Gang Bang d’anniversaire.

La rédaction 16 septembre 2024

Pour l’anniversaire de Martine, son mari lui fait la surprise de lui organiser un Gang Bang. Agréablement surprise elle les prend tous en bouche et pas que.

Martine venait de passer la barre des 50. A cette occasion, je souhaite partager une histoire de sexe. Pour son anniversaire, j’avais réservé une table dans notre petit restaurant habituel, celui du coin de la rue en bas de chez nous, celui où nous avions l’habitude de célébrer nos moments d’exception : anniversaires de mariage, Saint-Valentin… C’était un coin sympa avec des banquettes molletonnées recouvertes de satin rouge et des boiseries complexes, le champagne y est toujours frais et la nourriture, de qualité. J’ai bien vu au regard de Martine qu’elle était un peu déçue que je n’ai pas fait d’effort supplémentaire pour cet anniversaire si spécial, pour ses 50 ans… À ce moment précis, elle ne savait pas encore ce que j’avais prévu en deuxième partie de soirée. Elle a soufflé ses bougies sur un délicieux moelleux au chocolat, sans savoir que d’autres bougies l’attendaient à la sortie.

Surprise plurielle

Après avoir passé la porte, le ventre tendu et l’esprit rendu euphorique par les vins pétillants, trois beaux hommes sélectionnés entre 40 et 50 ans nous attendaient à la sortie. « Madame, nous avons une surprise pour vous que nous aimerions vous offrir à votre domicile. Pouvons-nous vous suivre ? » Au départ, elle a eu un regard très surpris, presque apeuré, et j’ai failli mettre fin à l’opération. Mais très vite, elle comprit de quoi il s’agissait. Elle m’avait longtemps parlé de son fantasme de gang-bang masculin, me décrivant dans le détail comment elle voulait avoir des bites de toutes tailles en bouche, comment elle imaginait mon regard posé sur elle sans avoir le droit de la toucher… et j’espérais que son fantasme n’était pas que théorique, qu’elle aurait bien envie de passer à la réalisation. Elle m’a glissé à l’oreille « Ce ne sont pas des policiers, hein ? Ce n’est pas parce qu’on a fait une bêtise ? C’est bien pour me faire plaisir ? »

Et j’ai répondu en rigolant que oui : ce soir, après avoir longtemps hésité dans ma tête, je m’étais résolu à l’aider à réaliser son fantasme. Elle m’a alors embrassé très fort sur la bouche, un long baiser passionné, rempli d’amour et de reconnaissance. Nous nous sommes pris par la main et avons demandé aux trois hommes de nous suivre. Le temps de parcourir les quelques centaines de mètres qui nous séparaient de notre domicile, m’a permis de jeter des regards à l’arrière, pour évaluer les silhouettes respectives des trois hommes, essayer de déterminer si j’avais fait les bons choix. Je les trouvais tous les trois de bonne tenue, l’un avait même l’air particulièrement sportif, leur démarche était énergique, leurs vêtements étaient plus que convenables. J’étais rassuré ! C’était la première fois que je m’embarquais dans une telle galère : organiser le gang-bang de sa femme, quand on n’est plus tout jeune, il faut oser, et je n’étais pas du tout sûr de la réussite de ma mission !

Gang Bang d’anniversaire

Nous avons franchi les deux étages par la cage d’escalier – nous ne pouvions pas rentrer tous dans l’ascenseur – dans un silence ténu et plein de tension. Une fois arrivés dans l’appartement, j’ai placé un bandeau sur les yeux de Martine et lui ai murmuré à l’oreille « Tu n’as vu que leur silhouette, et je veux que tu les suces, tous, dans le noir. » Je l’ai sentie très fébrile dans mes bras, tremblante au moment de lui mettre le bandeau. Je l’ai déshabillée lentement sous le regard admiratif des trois hommes : Martine était encore très belle pour son âge, je le savais. Et elle s’est agenouillée d’elle-même, sans même que je le lui demande. Les hommes ont retiré aussi leurs vêtements, comprenant que le signal avait été donné, et ont offert leurs queues déjà bien bandantes. Martine les engloutissait dans sa bouche, l’une après l’autre, en exagérant la gourmandise. Elle ne prononçait aucun mot, sa bouche était prise, mais l’enthousiasme avec lequel elle prenait les sexes en main et entre ses lèvres trahissait son plaisir ! J’étais heureux.

J’ai commencé à prendre quelques photos et je dois bien dire que la situation m’excitait drôlement. Nous sommes ensuite passé au lit, dans notre chambre, et j’ai retiré le bandeau de Martine. Quand elle a vu les corps nus des trois hommes, elle n’a pu s’empêcher de sourire, certainement flattée de voir trois beaux mâles totalement dévoués à son plaisir. Ils l’ont tous prise sur le lit, en levrette, en missionnaire, et lui ont parfois donné leur sexe à lécher. Elle se tortillait de plaisir, les embrassait goulûment sur la bouche, avalait de très bon cœur leur sexe chaud, parfois encore imbibé de ses fluides. Si au départ, elle n’osait pas trop les toucher, je voyais maintenant qu’elle était totalement désinhibée, elle agrippait fermement leurs hanches, tirait leurs reins pour qu’ils s’enfoncent encore plus loin en elle, dans son vagin ou dans sa bouche. J’avais une gaule d’enfer de voir ma femme pour la première fois dans cette situation. Et j’espérais bien réitérer. Ils ont tous les trois finis par éjaculer sur son corps avant s’en aller sur la pointe des pieds, sans même prendre une douche, comme nous l’avions convenu. Quand je me suis approché tendrement d’elle, sur le lit, elle m’a glissé à l’oreille : « Vivement les soixante ! »

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