Premiers baisers
3 mars 2020Ethan, 46 ans
Fidèle lecteur depuis de nombreuses années, je voudrais profiter de votre magazine pour souhaiter un anniversaire un peu particulier. Il sera peut-être trop tard pour le numéro de février, mais si vous pouviez le publier quand même, ce serait vraiment génial !
Lorsqu’Annie est venue chez moi pour la première fois, le 5 février 2007, j’étais loin de me douter de ce qui allait se passer. Annie est une ex-petite copine de lycée, et nous nous étions retrouvés par hasard, dans une réinterstron.ru associative. Je lui ai proposé de prendre un café chez moi. Elle est venue le lendemain matin. Nous avons évoqué nos souvenirs. Elle m’a raconté le cours qu’avait pris sa vie, sa famille, ses activités, ses problèmes de santé : elle m’a avoué avoir mal, de façon presque chronique, aux cervicales.
Pour la soulager, je lui ai proposé un massage de la nuque. Je me suis assis sur le canapé derrière elle, et j’ai doucement massé son cou, le haut de ses épaules. Son pull à large col roulé entravait un peu mes mouvements. Je lui ai demandé de le passer par-dessus tête pendant que j’allais chercher de l’huile d’amande douce. Lorsque je suis revenu, elle était penchée en avant, le dos rond, le pull sur les genoux. Elle m’attendait sagement.Les mains enduites d’huile, j’ai repris mon massage.
A présent, c’était le soutien-gorge en dentelle bleue qui me posait ses limites. À force de faire, je me sentais fébrile, bizarre. Nous ne parlions plus. J’ai ressenti quelque chose d’étrange, une émotion que je n’avais pas éprouvée depuis longtemps. Ces frissons de mes quinze ans, de mon premier baiser, de mon baiser avec elle. Timidement, je lui ai proposé de dégrafer son soutien-gorge. Elle a accepté sans hésiter. J’ai donc ôté l’agrafe, et elle a fait glisser les bretelles sur ses épaules nues, pour le retirer complètement. Mon massage a repris, mes gestes étaient un peu plus amples. Mes mains huilées ont effleuré la base de ses seins, sont descendues sur ses flancs, remontées le long de sa colonne…Incapable de résister j’ai fait passer mes mains au-devant d’elle pour envelopper sa poitrine.
Tout tremblant, j’ai apprécié leur fermeté avec mes paumes, avant de caresser les tétons dressés. Je me suis penché en avant pour l’embrasser dans le cou, elle s’est reculée au même moment, dégageant ainsi sa gorge que j’ai malaxée sans retenue. Nos bouches se sont unies dans un fougueux baiser. Elle a passé ses bras au-dessus de sa tête, et m’a attiré tout contre elle. Nos langues s’enroulaient, virevoltaient, se titillaient. On s’est dévorés. J’ai eu l’impression de revenir trente-cinq ans en arrière, à notre premier rendez-vous.
Ca respiration s’est faite très saccadée. Je me suis interrompu pour venir la rejoindre sur le tapis. Elle a soufflé qu’elle en avait très envie, et que j’embrassais toujours aussi bien. Je me suis à nouveau jeté sur elle, j’étais en admiration devant ses seins de femme, légèrement galbés, de taille moyenne, mais fermes. Ses tétons pointaient au centre de ses aréoles brunes et tranchées. Je les ai pris dans ma bouche pour les agacer, les suçoter. Elle s’est complètement abandonnée à mes caresses.
Enhardie, ma main est descendue entre ses cuisses légèrement ouvertes, pour s’attarder sur son entrejambe à travers son jean. J’ai fait aller et venir ma main sur le bombé de son sexe. Elle l’a retirée en m’expliquant qu’elle avait ses règles, et qu’il valait mieux arrêter. J’ai continué à lui taquiner les seins et à l’embrasser. Mais mon sexe, prisonnier de mon pantalon, me faisait un mal fou. Je bandais comme à l’époque où nous ne faisions que flirter, des heures durant…
Nous en sommes restés là pour cette première fois, sans avoir joui ni l’un, ni l’autre, mais heureux de nous être retrouvés. C’est seulement quelques jours plus tard que nous avons pu pousser le flirt sans retenue et jouir ensemble. C’est bien plus tard encore que nous avons fait l’amour. Cela fera exactement un an le 5 février. Je sais qu’elle lit votre magazine et qu’elle se reconnaîtra. Joyeux (Annie) versaire ! Je l’aime, et rien ne compte plus qu’elle dans ma vie aujourd’hui.
(Image à la une : Getty Images)
Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…
L’épouse qui jouit d’un autre, c’est génial
Tout mon désir de voyeur était comblé. Quand j’ai entendu enfin : « Enfile-moi vite maintenant », j’ai manqué défaillir, ma femme était devenue une vraie salope dont j’allais jouir terriblement. J’entendis qu’il la pénétrait car elle poussa un ha ! » Fabrice
« J’étais très fatiguée de ma journée, mais je ne voulais pas en rester là. Je le désirais, ce goûter. Je me suis mise à le sucer avec la bouche chaude, pleine de thé. Il a adoré ce rituel. Ma langue presque brûlante a encore augmenté son érection. » Mia