Par le petit trou

La rédaction 11 février 2021

De retour de sa séance de sport matinale, Ingrid peut compter sur les doigts de fée de son beau-frère pour détendre ses muscles tendus par l’effort. Se laissant porter par le désir et l’envie irrésistible de braver l’interdit, la jolie blonde découvrira bientôt un tout nouveau plaisir : la sodomie, art dans lequel son beau-frère visiblement excelle !

Cette histoire s’est passée lorsque j’étais en week-end chez ma sœur et son compagnon. Ils habitent une magnifique demeure au milieu des arbres, avec une grande terrasse entourée de verdure et toute équipée : transats, lit d’extérieur pour se prélasser… Autant vous dire que j’aime y passer du temps et que je ne perds pas une occasion d’y aller. Le seul point noir, c’est que nous avons tendance à nous comparer l’une l’autre avec ma sœur et, comme je m’entends bien avec Lionel, son mec, je sens que cela nourrit parfois un peu de jalousie…

Mais je n’y peux rien, moi, si on a une complicité tous les deux ! Je trouve qu’elle devrait plutôt s’en réjouir. Bon, ce que je ne vous dis pas, c’est que Lionel louche carrément sur moi et que, quand je sors de la douche ou que je me change la porte ouverte, je vois bien qu’il a l’œil baladeur.

Et moi, je ne suis pas totalement innocente non plus, puisque je fais désormais exprès de laisser la porte entrouverte, maintenant que j’ai constaté son intérêt pour mes formes. Ça me fait rire ! J’ai remarqué qu’il matait en particulier mon cul rebondi, avec un air de convoitise.

J’aime bien savoir qu’il me regarde et lui, il peut se rincer l’œil à son aise, car il voit bien que je ne suis pas farouche. Nous nous amusons ainsi tout en préservant les apparences, sans franchir la ligne rouge de la bienséance.

Mais ce matin-là, les choses ne se sont pas passées exactement comme d’habitude. Je suis partie faire un footing ­matinal. Quand je suis revenue sur la terrasse, j’étais toute collante de sueur.

Imaginez-moi, mes seins au gros bonnet bien serrés dans ma brassière de sport et luisants de l’effort, mon ventre plat, ravissant, exposé au vent, mes longs cheveux blonds noués en queue-de-cheval. J’ai retiré mon legging pour me retrouver en petite culotte quand Lionel est apparu sur le pas de la porte. Il était trop mignon dans son t-shirt bleu et avec sa barbe de trois jours. Je l’aurais volontiers croqué. Mais c’était le fruit défendu…

Je le croyais parti avec ma sœur en ville et j’ai sursauté. J’ai attrapé une serviette pour me couvrir et m’éponger. « Ha ! Tu es là ? » « Oui, ça a été ton footing ? Tu as l’air d’avoir chaud. » « Oui », j’ai répondu. « Je crois que je me suis fait un peu mal au dos. » Je me tamponnais les seins en le regardant et Lionel me dévorait des yeux. « Fais voir ça. » Mon beau-frère est kiné et je n’étais pas tout à fait naïve en lui disant cela. Évidemment, il a mordu à l’hameçon.

Lionel est venu dans mon dos et a posé ses mains sur mes épaules. Ce contact était bon, j’aurais eu envie que ses paumes malaxent tout mon corps pour me faire du bien. Il a pressé mes muscles endoloris et la vigueur de sa poigne me faisait vraiment de l’effet. Je me relâchais et il continuait de me masser, debout contre moi.

À mesure que je me détendais, je le sentais qui se rapprochait imperceptiblement. Son souffle était dans mon cou, son entrejambe me frôlait les fesses.

Il a chuchoté à mon oreille : « Tu es tendue Ingrid, mais tu es magnifique… C’est dur de te résister. » J’ai fermé les yeux. Était-ce en train d’arriver ? J’ai penché la tête en arrière pour la poser sur son épaule, dans un geste qui confirmait que je baissais la garde.

Ses mains se sont enhardies. Elles ont pressé mon dos, mes hanches, sont venues sur mon ventre, et, audace suprême qu’il s’est autorisé, elles sont venues sur ma brassière de sport.

Elles l’ont soulevée et ont découvert mes gros lolos… Il avait osé ! Et là, pour moi, c’était trop tard, car mes seins sont comme deux autres clitos et ils me font partir au quart de tour. Il les a soupesés, découverts.

