Direction 7ème ciel

La rédaction 20 octobre 2024

Le récit porno de ce couple est bandant. En direction de leurs vacances, ils ne peuvent résister à l’envie de baiser dans l’avion…

Je m’appelle Marc, j’ai 45 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. Avec ma femme, nous sommes partis au début d’un été pour les Philippines. Nous avons pris l’avion depuis Paris, pour un vol qui s’annonçait assez long. Nous nous sommes installés côte à côte dans le fond de l’appareil, sur le côté. Nous étions seuls dans notre rangée car nous voyagions hors saison et l’avion n’était donc pas plein.

S’envoyer en l’air

Ma femme avait mis une robe de coton légère, confortable et sexy à la fois. Nous discutions en riant, heureux d’être enfin « off » et de nous envoler à deux vers des contrées plus radieuses que notre quotidien de boulot. Nous nous taquinions, commentions nos lectures respectives. Je la chatouillais pour la faire un peu crier, ce qui m’excite à tous les coups. J’avais l’impression que nous étions en lune de miel à nouveau. Son regard était coquin, enjoué comme j’aime. Nous partageons tous les deux une grande complicité et en vacances, nous sommes comme des gamins. Elle a donc commencé à couiner sous mes chatouilles et, pour répliquer, s’est mise à donner des petites tapes vers mon sexe, tentant de le pincer. Elle a constaté sous sa main qu’il était déjà dressé vers elle et m’a jeté un regard entendu. Elle a regardé autour d’elle et, toujours avec cet air de coquine, a déboutonné mon pantalon. « Qu’est-ce que tu fais ? », ai-je demandé. « Je m’amuse », a-t-elle dit en riant.

Très discrètement, dans un parfait silence, elle a dégagé ma queue pour la mettre dans sa bouche pleine de rouge à lèvres comme j’aime. Ma bite a disparu sous son épaisse chevelure. J’avais une vue sur sa nuque et le haut de son dos délicat, pendant que je la sentais enserrer mon sexe de la caresse chaude et parfaite provoquée par sa pipe. Elle suçait, montait et descendait le long de mon chibre, tétant mon gland avec passion. J’ai eu envie de m’envoyer en l’air (littéralement) avec elle et nous sommes allés dans la petite cabine des toilettes située juste dernière nous. Là, j’ai installé ma douce sur le bord du lavabo pour glisser ma tête sous sa robe et lécher sa chatte. J’écartais sa culotte et j’agitais ma langue sur son clito, la faisant soupirer de plaisir. La cabine était exiguë, et ma tête s’encastrait parfaitement entre ses cuisses sensuelles.

Baise dans la cabine de l’avion

Je m’y trouvais bloqué de la plus délicieuse des manières. Nous n’avions jamais fait ce genre d’écart auparavant, nous gardant bien de baiser dans un espace public. Nous étions comme fous et dopés par l’adrénaline. Elle m’avait fait perdre la tête avec son petit air de chaudasse et je la voulais toute entière pour moi, je voulais la posséder même dans le plus incongru des endroits. Appuyée sur le bord du lavabo, ma femme écartait ses cuisses et dévoilait à mon regard sa fente offerte à mes caprices. La touffe noire s’affichait fièrement au milieu de la peau délicate et cette vision me rend toujours aussi fou. Ses seins remplissaient bien sa robe et je pouvais les voir durcir sous le coton. Je l’ai doigtée en recourbant les doigts et en la baisant de mes phalanges émerveillées. Sa mouille écumait sur sa chatte. Je me suis assis sur la lunette rabattue des toilettes et ma belle s’est mise à califourchon sur moi pour se pénétrer avec ma queue. Je me suis enfoncé en elle et je l’ai bien sentie me prendre dans son sexe si accueillant, serrant et desserrant son périnée autour de ma tige, créant cet étau de chair autour de moi.

Je frémissais en elle et me laissais chevaucher par celle qui s’agitait sur moi, cambrant, frottant, me baisant tant bien que mal dans l’espace imparti. Ma belle a commencé à se branler le clito pendant qu’elle tressautait sur mon sexe. Je la regardais en l’encourageant. « Vas-y, branle-toi, fais-toi jouir. » Ses cheveux étaient tout crépus, son rouge avait débordé de sa bouche. Elle était plus bandante que jamais. Quand j’ai vu son visage se déformer dans un orgasme silencieux, j’ai attrapé ses hanches pour lui faire accélérer son mouvement et la sauter plus profondément, pour la fourrer dans une dernière pulsion de vie, la faire bien sauter sur ma queue qui se perdait dans les tréfonds de sa chatte, en même temps que ses seins se balançaient sous mes yeux éblouis. J’ai joui quelques minutes après elle, les yeux plantés dans les siens. Après cette petite sauterie, nous sommes revenus à nos places discrètement, toujours en riant. Le parfum de ma femme se confondait avec les odeurs de nos sexes qui remontaient d’entre nos cuisses jusqu’à nos narines. Nous avons dormi tout le reste du voyage, blottis l’un contre l’autre.

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