Atout cul

La rédaction 30 mars 2023

Une partie de carte pour passer le temps, pourquoi pas ? ! Nadia et Lise ont pourtant d’autres idées en tête (et ailleurs !) pour ne pas rester sur le carreau et se piquent au jeu d’un trio en compagnie de Luc, leur plan cœur et cul de toujours. Il faut dire que les demoiselles ont plus d’un atout dans leurs mains !

Les jours pluvieux à Paris, je sais quoi faire. Loin de ma Russie natale, le poster du Kremlin qui surplombe ma couche est une piètre consolation comparée à la présence de ma meilleure amie, Lise, surtout quand celle-ci est accompagnée de Luc. Il est notre sexfriend à toutes les deux, on se le partage sans jalousie. Mais cette fois-ci j’avais un désir de nouveauté, un plan à trois.

J’ai prétexté un après-midi “Jeux” chez moi, j’ai mis à chauffer le samovar et j’ai sorti les cartes pour une partie de dourak, une belote slave. J’ai proposé qu’on pimente un peu les choses, nos vêtements intéresseraient les mènes.

Un clin d’œil à Lise, nous avons perdu les premiers plis très vite, en gentleman Luc a offert d’enlever quelque chose en premier. Nous l’avons stoppé et nous sommes libérées de nos tee-shirts. Adeptes du “no bra”, nos jolis petits nichons se sont retrouvés à l’air libre et cela a mis fin à la partie ! Nous avions abattu notre meilleure carte et notre amant commun semblait ravi d’être capot !

Il a d’abord joué les valets, nous regardant comme deux reines tombées à pic ! Nous nous sommes embrassées, il nous a matés nous caresser et nous rouler des pelles de plus en plus chaudes jusqu’à ce que nous nous libérions de nos oripeaux pour commencer à nous lécher.

Luc s’est alors mis à nu et sa queue répondait en tous points à notre appel, un appel à cul, évidemment.

J’ai baissé la culotte de Lise. Elle a un popotin d’enfer, bien bombé et ferme, je lui ai ouvert les fesses et j’ai dardé ma langue sur sa rosette parfumée tandis qu’elle se penchait sur le gros chibre de Luc. Il faut dire que c’est un mastard, son sexe est plus large et long que la moyenne, et le sucer réclame des prouesses.

Nous n’avons d’ailleurs pas été trop de deux pour venir à bout de ce monument, l’une pompant l’énorme gland, l’autre s’occupant des bourses hautes et de la base de la hampe.

Cette fellation m’a donné des papillons dans le bas-ventre, j’avais la fente qui dégoulinait dans ma culotte en coton et mes mamelons pulsaient douloureusement, j’ai donc, la première, enfourché notre roi d’un soir et j’ai laissé faire le reste à ma complice.

Quelques douceurs buccales réparties sur mon intimité, des coups de langue sur mon sillon, Lise me lapait comme un lionceau, récoltant mes sucs avec avidité, elle a ensuite saisi la queue imposante pour la diriger vers mon orifice, je n’ai eu qu’à basculer les hanches et le tour était joué. Luc m’a prise avec toute sa puissance, ne cessant de me secouer que pour permettre à Lise de m’offrir un anilinctus dont elle a le secret. Cette petite peste a un je ne sais quoi de léger et cochon en même temps qui me fait complètement perdre les pédales.

Je me suis ouverte autant que j’ai pu, me concentrant sur les coups de bite de plus en plus testostéronés de Luc et les percées incisives de la langue de Lise dans mon anus.

Quand j’ai entendu des bruits de succion alors que j’étais toujours possédée en profondeur par des pénétrations rageuses, je me suis demandé qui pompait quoi. J’ai réalisé que mon petit trou avait été abandonné, il se tramait quelque chose dans mon dos.

Je n’ai pas eu longtemps à attendre, une pression sur mon orifice le plus caché puis une absorption, telle une déglutition, mais par le fondement, puis une autre et encore une autre. Cette douce vicieuse de Lise avait apporté son joujou favori, un gros gode bleu à boules et elle était en train, consciencieusement, de me l’enfoncer par-derrière pour « préparer le terrain» comme elle aime à dire.J’avoue que je suis une accro de la sodomie, mais qu’à ce jeu-là, mon amie me bat à plate couture, il faut voir ce qu’elle arrive à se glisser dans l’oignon.

