Trio humide

La rédaction 19 mars 2019

Anne, quinqua, Bretagne.

Bonjour, nous sommes un couple marié et nous aimons le sexe. Je vais vous raconter comment un après-midi avec mon mari, Dominique, nous avons découvert le triolisme. J’ai invité mon amie Martine à venir à la piscine avec nous. Martine est une femme gaie, libérée, bien dans son corps, avec une poitrine développée aux tétons saillants et aux jolies fesses. Elle attire les regards.

Avec mon mari, nous entretenons régulièrement nos pilosités à l’aide d’une tondeuse. Nos pubis sont soigneusement dessinés. Mon mari à une faible pilosité que je taille régulièrement, mais nous ne sommes pas des adeptes de l’épilation intégrale. J’avais offert à mon mari un nouveau maillot de bain, un boxer, bien moulant et très sexy, et mon maillot une-pièce de couleur bleue, échancré sur les hanches, mettait ma féminité en valeur. J’ai une poitrine, des fesses généreuses et un petit ventre rond. Martine portait un maillot une-pièce bleu clair qui attirait tous les regards sur sa silhouette féminine.

Nous nous sommes dirigés vers les douches, au fur et à mesure que nos petits maillots devenaient plus mouillés, nos anatomies s’exposaient à la vue de tous. Martine nous a observés et a souri. Nous avions tous les trois le même point commun : nos maillots ne cachaient presque plus rien !

Après avoir bien nagé, nous sommes allés au jacuzzi. Nous nous sommes installées de chaque côté de Dominique. Martine nous a fait part de son trouble en voyant nos maillots de bain devenus transparents. Je lui ai demandé si elle avait été choquée. Elle nous a répondu : « Non, mais excitée ! ». Tout en discutant, j’ai posé ma main sur la cuisse de Dominique en regardant Martine. Dominique a écarté les jambes, ma main est remontée vers son entrejambe. Mes doigts ont rencontré la main de Martine qui se trouvait déjà dans le slip de Dominique.

Elle m’a souri, l’air ravi de son initiative. Dominique n’en demandait pas tant. J’ai proposé de sortir, pour aller prendre une douche, car Dominique ne savait plus comment cacher son émoi. Nous étions tous les trois très excités. Sous la douche, je me suis placée derrière Dominique, je me suis frottée contre son dos, ses fesses, j’ai caressé son torse, jouant avec ses tétons qui sont très sensibles. Dominique avait une forte érection que son slip de bain peinait à cacher. Martine, jambes écartées exposait fièrement son corps de femme.

J’ai glissé un petit mot à l’oreille de Dominique : « Laisse-toi faire… ». J’ai regardé Martine droit dans les yeux, j’ai fait glisser mes mains dans son slip de bain et l’ai descendu lentement sur ses genoux. Dominique ne bougeait pas. Il arborait fièrement son sexe en érection, parcouru de soubresauts. Martine semblait stupéfaite à la vue de cette queue épaisse dressée devant elle, que j’ai saisie. Je l’ai décalottée, dévoilant son large gland à la couronne saillante. Martine écarquillait les yeux, je lui ai demandé à quoi elle pensait. Elle m’a répondu : « La même chose que toi ! ». Elle s’est approchée de Dominique dont les jambes étaient entravées par le slip de bain. Elle le lui a retiré. Il a écarté les jambes. J’ai repris mes caresses sur son torse et j’ai supplié Martine : « Tu ne peux pas le laisser dans cet état, fais quelque chose ! ».

Elle a saisi ses couilles pour les faire rouler entre ses doigts. Elle l’a regardé. Elle a caressé sa queue, l’a léchée, puis l’a mise dans sa bouche, sous mes yeux. Dominique gémissait sous nos caresses. Martine a glissé une main entre ses jambes, entre ses fesses… Cherchant son anus.

J’ai senti des doigts contre ma chatte. Martine, tout en caressant les fesses de Dominique, me titillait entre les jambes. J’étais surprise ! J’ai écarté les jambes… À mon tour ! Martine a glissé un doigt sous mon maillot pour me doigter. Je n’ai pu retenir un petit cri. Nous étions tous les deux doigtés en même temps. Dominique a prévenu qu’il ne pourrait plus se retenir très longtemps. Elle a juste souri… Et elle a accéléré la cadence. Dominique a grimacé de bonheur et a éjaculé dans sa bouche alors qu’elle avait un doigt dans ses fesses.

Martine, heureuse, s’est redressée et m’a regardée. Elle m’a embrassée devant mon mari, la bouche pleine de son sperme. Dominique s’est approché de Martine. Il s’est collé à elle et s’est frotté contre son dos. Il a passé ses mains devant et les a faufilées sous son maillot pour s’emparer de ses seins. Il a pincé ses tétons tendus. Martine ondulait des fesses contre sa queue en érection. Dominique a glissé ses mains sur son ventre, puis vers son pubis, ses doigts se sont insinués entre ses poils soyeux, à la recherche de son clitoris. Sous ses caresses, Martine n’a pas pu se retenir de crier, submergée par un puissant orgasme. Quel moment merveilleux pour nous trois ! Après avoir recouvré nos esprits, nous nous sommes lavés, puis rhabillés.

