Caroline, un aimant à queues tout en latex

La rédaction 5 juillet 2022

Caroline, la jeune belle fille de Christian se fait briser le cul lorsqu’il apprend qu’elle a acheté 3000 euros de lingerie.Elle devient un véritable aimant à queues.

Bonjour, moi c’est Caroline, 22 ans et ça c’est mon histoire de sexe, je ne me suis pas rendu compte ! Trois mille euros J’ai tapé dans la carte bleue de mon beau-père, Christian, trop ! Des godemichets, des jouets de toute sorte, de toute taille, vibrants ou non, des menottes, des boules de geisha, toute une panoplie de trucs BDSM et de la lingerie, beaucoup de lingerie, vraiment beaucoup !

Des combis en cuir ou en latex, des soutien-gorges laissant le bout des seins à l’air, des culottes dans lesquelles il y a plus de trous que de tissu !

la queue du « salaud »

Du coup ce salaud a fouillé ma chambre et a exhumé toutes mes… excentricités. Je me souviendrai toujours du premier soir, ma mère était en déplacement à Seattle, je sortais de ma douche quand j’ai trouvé sur mon lit une partie de mon attirail, un ensemble comprenant un soutif rouge et une guêpière hyper serrée, des bas, des foulards et mes chaussures en daim rose aux talons vertigineux.

Posé dessus, un petit mot : « Habille-toi, noue un foulard autour de tes yeux et attends-moi en petite chienne de soumise que tu es, offerte à tous mes désirs. »

Pas de signature, mais l’écriture était celle de Christian. J’aurais dû me révolter, aller l’insulter, appeler ma mère, au lieu de cela, j’ai senti mon con se gonfler, mes lèvres intimes s’humidifier et je me suis mise à mouiller comme jamais. J’ai laissé tomber ma serviette à mes pieds et je me suis habillée et maquillée. J’ai ceint mes yeux afin de me retrouver dans l’obscurité de mon désir.

Christian devait m’épier, car, quelques secondes après j’ai entendu les lattes du plancher grincer à l’entrée de ma chambre. « Alors ma petite garce de Caroline, ça te plaît de t’exhiber devant beau-papa ? » Mais la question était purement rhétorique, j’ai reçu une claque sur le cul qui m’a coupé le souffle !

J’ai senti ses mains me peloter les nichons sans ménagement, en pinçant fortement les bouts, les giflant à tour de rôle. Ma peau me picotait de partout, je me trouvais sale, délicieusement sale. Cet homme de plus de deux fois mon âge savait ce qu’il voulait, tout aussi bien que ce que je voulais moi, sans me l’être jamais avoué.

Ce jour-là il m’a juste baisé en levrette et donné à sucer sa queue après avoir joui au fond de ma chatte. Toujours avec mon bandeau sur les yeux j’ai découvert sa bite raide et super épaisse. J’ai dû nettoyer toute sa matraque en léchant le sperme mélangé à mon jus. Ce n’est qu’après qu’il m’a libérée avec un de mes vibros.

Le lendemain matin il m’a traitée comme si de rien n’était, sans aucune remarque sur ce qui s’était passé la veille, mais le soir même, le jeu a repris. Et il a repris tous les soirs.

Mouillée et attachée !

Le rituel était toujours le même, j’allais me laver et, au sortir de ma douche, je trouvais des pièces de lingerie éparses sur mon lit, un ou plusieurs ustensiles BDSM (cravache, bâillon, roue piquetée…) et un ou deux bandeaux.

Tous les soirs, les tenues changeaient, j’ai aussi vu apparaître de nouveaux ensembles que Christian m’achetait. Des strings, des serre-tailles, des bodies fendus à l’entrecuisse, des nippies…

Il m’a humilié jusqu’à la jouissance, il m’a fait couler de la cire brûlante sur les seins et les parties intimes, il m’a à moiti étouffée avec son énorme machin fiché au fond de ma gorge, il a défloré mon trou sacré, commençant par m’enculer avec des doigts, puis de petits godes pour finir par son bras d’enfant qu’il m’a enfoncé dans les fesses tout entier ! Il les aurait rentrées elles aussi s’il avait pu ce gros cochon !

On a baisé partout dans la maison, dans ma chambre, dans la sienne, dans le salon. En me quittant, après chaque séance, il m’envoyait les photos qu’il avait prises. J’avais honte, mais ma main suivait chaque nuit le chemin de mon sexe trempé et je me branlais frénétiquement pour obtenir un nouvel orgasme, presque douloureux.

Le samedi avant que ma mère ne rentre, il a dérogé à cette règle muette qui s’était instaurée entre nous, et il m’a emmenée dans les chaudes de Pigalle. Il m’a offert toutes les tenues dont j’avais envie et le soir, j’ai dû lui faire un défilé dans le salon, c’est la seule fois où j’ai vu sa bite et qu’il s’est astiqué le manche face à moi.

Ensuite il m’a donné un bain, j’ai même été obligée de faire pipi debout dans la baignoire devant ses yeux exorbités d’excitation. Cette nuit-là, il m’a baisée sans le foulard, il m’a attaché les mains et fait jouir jusqu’à une extase à la mixité troublante.

Douche de sperme…

Maman est en déplacement sept jours par mois, c’est notre semaine à Christian et à moi. Dernièrement, avec la réouverture des clubs, il m’a invitée dans une boîte libertine équipée d’un donjon.

Ma lingerie fine y fait des ravages, il me balade en laisse et collier et, comme il a compris que j’aimais ça, il me cherche les plus gros chibres de l’endroit pour que je me fasse défoncer dans les règles de l’art.

J’ai eu droit à ma première douche de sperme pas plus tard que le premier mardi de septembre huit mecs m’ont craché leur lait fertile dessus ! J’ai aussi été éduquée à lécher les trous du cul de ces messieurs et de ces dames, je ne suis pas lesbienne, mais qu’est-ce que j’aime vriller ma langue dans l’anus d’une belle blonde ou dans la chatte d’une rousse incendiaire.

C’est sur l’ordre de Christian que je vous envoie cette lettre, pour l’heure, c’est mon string rouge qui me sert de collier et j’ai du foutre plein les cheveux, lui est en train de choisir les photos que je vais devoir joindre, j’adore celle où je porte cette même culotte et où il m’encule bien profondément !

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