Mais je n’étais pas en position de débattre, pénétrée doublement, toutes mes digues étaient en train d’abdiquer et j’allais être obligée de me coucher. J’ai joué le tout pour le tout et j’ai fait tapis, m’offrant en spectacle ainsi prise en étau. La chatte et le cul en feu, j’ai cédé au plaisir qui m’envahissait dans un jappement qui ne laissait aucun doute sur la puissance de mon orgasme.

J’avais mis cartes sur table, à moi désormais de distribuer. Luc tenait toujours bon, son sabre bien droit, pas encore prêt à cracher sa rivière de foutre, Lise n’était pas réellement entrée dans le tournoi.

Je l’ai invitée à lécher le vit libéré de mon con, qui demandait grâce, afin de récolter le fruit liquoreux de ma jouissance. Nous avons, de nouveau et de concert, sucé ce totem qui résistait tant bien que mal.

J’ai proposé à Lise un soixante-neuf cent pour cent féminin, cela permettrait à notre Adonis de se reprendre quelque peu tout en nous réservant une plage de pure passion. Curieusement, c’était la première fois que je me trouvais en plein duo lesbien tout en ayant un partenaire masculin à mes côtés, lui nous laissant profiter de cette parenthèse en se masturbant très sensuellement tout en nous regardant. Totalement enivrant.

C’est un plaisir toujours renouvelé que de lécher la chatte de Lise, tout comme moi, elle est épilée intégralement, du mont de Vénus à son petit trou de balle, ce qui autorise toutes les fantaisies et puis, je sais ce qu’elle aime et réciproquement.Pour moi, ce sont ses mouvements rapides et saccadés sur la base de mon clito, elle le “frappe” comme un mini punching-ball pour mieux lui permettre de rebondir seul, ces vibrations irisent tout mon bas ventre, pour lui rendre la pareille, je dois au contraire procéder par courants très lents, très larges et partir de son anus que je fouille préalablement pour remonter tout le sillon et finir bien à plat avec beaucoup de pression sur son bouton érigé.

Le temps de jouir chacune notre tour et l’appel de la bite a de nouveau été le plus fort. Luc avait repris son souffle et semblait pouvoir commencer un nouveau baroud.


C’est le moment que j’ai choisi pour sortir mon jouet préféré, un beau gode qui ressemble un peu à un boulier, il est idéal pour toutes les situations, qu’on veuille se faire du bien par-devant comme par-derrière. J’avoue que vue mon inclination pour les stimulations anales, le resserrement du sphincter après chaque absorption d’une sphère est irréel !

Lise a chevauché Luc, la queue est entrée toute seule dans le vagin déjà entrouvert de mon amie, elle avait faim, la petite garce, son oignon ayant été parfaitement lubrifié par ma salive, je n’ai pas résisté à tester sur elle les vertus de mon sextoy.

Je l’ai bien sucé, histoire que, lui aussi, soit oint à souhait et j’ai enfoncé les deux premiers renflements dans le conduit serré. Elle a poussé des murmures très évocateurs, mon choix avait été le bon. Luc s’est saisi de l’engin et, tout en limant mon alter ego avec sa puissance habituelle, il s’est mis à impulser des mouvements de va-et-vient au dildo.

J’ai été choquée par la souplesse anale de Lise, j’étais à mille lieues de savoir qu’elle pouvait s’en prendre autant dans le cul !Luc a poussé le bouchon si j’ose dire, jusqu’à ce qu’il ne maîtrise plus le gode que par son extrémité la plus ténue. Lise, quant à elle, a explosé dans un orgasme formidable, agrippée à un oreiller, elle beuglait, les yeux révulsés, visiblement, la sodomie était bien son truc !

Ni une, ni deux, j’ai fait signe à Luc de changer d’orifice, sa queue large allait, j’en étais sûr, faire des merveilles dans l’anneau déjà bien dilaté par le perforateur bleu.

J’ai ramé sur le dos et me suis faufilé en-dessous de Lise, toujours parcourue de spasmes et ma tête s’est retrouvée pile sous sa jolie chatte à l’instant où Luc la pénétrait par le petit. Je n’étais que sourire et vice, c’est beau d’assister à une prise du cul ainsi, en contre-plongée.

