Sexy yogi
15 octobre 2020Annabelle, 55 ans, est prof de yoga. Pendant le confinement elle donne des cours par webcam et notamment à Paul qui a un faible pour elle.
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Comment s’est passé votre confinement ? J’espère que le virus vous a laissé tranquilles !
Je m’appelle Annabelle. Il y a trois ans, je me suis lancée dans une nouvelle carrière. Je suis actuellement prof de yoga. J’ai le physique pour ça : je suis une grande liane, à la petite poitrine et aux fesses musclées, et je fais plus jeune que mes 55 ans. Pas vraiment besoin de teindre mes cheveux châtain clair ni de mettre de la crème de jour : le yoga est mon secret anti-âge !
Durant le confinement, j’ai dispensé mes cours en visio. J’installais mon ordinateur dans mon salon et je lançais mes classes, en divisant les habitués en groupes de cinq ou six maximum. L’un d’eux s’appelle Paul. Il a 35 ans et se croit tout permis car il est beau : musclé, les cheveux blonds mi-longs et une gueule d’ange. Mais à moi qui aime les barbus très virils, il ne me faisait pas d’effet malgré ses tentatives.
Souvent, il m’envoyait des SMS en plein cours pour me complimenter, ou bien il me disait en fin de séance que ça lui manquait que je ne corrige plus physiquement ses postures. Cette provocation m’agaçait.
Lors d’un cours, il a été particulièrement dragueur, ce qui a perturbé la concentration des autres élèves. À la fin de la cession, je lui ai dit que je voulais qu’il reste connecté pour lui parler. J’avais décidé de le provoquer pour qu’il se calme. Quel échec cela a été…
Nous nous sommes retrouvés rien que tous les deux face à nos écrans. Il m’a dit : « Ça ne te dérange pas si je me mets à l’aise ? J’ai chaud, après ce que tu nous as fait faire ». Il a enlevé son bas de jogging et son t-shirt puis s’est assis en tailleur sur son tapis. La sueur couvrait ses pectoraux bien dessinés. Une mèche de cheveux est tombée devant ses yeux et il a soufflé pour la dégager. Frimeur, sûr de lui… Il m’énervait et en même temps, quelle beauté !
J’ai respiré par le diaphragme pour contrôler mon agacement. Zen, Annabelle ! Puis j’ai dit à Paul : « Je voudrais te parler à cœur ouvert. Tu sembles attiré par moi et tu m’attires aussi, mais à mon âge, on veut du sérieux ». Une discussion sur les sentiments, ça aurait dû le refroidir.
Mais Paul a souri finement : « Écoute, je sais que tu me prends pour un dragueur. Mais je suis très sérieux. Je n’ai pas envie d’être avec une fille de mon âge. Elles sont fades, alors que tu as une vraie profondeur. Et tu sembles l’ignorer, mais tu es très sexy… » Il a planté ses bras au sol et s’est cambré en fixant son entrecuisse. Son boxer s’est tendu peu à peu comme un chapiteau.
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Entre ces révélations et cette érection surprise, j’ai perdu tous mes moyens. J’ai voulu le cacher en continuant la provocation : « Hum, je vois que tu es en forme. Tu veux qu’on continue le cours ? Tu pourrais… Je ne sais pas… Me montrer ce que tu me caches encore ». Paul m’a regardé intensément et sa beauté m’a foudroyée.
Il a glissé sa main dans le boxer pour sortir une queue blanche et dure, au gland charnu… Dommage qu’elle soit derrière un écran, me suis-je entendue penser. « Elle me paraît prête à l’exercice, ai-je continué en me mordant les lèvres malgré moi. Prends-la en main et caresse-toi uniquement au niveau du gland ». Mon élève a obtempéré, très appliqué.
J’ai réalisé que j’étais en nage moi aussi, alors j’ai enlevé le haut, puis le bas. En culotte et brassière moulante, j’ai eu envie d’épicer encore la séance. Je me suis mise en posture du chat, c’est-à-dire à quatre pattes, et j’ai regardé Paul avec gourmandise : « Si je pouvais, je traverserais l’écran et je me mettrais comme ça devant toi. Qu’est-ce que tu en dirais ? »
Paul commençait à haleter : « Hmmm… Je me mettrais à genoux derrière toi et j’enlèverai cette petite culotte, elle me gêne… » D’un geste, j’ai accédé à sa requête. Je n’arrivais pas à croire que j’étais cul nu devant sa gueule d’ange ! « Regarde, je suis à toi !, lui ai-je dit. Caresse-toi de haut en bas, toujours dans un rythme lent » Paul a gémi.
Pour toujours plus de spectacle, je suis passée en position assise, jambes écartées et dos bien droit. Ma vulve était complètement exposée au regard très sexuel de mon élève.
« Tu es trop excitante, Anna, a-t-il gémi, tu me rends fou ! » Sa carotide palpitait au niveau de son cou et son torse ruisselait de sueur. De mes doigts, j’ai écarté mes lèvres toute humides et j’ai ordonné : « Branle-la plus fort, maintenant. Plus vite. Allez, en rythme ! » En même temps que je l’incitais, j’ai commencé à me masturber.
Le visage de Paul était rouge d’excitation, sa main s’activait à fond, le gland luisait, le cou se tendait et moi, je montais, je montais… Tout à coup, j’ai senti une décharge partir du sommet de mon crâne jusqu’à mes orteils et j’ai hurlé. En face, Paul ouvrait ses grands yeux clairs, fasciné par la puissance de mon orgasme ! J’ai soufflé : « Vas-y, à toi ! » et il a éjaculé tellement fort que des gouttes ont atterri sur la caméra de son ordi !
Essoufflés, nous nous sommes regardés, tout suants et un peu gênés. Quelle séance… Malheureusement, j’avais un autre cours juste après et j’ai dû couper la visio. Une douche plus tard, j’étais à nouveau en place. Mais j’ai dû retourner mon tapis de yoga, humide après ce cours très particulier…