Un massage à quatre mains et à deux bites!!
3 novembre 2023Alain et Pierre sont tous les deux aussi excellent praticien que grand baiseur et Adèle s’est offerte à eux lors de son massage dans leur cabinet.
Kiné niqueur
À trente-cinq ans, j’ai décidé de changer de vie et de devenir kinésithérapeute. Je rêvais de liberté, mais surtout, un de mes amis qui exerçait cette profession m’avait laissé entendre que celle-ci ouvrait bien des voies ! Déjà pendant mes études, ça a niqué dans tous les coins. Il faut dire que les massages entre étudiants pour s’entraîner … ça rapproche ! Depuis, j’ai la cinquantaine légèrement dépassée et je ne regrette pas mon choix !Voici mon histoire de sexe.
J’ai un cabinet que je partage avec Pierre, aussi excellent praticien que grand baiseur devant l’éternel, c’est d’ailleurs lui qui m’a adressé Adèle. Cette jeune femme souffrait d’un lumbago, mais comme vous pouvez le constater, elle va beaucoup mieux depuis mon traitement !
Évidemment je savais par Pierre que la demoiselle était demandeuse d’une « cure » complète, c’est donc assisté de mon ami que je l’ai massée, sans encombre, la dame ayant pris soin de retirer tout ce qu’elle portait en haut. Le bas n’était guère plus couvrant puisque constitué d’une jupette de tennis à l’élastique très lâche et sans rien en dessous !
Autant vous dire que la seconde phase thérapeutique est arrivée très vite, Pierre a été cherché son appareil photo, nous aimons bien conserver quelques souvenirs de ces séances, et je me suis laissé aller à savourer une pipe absolument géniale. Adèle suçait merveilleusement bien et, comme ma queue est plutôt petite, elle parvenait à l’emmener loin dans sa bouche tout en jouant de sa langue sur mes burnes. Nous nous sommes ensuite installés en soixante-neuf, mon ex-femme et son tablier de sapeur ne m’incitaient pas vraiment au cunnilingus, la chatte d’Adèle était une dune que pas un poil ne venait encombrer, un pubis vierge de toute pilosité, je m’en suis donné à cœur joie. Cette petite brune piquante avait, en plus, l’orgasme facile, quelques digitales caresses sur ses fesses, autour de son anus puis dans le conduit moite de son vagin, ma langue à l’unisson sur son clitoris et elle s’est mise à jouir en coulant et en émettant des gémissements qui m’ont fait bander de plus belle.
Un appétit sexuel
La suite logique ? Une bonne levrette, bassin rétroversé, cul bien relevé et croupe offerte. J’ai enfilé un préservatif, Pierre est venu à mes côtés, la bosse qui déformait son pantalon en disait long sur son excitation, mais il a continué à nous photographier sans broncher. J’ai visé le haut de la fente rose et me suis introduit en douceur dans les chairs serrées. Le con d’Adèle était un étau de soie, un gouffre satiné et bien lubrifié. Elle a recommencé ses geignements sensuels, une vraie féline qui adorait la baise et prenait un plaisir certain à s’exhiber de la sorte devant deux hommes.
Je l’ai possédée ainsi à quatre pattes un bon moment, Adèle, la tête sur un coussin, encaissait mes coups de boutoir sans broncher, sans douleur particulière dans les lombaires, j’ai claqué son cul tout menu en lui insérant mon pouce dans le petit trou libre. Elle a réagi immédiatement à cette introduction dans son orifice étoilé en chuchotant des « oui, oui, oui … comme ça, oui … », j’ai fait bien attention à conserver le même rythme et elle a été emportée par une nouvelle vague de tremblements sans équivoques.
La dernière phase du “traitement” pouvait donc avoir lieu, Adèle s’est lovée à plat dos pour remonter ses jambes très haut, cuisses contre sa poitrine, écartelée comme une grenouille. Sa souplesse n’avait d’égale que son appétit sexuel, elle en voulait encore, cela se lisait dans les flammes de son regard. Elle s’est touchée en attendant que je réajuste ma capote et a même caressé la queue de Pierre à travers son pantalon. Ce dernier a fini par sortir son membre, une matraque faisant le triple de la mienne et s’est astiqué en prenant les ultimes clichés.
J’ai pénétré la belle jusqu’à la garde, elle a fermé les yeux quelques instants puis les a rouverts, alternant entre mon visage et la main noueuse de Pierre se branlant énergiquement. Moi aussi, j’étais fasciné par les mouvements réguliers de mon ami. J’ai garni mon préservatif d’une quantité de foutre impressionnante tandis qu’Adèle écarquillait la bouche pour recevoir l’éjaculation de notre complice. Summum de la perversion, elle a attendu que je me retire pour ôter mon condom rempli et l’a vidé intégralement, comme on suce un tube de lait concentré. Jamais une femme n’avait dégusté ainsi mon sperme, tel un grand cru ! Elle a déposé un bisou sage sur nos deux glands, s’est rhabillée et nous a dit qu’elle nous appelait pour prendre un autre rendez-vous ! Elle avait besoin d’un massage à quatre mains … et deux bites !
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