Légende d’automne

La rédaction 15 décembre 2025

Un soir d’automne, on passait une soirée de plus avec Charles et Claire, un couple d’amis que ma femme Nina et moi adorons. On les connaît depuis presque quatre ans. Même âge, la trentaine, mêmes références, mêmes soirées interminables à refaire le monde avec du vin et une playlist un peu sexy. Nos femmes s’adorent et finissent souvent par se rouler des pelles à la fin de nos dîners, ce qui ne manque jamais de nous chauffer à blanc, Charles et moi. Mais nous n’étions encore jamais allés plus loin que ces petits jeux provoc’.. Voici mon histoire de sexe amateur.

Proposition libertine

Ce soir-là donc, nous étions tous les quatre à la maison, il faisait encore chaud pour un mois d’octobre. On avait dîné sur la terrasse, caressés par le vent. Claire portait une robe légère. Elle devait régulièrement en relever les bretelles qui tombaient. Charles regardait ma femme différemment de d’habitude. Je me surprenais à les observer tous trois avec une lucidité troublante. C’est Nina, ma chère épouse, qui a lancé le premier pavé dans la mare. Une remarque, l’air de rien, en se servant du vin :
– Franchement, parfois, je me demande si on ne devrait pas être un peu moins sages. Non ?
Claire a souri. Charles a levé les sourcils. Moi, j’ai simplement demandé :
– Moins sages comment ?
Et puis, tout doucement, on a commencé à parler. La discussion a circulé entre nous, on a évoqué nos fantasmes à cœur ouvert, nos envies jamais avouées, les interdits qu’on s’était posés… Nina a dit qu’elle faisait confiance à Claire plus qu’à n’importe qui, et qu’elle avait envie de me voir coucher avec une autre femme depuis longtemps. Elle a pris son courage à deux mains pour exprimer clairement son ressenti :
– Je crois que j’aimerais te voir, Claire, prendre du plaisir avec ton mari et aussi avec le mien. Ensemble. J’y pense souvent.
Nous nous sommes regardés, un peu pris de court. Mais l’idée a fait mouche. Nina m’en avait déjà parlé et évidemment, l’idée m’avait plu. Imaginer ma femme en voyeuse pendant que je me taperais sa meilleure amie avec son mec sous ses yeux, ça avait le don de sacrément m’exciter, moi aussi. Alors pourquoi ne pas battre le fer tant qu’il était chaud ?

Candaulisme et voyeurisme

On a tranquillement quitté la terrasse pour nous diriger vers notre chambre. Avec l’accord de ma femme, Claire et moi nous sommes embrassés voluptueusement dans notre lit conjugal. Le mari de Claire nous a rejoints et il l’a embrassée à son tour. Nous l’avons aidée à se déshabiller, elle a fini nue, allongée sur le dos, avec seulement des bas sur ses jambes gracieuses. Avec Charles, nous nous sommes installés de part et d’autre de cette beauté. Nous avons posé nos mains sur son corps pour la caresser, nous avons effleuré son sexe, son mari m’a montré la pression et le rythme qu’elle aimait, j’ai pris la relève pour lui branler le clito et la faire gémir. Ma femme nous regardait avec un air gourmand, puis elle a sorti son téléphone pour nous prendre en photo en pleine action. L’image de ces deux hommes, dont le sien, en train de s’occuper de cette femme sublime, qu’elle adore au point de la désirer elle aussi, semblait déjà la faire décoller.

Claire, déjà ivre de désir par nos caresses, s’est mise à quatre pattes et m’a présenté son cul pour que je la prenne, tandis qu’elle suçait son mari. Je tenais ses hanches à deux mains et en même temps, j’observais Nina qui me regardait faire en retour, l’œil brillant de luxure. Je n’avais jamais baisé avec une autre femme depuis que nous étions ensemble, et je goûtais mon plaisir de le faire sous le regard plus qu’approbateur de mon épouse… Claire s’est cambrée, cul en l’air, buste contre le matelas, pour que je la prenne en profondeur. Puis elle s’est tournée pour être prise en face à face, les yeux dans les yeux. Sa bouche était ouverte et elle gémissait d’effort et de plaisir. Je n’avais jamais vu Claire sous pareil angle, et Nina a continué de nous mater et de nous prendre en photo tandis que nous baisions. J’ai joui en prenant Claire et en regardant ma femme, pendant que Charles, qui se découvrait lui aussi voyeur, nous contemplait également et se branlait en même temps. Notre amitié n’en fut que renforcée…

A lire aussi :

Mon expérience hors du commun

Songe d’une nuit d’été

Essayage à trois

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru