Accord parfait

Nanou Redacteur 4 février 2022

Chantale découvre le l’échangisme avec un couple d’amis belges. Une soirée placée sous le signe de la moule et la frite à volonté !

Je voulais vous raconter ma première fois “à plusieurs”. Je m’appelle Chantale et voici mon histoire de sexe !

J’avais encore quarante ans et avec mon mari Simon, nous avions décidé de passer à une nouvelle étape dans notre couple, de l’ouvrir à de nouvelles rencontres charnelles.

Echangisme culturel

Nous avions des amis belges qui connaissaient bien le milieu libertin (des amis rencontrés dans le milieu professionnel de mon mari). Nous leur avons demandé de nous initier à ce monde-là. Ils ont accepté de nous accueillir chez eux, et nous avions prévu le soir même une sortie dans un des clubs les plus réputés de Bruxelles.

Nous sommes arrivés dans leur joli appartement dans la matinée. Ils se sont dit qu’ils nous feraient visiter la ville avant notre virée dans ce lieu de perdition. Je suis tout de suite tombée sous le charme de cette capitale, de ses recoins insolites, ainsi que de Ted, un grand blond aux yeux bleus qui avait un accent bien prononcé et un humour ravageur. Quant à mon mari, Simon, je crois qu’il ne restait pas non plus insensible aux charmes d’Hélène, sa femme.

Moules frites à volonté

Alors que nous avions décidé de déjeuner dans un traditionnel restaurant de moules-frites, avec vue sur la Grand-Place et l’hôtel de ville, Ted m’a fait du pied, délicatement sous la table. J’étais hyper gênée, je ne savais pas comment réagir.

Est-ce que je devais verbaliser la situation ? M’indigner ? En parler à Simon ou Hélène ? Ne sachant pas trop quoi faire, j’ai laissé s’aventurer son pied autour de mes chevilles, puis près de mes cuisses. J’avais le sexe brûlant et moite. Je crois bien qu’il dégoulinait par-dessous ma jupe longue, peut-être même que mon jus se répandait sur le carrelage…

Ted en rajoutait une couche, il prenait une moule dans sa bouche, la cherchait de la pointe de la langue, juste devant moi. Il l’agitait de toute part dans le coquillage, puis l’avalait dans un grand bruit sec. Il n’y avait aucun doute sur ses intentions : il s’imaginait que le fruit de mer, c’était mon clitoris, mou et moite, qui lui glissait dans la gorge.

J’avais l’impression d’avoir trop chaud, je demandais à aérer (alors que nous étions en plein mois d’octobre !) et les serveurs ont rigolé à ma requête en me disant : « Vous n’avez qu’à vous déshabiller, Madame ! Nous n’allons pas rafraîchir tout l’étage. » Ça m’a encore plus fait rougir, et j’ai vu Ted partir dans un fou rire incontrôlable.

Un after torride

Il savait que j’étais cuite, que je surchauffais de mon désir pour lui, que j’étais encombrée par mes pulsions sexuelles. Simon et Hélène m’ont encouragée pour que j’enlève mon pull et j’ai terminé mon dessert en débardeur blanc de dentelle, complètement transparent, et Ted a profité de cette vue sur mon soutien-gorge noir. En rentrant dans leur appartement, Hélène a mis un peu de musique et s’est mise à danser avec Simon. Ted m’a pris dans ses bras, sur le canapé. Il faisait chaud, nous étions bien, en confiance, et nous nous sommes vite déshabillés. Tous les quatre.

Et comme Simon semblait bien s’entendre avec Hélène, qu’ils s’embrassaient déjà à pleine bouche et se murmuraient des mots que je n’entendais pas à l’oreille, j’ai laissé Ted explorer toutes les parcelles de mon corps. Puis me baiser. Lentement, bien profondément. Il me prenait par les hanches et me demandait de regarder mon petit mari en même temps, qui léchait la chatte épaisse d’Hélène, sans détourner mon regard de lui. C’était un moment assez émouvant, où j’ai discerné des sensations totalement nouvelles dans mon corps.

Et paradoxalement, je ne me suis jamais sentie aussi proche de Simon qu’à ce moment-là. Qu’à ce moment où nous nous trompions, avec notre accord et notre confiance mutuelle. Sommes-nous sortis en club le soir même ? Non, nous étions épuisés par notre partie de baise, et nous avons fini par nous assoupir tous les quatre dans le même lit. J’ai dormi entre Simon et Ted.

Et je crois que je n’ai jamais aussi bien dormi de ma vie…

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