Une mamie voleuse

La rédaction 9 mai 2019

William, 32 ans, Dugny.

Je m’appelle William, j’ai 32 ans et je bosse comme agent de sécurité dans un supermarché. Un mardi, il y a deux mois, je surveillais le rayon textile. C’était plutôt calme. Vers 11 heures, j’ai repéré une petite mamie, dans les 70 ans, vêtue d’un grand imperméable beige, s’attarder au rayon lingerie. Elle reluquait des ensembles affriolants. J’ai trouvé ça mignon, ça m’a fait sourire.

À un moment, je l’ai vue planquer un soutien-gorge et un string fuchsia sous son manteau. J’ai halluciné. Bien sûr, je suis bien placé pour savoir qu’on ne peut pas reconnaître un voleur au faciès, mais quand même !Je me suis approché d’elle et je lui ai demandé poliment mais fermement de me suivre. Je l’ai conduite derrière les cabines d’essayage, dans une petite salle éclairée par une lampe miteuse. Je l’ai priée de bien vouloir ouvrir son manteau. Elle a immédiatement posé sur la table ce qu’elle venait de chaparder. « C’est pour vous les sous-vêtements ? » Ça me fait toujours un peu pitié, les voleurs que je chope. Elle a bafouillé un truc du genre : « C’est… C’est pour ma fille. C’est son anniversaire, je voulais lui faire un beau cadeau. » Et les larmes lui sont montées aux yeux.

D’habitude, j’ai toujours un collègue avec moi, mais là, il était absent. Ce que je m’apprêtais à faire était interdit, je le savais, mais ça a été plus fort que moi. La petite vieille en face de moi me regardait avec un regard coquin. « On va vérifier que vous n’avez rien volé d’autre. Déshabillez-vous. » La mamie a obéi, lentement. J’ai été élevé par ma tante, la soeur de ma grand-mère. Déjà, à l’époque, j’étais fasciné par son corps vieillissant, tout en imperfections, par son odeur, et je n’oublierai jamais l’excitation que j’avais ressentie en la voyant un jour, nue, en train de faire sa toilette. Là, je retrouvais un peu de ces sensations coupables. Je bandais. La mamie chapardeuse s’est retrouvée devant moi en sous-vêtements plus qu’osés, un string fendu et un soutien-gorge avec des bretelles incrustées de brillants. « Alors comme ça, c’était pour votre fille, hein… Vous êtes sûre ? » Elle dégageait une odeur forte un peu aigrelette, qui remplissait la pièce.

« Il faut que vous ôtiez les sous-vêtements aussi, je dois vérifier les étiquettes. » Je ne me contrôlais plus. Elle s’est exécutée, rouge de honte. Ceux-là aussi, elle devait les avoir chipés quelque part, je l’aurais juré. Je suis resté à deux pas d’elle, contemplant ses efforts pour dissimuler de ses petites mains arthritiques ses gros nibards qui pendouillaient, sa chatte fripée aux poils tristounets. Ses jambes étaient restées fines et très bien dessinées. Seules quelques tâches sombres et des petites varices éclatées çà et là témoignaient de leur âge. « Vous êtes pas trop mal pour une mamie… Tournez-vous. » Mamie se laissait complètement dominer. J’ai vu ses fesses maigrelettes et ridées, et mes couilles se sont mises à me faire mal. Je me suis rapproché et j’ai collé ma bite durcie contre son dos. *le vais passer l’éponge pour cette fois, mais vous allez être très gentille. » Elle a hoché la tête timidement.

Je lui ai demandé de monter sur la table à quatre pattes, et je lui ai bien écarté les genoux. -Voilà, comme ça. Montre-moi tes trous la vieille. » J’ai écarté ses fesses à pleines mains, et j’ai appuyé sur son anus, il s’ouvrait facilement. « Ça te plairait que je passe par là ? » J’ai craché dessus, un long filet de salive a coulé de sa raie à sa chatte. Ensuite, je me suis aussi craché dans la main et je me suis branlé pour me lubrifier. Puis, je l’ai fait se cambrer et je me suis placé juste en face de son trou sombre. J’ai commencé à l’enfiler, pas trop vite, je ne voulais pas lui faire mal. Elle était serrée comme j’aime. Une fois dans son rectum, je me la suis tamponnée avec force. J’étais fasciné par cette vieille carcasse qui tendait son cul à chacun de mes coups de bite. Elle avait le trou de balle souple et élastique. Sa respiration devenait haletante, elle poussait des petits couinements.

Je l’encourageais: « Allez Mamie, pousse du cul. Oui, comme ça, c’est bien. » Et elle répondait à ces injonctions en balançant ses fesses en arrière. À un moment, je n’en ai plus pu, et je me suis vidé dans son boyau tout chaud, j’ai eu l’impression de décharger des litres de sperme, de littéralement me vider les couilles. Je me suis extirpé de sa prison intestinale et je me suis rhabillé. Elle aussi. Une fois l’excitation retombée, je me suis dit que, si elle parlait, je pouvais me faire virer. Mais non, elle avait l’air plutôt contente. Je ne l’ai pas laissé reprendre l’ensemble fuchsia qu’elle voulait voler, mais on verra bien si elle revient.

(Image à la une : Getty Images)

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