Banquière à découvert

La rédaction 1 avril 2025

Aude, 38 ans, ne s’attendait pas à se faire baiser aussi fort par son client l’agriculteur farouche !

Aude nous fait part de son histoire de sexe avec Nicolas, son client endetté !

Nicolas ! Mais qu’est-ce qu’il m’en a fait voir ce client ! Conseillère bancaire dans LE réseau le plus implanté en province, dès que j’ai été mutée dans ce village du Loiret, j’ai su qu’il allait me donner du fil à retordre, mais de là à penser qu’il allait me baiser comme rarement je l’avais été…

Nicolas le client farouche

C’était à l’automne, les intempéries s’étaient déchaînées un peu partout en France et les agriculteurs, quelle que soit leur spécialité, étaient aux abois. Nicolas n’échappait pas à la règle. Endetté, les récoltes allaient être mauvaises, j’ai donc tout fait pour l’aider et aujourd’hui il a retrouvé le sourire. C’est sans doute aussi parce que, désormais, je vis avec lui.

Devant signer des documents, mais dans l’impossibilité de se déplacer à l’agence parce qu’une de ses bêtes vêlait, c’est moi qui suis allée à lui. Comment ne pas fondre devant un homme qui pleure après la naissance d’un petit veau ? Les papiers paraphés et un verre de prune plus tard, nous étions tous les deux à poil !

Sa pine avait quelque chose du soc de charrue, assez courte, robuste, avec le bout qui finissait par une courbe qui n’était pas sans rappeler les boomerangs des aborigènes lointains. Il sentait le bovin, la sueur, le labeur et la fierté. Je l’ai accompagné sous la douche et l’ai lavé de partout. Sa bite était douce et frémissait au contact de ma main.

À mon tour, je me suis glissée dans le plus simple appareil sous le jet d’eau brûlante. Nicolas a sorti son portable et a commencé à me prendre en photo. D’abord plus que réticente, je me suis prêtée au jeu et j’ai même posé.

Le champion du cunni

Nous avons rapidement gagné sa chambre. Son lit était recouvert d’une housse de couette vide au motif Vichy bleu, je m’y suis étalée, rincée par mes émotions et engourdie par les ablutions torrides. J’ai continué ma petite comédie de mannequin, abandonnant ma pudeur et cédant à tous les caprices de mon client ! D’abord la chatte, écartée à foison par mes doigts tremblants, mes seins gonflés de désir, enfin mon cul, ce cul que je n’aime pas et qui l’a enthousiasmé au-delà des mots.

Lorsque j’ai de nouveau fait volte-face, j’ai découvert sa queue à quelques centimètres de mon visage. Désormais Nicolas sentait bon et son souffle court augurait d’une nuit de folie. J’ai juste eu à entrouvrir mes lèvres et son fruit s’est frayé un passage dans ma bouche. Son gland était délicieusement lisse, l’angle étrange du bout de sa bite faisait que ce dernier me chatouillait le palais de façon parfaite. Quand je l’ai vu se pencher sur mon entrejambe, il avait le même air concentré qu’au moment où il avait sorti le petit du ventre de sa mère.

J’ai fermé les yeux et j’ai compris ce qu’était l’amour de la femme, sans contrepartie, sans en attendre rien en retour. Nicolas m’a offert le plus beau, le plus magistral des cunnilingus que je n’ai jamais reçus, généreux, plein d’abnégation, totalement altruiste, sa queue s’est arrachée à mon étreinte, sa langue m’a exploré de partout, cul, vulve, cratère vaginal, sans oublier mon si sensible clitoris.

Un baise torride

Lorsque deux doigts épais ont investi mes orifices, j’ai saisi sa bite tordue et je l’ai avalée en jouissant comme si c’était la première fois ! Une véritable extase, presque mystique, un voyage dans les cieux. Que faire d’autre en ce cas précis, que d’accueillir cet amant à la fois rustique et émouvant au fond de moi ? J’ai ouvert les cuisses et guidé la colonne coudée au fond de mon antre et j’ai crié ce qui ne franchit jamais le seuil de mes lèvres « Putain ! » fort, très fort, en même temps que j’abandonnais la totalité de mon contrôle moteur.

Mes orteils se sont recroquevillés, mes cheveux se sont hérissés et ma chatte s’est contractée à plusieurs reprises sans que je ne puisse rien y faire. Le gland de Nicolas venait de me faire découvrir une zone érogène de mon intimité que, même moi, avec divers jouets très sophistiqués, avais été incapable de trouver toute seule.

Concernant la levrette qui a suivi, cela a été pire encore, enfin, meilleur devrais-je dire ! Il a glissé un de ses gros pouces dans mon anus et a fait pression sur sa hampe à travers la fine cloison séparant mes deux tunnels d’amour. Cette fois-ci, il m’a couchée, K.O. avant le compte de dix. La décharge électrique s’est formée je ne sais trop où. Ce dont je suis sûr c’est que j’ai mouillé les draps comme si j’avais perdu les eaux avant de mettre bas !

Je n’ai plus eu la force que de lui téter son beau biberon magique et de me repaître de son lait épais et nourrissant et je me suis endormie dans ses bras. C’est fou ce que la vie à la ferme peut mener à des histoires de sexe aussi vivifiantes !

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