C’était tellement excitant comme approche… Ses mains tenaient mes deux globes recouverts d’une fine pellicule de transpiration qui séchait à l’air libre. Il les a pressés l’un contre l’autre en les massant. Je me suis mise à soupirer. Je me lâchais, parce qu’il était dans mon dos et que je me sentais plus libre d’exprimer mon plaisir sans qu’il puisse voir mon expression.

J’ai posé mes mains sur les siennes pour accompagner son massage mammaire et, alors que je me mettais moi-même à malaxer mon imposante poitrine, il a retiré ses mains de sous les miennes pour venir pincer mes tétons. Hum, le délice… Ses doigts agiles les faisaient rouler tout doucement, puis il les caressait juste du bout de la phalange et les tapotait pour les faire durcir. Ma chatte s’est instantanément mise à suinter de mouille et j’ai senti mon clito se réchauffer dans ma culotte. C’était trop tard pour reculer.

Je me suis agenouillée pour me trouver au niveau de sa queue. J’ai baissé son short dont la forme laissait présager un bel engin. Miam, elle était bien droite et ne demandait qu’à être goûtée.

Nos regards, transformés par la luxure, se croisaient enfin. Mais nous avons choisi de ne pas parler. Le temps pressait. J’ai léché le dessous de ses couilles pendant qu’il se branlait au-dessus de mon visage. Cette peau toute douce ravissait mes papilles. Je l’ai sucé quelques instants pour bien humidifier la bête.

Puis, comme il avait manifesté un intérêt particulier envers mes gros seins, j’ai voulu être encore plus généreuse de ma personne et lui en faire profiter encore. J’ai placé son membre entre mes deux grosses pommes et il a pu se branler entre les deux monceaux de chair ferme que je pressais pour bien stimuler sa bite avec. J’adorais la voir, frémissante et aux veines saillantes gonflées par le désir, s’agiter contre ma poitrine généreuse qui l’accueillait avec ravissement… Sortis de ma brassière, mes seins paraissaient encore plus gros que d’habitude.

« J’ai envie de te prendre par le cul », a dit Lionel. Je lui ai confié que, à 35 ans, je n’étais jamais allée au bout de ce plaisir, car les mecs qui avaient essayé s’y prenaient comme des manches.

Il ­m’excitait tellement que je voulais bien essayer avec lui, à condition qu’il me promette que j’allais vraiment prendre mon pied. « Oh, t’inquiète pas ma chérie, je peux t’assurer que tu vas en redemander. Même ta sœur, coincée comme elle était quand je l’ai rencontrée,elle adore ça maintenant. » J’ai rigolé tout en l’embrassant. « Essayons de ne pas parler d’elle si tu veux bien. » « Je vais te guider. » Lionel m’a fait m’agenouiller sur le lit d’extérieur.

Il était d’un blanc immaculé, alors nous devions faire attention à ne pas le tacher. Une fois à genoux, j’ai baissé ma culotte à mi-cuisses et j’ai cambré le cul pour qu’il puisse bien voir tous mes orifices. J’avais été bien avisée de me faire épiler le sillon interfessier avant de partir en week-end ! Ma chatte et mon trou du cul frémissaient de désir à l’avance. « Fais-moi voir ça », a-t-il dit de nouveau, de sa voix rauque et sexy.

D’une main, j’ai écarté la moitié de mon cul et lui a tenu l’autre partie pour bien dégager mon petit trou… Lionel a entrepris de me stimuler pour me préparer à sa future percée dans mes tréfonds. Il a d’abord caressé ma vulve et mon clito par en dessous, réveillant encore davantage le désir sauvage niché en moi.

De mon autre main, je me caressais les tétons pour me faire mouiller plus abondamment. Il m’a doigtée avec deux doigts bien plantés en moi. Il les a fait venir dans ma chatte, les faisant coulisser délicatement. Ils en sont ressortis trempés. Je le regardais par-derrière pendant qu’il s’occupait de moi. Pendant qu’il se branlait en matant mon cul, il goûtait ma mouille en fourrant ses deux doigts dans sa bouche avide. Vision follement excitante.

Ma sœur avait tellement de chance de l’avoir pour conjoint ! La connaissant, j’étais sûre qu’elle n’en profitait pas assez et que c’était aussi pour ça que Lionel avait craqué pour moi. Il devait sentir que j’étais plus disponible à ce niveau-là que ma frangine. En plus, je lui ressemblais.

J’étais elle, en mode folle du cul, bref, son fantasme. C’était une trahison, et j’essayais de ne pas paniquer à l’idée des conséquences que cette transgression pourrait entraîner, mais Lionel m’avait trop tentée, je ne pouvais plus m’arrêter. J’avais un besoin physique qu’il me saute. Pour le reste, nous verrions plus tard.

Avec ses doigts bien lubrifiés, il s’est attaqué à mon cul. Il y a enfoncé doucement un, puis deux, puis trois doigts. Il s’y prenait avec une infinie douceur et en même temps, avec suffisamment de fermeté pour me pénétrer avec assurance.

Je sentais les sensations si particulières à ce plaisir me saisir de leur intrusion délicieuse et puissante. Je sentais mon cul s’écarter, céder de plus en plus sous ses caresses à mesure qu’il me détendait le petit trou… C’était nouveau pour moi, ce ressenti très profond, si intime et si fort, avec un frottement au plus près de la peau, une forme d’intimité encore plus violente que la pénétration classique.

Il s’est mis à me baiser le cul avec ses doigts jusqu’à me faire gémir. Il a craché sur ma rosette.

J’ai senti l’humidité de ce fluide se déposer à cet endroit si intime et délicat de ma personne. Il prenait aussi de la mouille dans ma chatte pour m’en badigeonner le cul… J’avais tellement envie de sa queue que je l’aurais supplié tellement il m’avait bien préparée à cette nouvelle pratique.

« Prête ? » J’ai gémi que oui. Sa bite est venue à l’entrée de mes fesses. Il s’est branlé contre le trou et, petit à petit, il m’a pénétrée avec son gros pieu. La violence du plaisir m’a saisie.

J’étais à quatre pattes sur le lit de jardin, les seins sortis de ma brassière, le visage tourné vers lui dans une expression de réjouissance totale. Je savais que je le faisais bander à mort. Sa queue dans mon petit trou était tel un volcan de sensations. Le frottement, si proche, de nos muqueuses, la grosseur de son membre dans ce trou plus resserré que le vagin et aussi plus intense dans les ressentis au moment de la pénétration, m’auraient presque fait voir les étoiles. « Ça va, tu aimes Ça ? » « J’adoooore », ai-je râlé en me faisant prendre. « Tu aimes vraiment plus le sexe que ta sœur. » « Tais-toi et baise-moi. »

Il m’a pris au mot et s’est mis à me pilonner le cul. Sa queue bien lubrifiée entrait et sortait de moi avec agilité et me donnait un vrai sentiment de joie tant c’était bon. Je criais ma surprise et mon abandon, et mes bruits partaient dans la forêt dans un vaste écho. Il me possédait par le cul, il me sautait si bien, créant littéralement une éruption de plaisir dans mon fondement, qui s’ouvrait encore plus grand pour le laisser passer. J’étais dans une autre galaxie, tellement je baignais dans la félicité. Ses mains pétrissaient mes deux globes pendant qu’il me sautait, et ajoutaient à la sensation de sa pénétration. Mon cul était une boule d’extase.

J’ai voulu changer de position pour avoir des sensations nouvelles. Je me suis installée sur le dos, sur le lit, m’en foutant désormais des taches de mouille tellement j’étais tournée vers ce qui se passait dans mon cul. C’était vraiment péché, ce qu’on faisait, mais en même temps, il était impossible de ne pas se laisser aller à un pareil kif, je ne pouvais même pas imaginer qu’on puisse ne pas avoir envie de baiser avec Lionel tous les jours de l’année… On rêve toujours de ce qu’on n’a pas, malheureusement.

Il m’a prise à nouveau par le cul alors que j’étais sur le dos. C’était vraiment cette partie-là qui l’obsédait et il avoua avoir rêvé de me faire ça depuis un moment déjà car il trouvait que j’avais un boule magnifique.

Dans cette position encore, c’était magique, et alors qu’il continuait de me sodomiser, j’ai voulu caresser mon sexe qui se languissait de n’être pas sollicité. J’avais les jambes en l’air pour qu’il me baise les fesses plus profondément, et je me suis mise à me branler le clito avec un élan incroyable.