D’autant que j’avais tout à ma portée, le rictus de plaisir de Luc, là-haut, ses boules imberbes que je pouvais sucer à l’envi tout comme son braquemart qui entrait et sortait de l’anus de Lise tout en me régalant de ses arômes musqués.Tant et si bien que cela m’a donné envie, à moi aussi, de me faire défoncer la rondelle. Qu’à cela ne tienne, je venais de voir un reportage sur les pyramides humaines en catalogne, je me suis dépêchée de sortir de là pour m’installer au-dessus de Lise.

Luc s’est alors retrouvé avec nos deux jolis petits culs face à lui, nos deux cyclopes le fixant d’un air de défi, et, échappant au paradoxe de l’âne de Buridan, il n’a pas hésité un instant, dix coups de pine chacun, tel a été son choix.

Il ployait les cuisses pour sodomiser Lise, cinq pénétrations lentes, cinq autres terribles en lui claquant les fesses puis il se redressait et c’était à moi !

Cette double levrette a été une première pour nous trois, nous ne nous en lassions pas, chacune attendant que le tour de l’autre s’achève pour se reprendre le pieu bien au fond de son rectum ! Luc, ne savait plus où donner de la tête, ou plutôt de la bite ! Ces deux gouffres roses à satisfaire simultanément lui ont conféré une idée, il a de nouveau utilisé mon jouet. Celle qui n’avait pas son obélisque planté dans les fesses recevait l’intromission des billes de plus en plus larges et il se faisait un devoir de les manier au même rythme que ses coups de reins.

Un véritable artiste, ce Luc ! Lise a eu son énième orgasme avec son pénis qui la pourfendait jusqu’à la garde, quant à moi, j’ai conclu cet acte divin par une belle envolée avec l’olisbos bien au fond de mon trou du cul !

Mais à en être résistant, on n’en est pas moins homme à vouloir, à son tour, connaître les délices de la délivrance. Nous en étions conscientes avec Lise et désirions toutes deux remercier notre amant commun de tant de talents et d’endurance. C’est donc à notre demande qu’il a choisi sa position pour le grand final.

Ce gourmet en matière de sexe avait apprécié notre précédent jeu, moi et Lise en soixante-neuf, enculant l’une tandis que la seconde s’occupait de lui pourlécher les couilles, la hampe et même le petit trou.


Lise a été la sodomisée et moi la lécheuse. J’ai cru que le lit allait s’écrouler ! Heureusement que mon amie est une vraie fan de la porte arrière, l’engin surdimensionné de Luc a donné un aperçu de toutes ses capacités. Tantôt lent, tantôt rapide, il a mis un point d’honneur à offrir une ultime fois du plaisir à Lise.

J’ai concouru à ce dernier décollage en bouffant la chatte de ma copine tout en lui débitant des tas de choses salaces sur sa tenue de petite dépravée, je sais que cela la transporte. Et ça n’a pas raté, elle a même eu une jolie éjaculation féminine qui m’a empli la bouche de ses jets chauds et alcalins. Un bonheur, cette fille !

Mais j’avais gardé un œil sur le service trois pièces de notre Casanova,heureusement, à aucun prix je n’aurais voulu manquer le final masculin. Belote et rebelote, ou, pour les amateurs de tarot, je désirais absolument avec les deux bouts, réaliser le grand chelem.

J’ai vu nettement le scrotum se resserrer, les couilles sont remontées et les bourses se sont ridées, j’adore cet instant de rupture où le visage de l’homme n’a plus de tenue, où les grimaces d’un plaisir intense déforment les plus beaux traits.

Luc n’a pas empoigné les fesses de Lise, au contraire, il s’est même reculé afin que nos regards se croisent à l’instant du choc, pas un gémissement, pas un cri, il a éjaculé en silence, ses yeux plantés dans les miens, sa queue tout entière enfouie dans le cul offert d’une Lise qui avait compris que le moment était arrivé.

Elle a très intelligemment accompagné l’orgasme masculin en contractant à mort son périnée, ce qui a eu pour effet d’amplifier l’étroitesse de son petit fion, je voyais l’anneau convulser autour de la base de la hampe puis les soubresauts de cette dernière, ça y était ! Luc lâchait ses volutes de sperme onctueux dans une innombrable succession de saccades rapides.

Il s’est alors retiré, laissant un gouffre béant duquel s’est échappé une rigole de foutre chaud, telle une cascade, la semence bien blanche s’est déversée le long des nymphes de Lise, suivant un parcours compliqué, tout en zigzags, pour finir par couler dans ma bouche affamée.

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