au même rythme, et nous avons finalement joui presque au même moment, dans un cri. Nous nous sommes endormies l’une contre l’autre.
C’est comme cela que notre histoire a commencé. Nous vivons toujours ensemble aujourd’hui. Et depuis, nous avons fait des petits jeux à trois filles. C’est d’ailleurs notre complice préférée qui a pris la photo que je vous joins…
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