C’était vraiment le pied, je me donnais du plaisir sur ma chatte comme j’aime, et en même temps mon cul était en train de s’embraser de ses coups de bite qui m’emmenaient dans des niveaux de jouissance rarement atteints.

Je me branlais au même rythme qu’il me sautait.

Peu habituée à être délaissée de la sorte, ma chatte mouillait de plus belle, implorant qu’on s’occupe d’elle. Alors, je me suis enfoncée un, puis deux, puis trois doigts dans la fente. Je délirais presque tant les sensations étaient envahissantes.

Ma chatte recevait mes doigts et je me stimulais vaginalement comme je sais faire.

J’adore me donner du plaisir devant un homme et là, c’était encore mieux, car je le faisais pendant qu’il m’enculait. J’ai basculé les jambes sur le côté pour qu’il me baise encore dans un nouvel axe. Debout contre le lit, il continuait de tremper sa queue dans mon petit trou tout en me caressant les cheveux et le visage, en me disant à quel point je le faisais bander. Il avait envie de me posséder par tous les trous. Je pense que ma sœur ne le laissait pas faire autant de trucs qu’il voulait et il s’en donnait donc à cœur joie avec moi.

Il a retiré son sexe pour venir près de mon visage et me le fourrer dans la bouche. Hum ! J’adorais qu’il soit dominant comme ça avec moi et qu’il se laisse aller à ses pulsions les plus bestiales. J’étais moi-même très heureuse d’en être la destinataire et de pouvoir me faire baiser par pareil étalon.

Ensuite, nous avons voulu tenter une position plus acrobatique. C’est lui qui s’est installé sur le dos cette fois-ci, nu, et je me suis à mon tour allongée sur son corps.

J’ai dirigé sa queue pour qu’il me pénètre le cul par-derrière. Je venais de découvrir les voluptés de la sodomie et je ne pouvais déjà plus m’en passer.

Avec une jambe de chaque côté de lui, je m’appuyais sur le matelas pour aller et venir sur sa bite bien raide qui fendait mes fesses avec une énergie remarquable. Je criais encore, en espérant que ma sœur n’allait pas se pointer d’une seconde à l’autre pour nous découvrir comme ça, lui sous moi et moi sur lui, les nichons dardés vers le ciel, avec la bite de son compagnon qui me faisait le cul… Cela pourrait vraiment être traumatisant pour elle !

Dans cette position, j’ai continué à me caresser de plus belle pendant qu’il m’enculait. La percée voluptueuse et subtilement douloureuse de sa pénétration se conjuguait à la brutalité avec laquelle je me branlais le clito et le plaisir était vraiment en train de me terrasser… Nos souffles et ses allées et venues s’intensifiaient, je sentais l’orgasme monter en moi, prêt à éclater. Lionel s’est enhardi et il m’a retournée de toute sa force sur le lit pour me prendre une dernière fois avec vigueur.

J’avais le cul pointé en l’air vers lui, les épaules et le visage contre le lit, à me prendre encore ses derniers coups de queue pendant qu’entre mes cuisses ma main s’agitait, comme prise de démence, sur mon clito déjà enflammé de désir.

Lui, debout derrière moi, était concentré sur le fait de m’enculer jusqu’à me faire exploser le cul de jouissance. Je ne répondais plus de moi-même, j’étais dans une position totalement abandonnée avec son gros sexe qui me pilonnait.

J’ai senti l’orgasme pointer puis éclater dans mon sexe, un flot de cyprine sortir de moi. Merde, le lit ! Je m’en foutais.

Je criais mon euphorie lubrique, et je laissais les sensations orgasmisques me transporter. Enfin, Lionel a sorti sa bite pour éjaculer sur ma rosette.

Il voulait voir le liquide se répandre sur mon cul comme signe final de sa possession. Il y en avait tellement que ça a encore plus taché le matelas. Nous étions transis, repus.

Sa queue et mes trous gouttaient de nos fluides. Nous sommes allés chercher une éponge pour réparer les dégâts et j’ai remis prestement mon legging.

Quand ma sœur est rentrée de sa sortie en ville quelques minutes plus tard, elle m’a regardée en disant : « Dis donc, tu transpires beaucoup ! »  Si elle savait…

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