Martine nous a proposé de venir chez elle pour continuer à jouer ensemble. Nous avons accepté. En arrivant chez elle, elle nous a emmenés directement dans sa chambre. Elle m’a déshabillée, embrassée et allongée sur le lit. Dominique a déshabillé Martine qui, une fois nue, est montée sur le lit. Elle m’a caressé les seins, a pincé mes gros tétons et passé une main entre mes jambes. Elle les a écartées pour me masturber. Elle a entrepris un cunnilingus. Sous sa langue, je gémissais, ondulant des hanches.

Elle est venue sur moi en 69 et m’a offert son entrejambe que j’ai léché sous les yeux ébahis de mon mari. À la vue de ce spectacle, Dominique excité et la queue dressée s’est masturbé. J’ai écarté les fesses de Martine, dévoilant son œillet plissé et palpitant. J’ai fait signe à Dominique d’approcher. J’ai saisi sa queue, lui ai mis un préservatif et j’ai posé son gland entre les petites lèvres trempées de Martine. Dominique, d’un puissant coup de reins, l’a pénétrée sans préambule. Martine a soufflé fort sous l’effet de surprise. Elle a dû bien sentir passer le gland de l’homme ! J’ai vu cette belle queue luisante qui la pénétrait amplement. Tout en continuant à me lécher, Martine couinait comme une cochonne.

Je léchais les couilles de mon mari à chaque va-et-vient, jouant à masser son anus. Dominique a écarté les fesses de Martine, ouvrant ainsi son petit trou-trou tout rose qui ne demandait que ça. Il l’a lubrifié et doigté en bonne et due forme. Martine geignait tout ce qu’elle pouvait. Elle devinait la suite… Elle s’est retournée. Visiblement, elle n’était pas contre une bonne sodomie, mais la largeur du gland de Dominique l’inquiétait. Je l’ai rassurée en lui disant qu’il serait très doux. Quand elle se sentirait prête, ce serait elle qui pousserait ses fesses sur sa queue.

À ces mots, Martine a sauté le pas et a commencé la pénétration. Le gland est passé, elle s’est arrêtée. Elle a repris son souffle, puis elle s’est empalée complètement sur sa queue en poussant un grand soupir de chienne. Dominique l’a saisie par les hanches. Il l’a ramonée. Elle criait maintenant. Pendant ce temps, je lui léchais son clitoris. Martine a été terrassée par un violent orgasme. Elle s’est écroulée sur moi, en sueur.

Après avoir récupéré, Martine m’a invitée : « Maintenant, ça va être à toi de te faire baiser… Par une femme. ». Elle est passée dans la salle de bain et est revenue, souriante, équipée d’un harnais orné d’un magnifique godemiché très réaliste qu’elle a lubrifié. Elle a écarté mes jambes, s’est allongée sur moi, m’a embrassée. Puis, elle m’a pénétrée, comme un homme. Ses seins frottaient sur ma poitrine, ça m’excitait. Sous ses coups de reins, j’ai gémi de plaisir.

Elle m’a fait changer de position. En levrette, elle m’a limée. Elle a écarté mes fesses. Mon anus s’entrouvrait. Elle m’a lubrifiée pour me sodomiser. Sous ses assauts, j’ai eu un bel orgasme. Martine était très fière d’elle. Elle exhibait son godemiché tout luisant de mes sécrétions intimes. Elle s’est tournée vers Dominique avec un grand sourire… « À moi tes petites fesses ! ». Je l’ai prévenue que Dominique n’avait jamais été sodomisé. « Eh ben, il y a un début à tout, je vais te le dépuceler, moi ! ». Dominique s’est allongé sur le dos, Martine lui a relevé les jambes, elle a lubrifié son anus, l’a doigté et a présenté le gode à l’entrée de mon mari.

À ma grande surprise, elle l’a pénétré facilement, pendant que je lui faisais une fellation. Dominique gémissait déjà sous les butées viriles de Martine, il lui demandait de ne pas s’arrêter, car c’était trop bon !
Ils ont changé de position. Dominique s’est mis en 69 sur moi, pointant ses fesses en levrette. Martine l’a attrapé et lui a défoncé le cul. Moi, du bout de la langue, je titillais son gland ! J’étais stupéfaite de voir mon homme se faire exploser le derrière de la sorte.

En hurlant, Dominique a éjaculé de longs jets de sperme dans ma bouche, que j’ai avalés. Dominique s’est écroulé, épuisé, heureux et les fesses rougies. Martine, debout, semblait bien contente d’elle. Quelle expérience ! Quel après-midi ! Kenavo.

(Photo à la une : Getty Images)

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