L’histoire de ma première sodomie
3 janvier 2021Lili, 22 ans, a envie de tester la sodomie mais elle ne sait pas trop comment s’y prendre et a peur : elle décide donc de regarder un porno…
Bonjour à tous les lecteurs et les lectrices du magazine. Tout d’abord, j’aimerais que vous ne vous moquiez pas de moi. Peut-être que mon histoire de sexe va vous sembler bien banale par rapport aux aventures dantesques que je lis parfois dans vos pages, mais tant pis !
Peut-être que, plus tard, je vous raconterai des choses bien plus cochonnes… il n’empêche qu’aujourd’hui, le dernier truc qui m’a retourné le cerveau, c’était ma première sodomie.
Je suis en couple avec Alexis depuis quelques années, il a 2 ans de plus que moi, et avait déjà essayé de passer « par la petite porte » avec son ancienne petite copine plusieurs fois. De ce qu’il me racontait régulièrement, c’était un grand « kiffe » pour elle comme pour lui, et ils étaient presque à une sodomie par semaine – il m’expliquait aussi que son ex avait besoin de se reposer entre chaque sodo, quelques jours seulement, puis elle pouvait repartir d’attaque comme si de rien n’était.
Comme il est adorable, il ne m’a pas trop brusquée pour que l’on se lance « à tout prix » dans cette pratique, même s’il avait mortellement envie de réessayer. Nous en parlions, régulièrement, mais à chaque fois je ne me sentais « pas prête ». Soit j’avais des petits problèmes intestinaux, soit j’avais mal dès qu’il entrait un peu et je mettais fin directement au jeu sexuel.
Pour être honnête, je culpabilisais un peu. J’avais l’impression d’être cette femme frigide et castratrice, incapable de lâcher prise aussi bien que son ex. Je sais ce que vous en pensez, tout cela est débile ! Il ne faut jamais se mettre en compétition avec une autre femme que vous ne connaissez pas. Mais que voulez-vous, c’était plus fort que moi ! Je me sentais nulle de chez nulle, et j’avais très peur qu’il me quitte.
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Le déclic ? Ça a été de regarder une vidéo porno où une jeune femme, d’environ mon âge, se godait le cul avec un sextoy en verre. Elle était seule sur son lit avec des draps bleus, illuminé seulement par quelques rayons de soleil qui perçaient à travers sa fenêtre.
Non seulement l’image m’hypnotisait totalement ; on voyait le gode luisant de lubrifiant disparaître dans ses profondeurs, comme absorbé, puis réapparaître, triomphant, mais aussi, rien qu’au visage comprimé de plaisir de l’actrice, je sentais bien que l’acte était terriblement excitant !
Au final, je me suis rendue compte que mon désir était la seule condition valable pour que je lâche prise totalement sur cette histoire. Quand Alexis a réessayé de me pénétrer, quelques jours après, son sexe est rentré en moi comme dans du beurre (évidemment, on avait mis du lubrifiant autour, sinon, c’est très douloureux !).
Dans ma tête, j’avais l’impression d’être cette actrice au gode de verre, et de me faire pénétrer avec autant d’élégance que dans la vidéo. J’étais dans les draps bleus, avec cette lumière tamisée qui caressait mes courbes. Et en quelques instants rapides, j’ai joui !
Mesdames, je profite de mon témoignage pour vous livrer un rapide conseil, si vous me le permettez : si un de vos partenaires attend une pratique particulière de vous, n’y allez pas avant que cela ne vous brûle dans les tripes ! Vous risquez de vous dégoûter du sexe et de passer à côté de quelque chose de merveilleux.