Comme un avion sans elle
24 juin 2024Katy, 31 ans, reçoit une invitation d’une hôtesse de l’air et découvre le plaisir de coucher avec une autre femme.
Je m’appelle Katy et je suis négociatrice pour une très grosse société internationale, ce qui m’amène à voyager beaucoup. Ça a été dur de me faire ma place dans un milieu d’hommes, mais je leur ai vite prouvé que j’étais aussi compétente qu’eux, voire plus. Voici mon histoire de sexe.
Le mois dernier, je devais aller passer cinq jours à Boston. En montant à bord de l’avion, j’étais rompue de fatigue. Je me suis installée dans mon fauteuil, en business class. L’hôtesse s’est approchée de moi. Elle était superbe. Blonde, les cheveux tirés en arrière, les traits parfaits, le sourire éclatant, la poitrine volumineuse compressée dans un chemisier très près du corps, des jambes fines. Elle s’est penchée pour me demander avec un sourire enjôleur si je désirais boire quelque chose. J’ai été saisie par la fragrance de son parfum, les vapeurs de sa laque, l’odeur sucrée de son rouge à lèvres. Soudain, j’ai senti la chaleur de son corps, à quelques centimètres du mien. C’était un peu comme si nos physiques s’étaient connectés. Je lui ai rendu son sourire. J’ai lu dans ses yeux une belle émotion, quelque chose de léger, de vivant, de joueur, aussi.
Une invitation à baiser
J’ai peu dormi pendant le voyage. Je l’observais. Nous échangions des sourires francs à tout bout de champ. Peu avant l’atterrissage, en me servant un café, elle a posé sa carte sur ma table. Elle y avait écrit le nom de son hôtel et « 22 heures, ce soir ? » Ma réaction m’a étonnée. J’ai été profondément troublée, et une onde de chaleur s’est propagée dans mon corps à la pensée de ce qui allait arriver… Tout était écrit là, sur cette petite carte. Je suis mariée depuis douze ans et j’aime mon mari. Mais j’allais répondre à cette invitation.
La journée m’a paru interminable… Je me suis changée dans ma chambre, et je suis partie. Quand j’ai franchi les portes de son hôtel, mon coeur a fait des bonds dans ma poitrine. Elle occupait la chambre 27. Je suis montée au deuxième étage. Élodie m’a ouvert. Elle avait revêtu une robe en V. Elle était ravissante. J’ai tout de suite reconnu son odeur musquée. Elle avait débouché une bouteille de vin. Nous avons bu. Beaucoup parlé. Nos mains s’étaient rapprochées jusqu’à se toucher.
Prendre les devants
C’est elle qui a pris les devants. Je me suis abandonnée à ses mains, qui ont déboutonné ma robe et l’ont fait glisser au sol. « Tu as un corps magnifique », m’a-t-elle dit. Elle a dégrafé mon soutien-gorge, et s’est saisie fermement de mes deux petits seins. Elle en a pincé les tétons, les a massés dans un geste très sensuel, et m’a débarrassée de ma petite culotte. À ce moment-là, Élodie m’a regardée droit dans les yeux : « On peut encore faire marche arrière, tu sais. » J’étais paralysée par les vagues chaudes de désir qui me submergeaient. « Pour rien au monde…« , ai-je réussi à articuler.
Je l’ai embrassée. Sa langue un peu pointue était d’une douceur épatante. Elle s’est mise à genoux devant moi et m’a caressé les cuisses, les genoux, les mollets, puis les fesses. Elle a remonté les mains vers ma fente, et a écarté mes lèvres humides. Très doucement, elle a avancé le nez et l’a frotté contre mon clitoris, qui m’envoyait de délicieuses décharges. Elodie a déposé un bisou sur mon petit bouton, puis un deuxième, et le bout pointu de sa langue s’est occupé du reste. Ses doigts s’activaient fébrilement, me massaient les lèvres, rentraient à l’intérieur de moi et appuyaient contre mon petit renfoncement. Debout, dans ce salon un peu impersonnel, j’ai joui. Quelques gouttes de plaisir sont sorties de moi.
La découverte d’un plaisir
J’avais déjà fait l’amour avec une femme, quand j’étais étudiante, mais c’était plus par défi que par goût. Je ne m’étais pas rendue compte à quel point c’était merveilleux. J’ai demandé à Élodie de se déshabiller devant moi. Je voulais voir ses formes affirmées, ses parfaites proportions. Avec un sourire coquin, elle s’est dévoilée à moi dans toute sa nudité. Elle ne portait aucun sous-vêtement. Elle s’est allongée lascivement sur le canapé blanc, en laissant traîner une de ses jambes à terre, pour me montrer sa peau glabre et juteuse, les petits poils blonds de sa toison. J’ai touché ses seins lourds, sa peau moelleuse, je l’ai recouverte de baisers, je l’ai goûtée à grands coups de langue, de bas en haut. Elle miaulait comme une petite chatte, et cela m’excitait beaucoup. Je me suis allongée en ciseaux contre elle, et nous nous sommes fait jouir en caressant nos sexes l’un contre l’autre, en les frottant délicatement. Notre plaisir est monté d’une manière progressive et intense. C’était très beau.
Je l’ai revue deux semaines plus tard, à Paris. Elle m’a invitée chez elle. Nos corps étaient toujours connectés. Depuis, nous nous voyons régulièrement. Nous faisons l’amour de tout notre corps et de tout notre coeur. Récemment, par jeu, elle m’a photographiée nue, après un câlin. Alors, j’ai fait de même… Vous ne trouvez pas qu’elle est jolie, ses seins tout doux à l’air, avec son godemichet fétiche dont elle sait si bien se servir…
(Image à la une : Getty Images)
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