Les bras de la bergère

La rédaction 22 avril 2021

Mathieu, 53 ans va à la campagne loin de la ville. Il se perd en rando mais heureusement la belle bergère et là pour l’aider… et le sucer !

Je vais vous raconter une histoire de sexe qui a changé ma vie. J’étais parti en vacances une semaine pour m’aérer l’esprit à la montagne et sortir un peu de cette vie pénible que peut être le quotidien d’un urbain dont le travail ne le passionne pas des masses.

J’avais aussi l’idée de faire une sorte de jeûne sexuel, car j’enchaînais les rencontres d’un soir à l’époque, sans jamais vraiment prendre mon pied. Je me sentais toujours un peu con, le matin. En même temps, j’avais une grosse faim sexuelle, j’étais insatiable. Je voulais donc prendre un peu de recul dans la nature pour me concentrer sur la marche et réfléchir à ma vie. Mais visiblement, mon côté canaille me rattrape, où que j’aille. Ou alors, le destin ne voulait pas laisser ma queue tranquille.

J’étais en pleine rando au milieu des montagnes et je me suis perdu… Impossible de retrouver mon chemin. Je me suis mis à paniquer, car la lumière du jour commençait à décliner. Par miracle, je suis arrivé dans un minuscule hameau où il y avait une petite maison éclairée. J’ai frappé à la porte, un peu flippé. Et là, je vous jure que je n’aurais même pas imaginé ce scénario en rêve, une femme m’a ouvert. C’était la bergère du coin et elle en avait vraiment le look : cheveux blonds comme les blés, des mamelles bien grosses qui tendaient son pull confortable rentré un pantalon qui moulait ses hanches voluptueuses.

Elle avait un côté champêtre, ambiance fermière qui s’envoie en l’air dans le foin, j’adorais ! J’ai tout de suite été sous le charme de cette apparition… Je lui ai expliqué ma situation, et elle a été adorable. Elle m’a fait entrer et m’a proposé de rester dîner et dormir, car elle m’a expliqué qu’il était très compliqué de rejoindre la vallée la nuit, dans le noir. Je me suis facilement laissé convaincre, vous pensez bien !

Nous avons dîné, elle m’a raconté sa situation, elle était un peu la cochonne du village aux yeux des autres, salie par les rumeurs de coucheries, parce qu’elle était toujours célibataire (elle n’avait que 30 ans, enfin !) et on lui prêtait toutes sortes de vices – peut-être à cause de son physique de laitière tentatrice digne d’un porno d’évasion à la campagne ! Sa sincérité me touchait, et aussi ses gestes, sa beauté. Je ne pouvais pas m’empêcher de la mater, de regarder sa gorge d’un blanc éclatant qui s’épanouissait dans le V de son décolleté.

On s’est installés devant le feu du petit salon, sur un gros tapis en peau de mouton – le cliché ! Elle aussi semblait très intriguée et me regardait en coin. Nous regardions les flammes en silence. J’avais tellement envie de la prendre dans mes bras ! C’est elle qui a touché ma main, toujours en silence. Elle s’est tournée vers moi, avec cet air de candeur et en même temps cette chaleur dans ses traits. Sa langue a fini dans ma bouche et c’était une caresse telle qu’elle semblait communiquer directement avec ma bite, qui s’est mise à enfler furieusement… Elle ne devait pas baiser aussi souvent que moi et ça devait la titiller, car elle a mis toute sa force dans ses bras pour m’étendre sur le tapis. Mon dos reposait sur le mouton et le feu chauffait mon visage.

Elle a enlevé mon pantalon et s’est mise à sucer mon pieu raide comme du bois. Je regardais, en mode halluciné, sa bouche pulpeuse de jeune bergère qui m’accueillait avec application. Peut-être qu’elle était encouragée par le fait qu’on ne se reverrait probablement pas ! Elle m’a sucé avec entrain et sa succion était hyper bien maîtrisée et bandante. J’étais au chaud dans son petit gosier qui montait et descendait sur ma queue dressée. Le feu nous enveloppait, je sentais la sueur pointer sur mon corps.

La bergère s’est déshabillée lentement, révélant la courbe parfaite de son ventre, ses tétines pâles et gonflées comme si elle allaitait, ses cheveux blonds répandus sur ses épaules. Je la voulais tant ! Elle s’est étendue sur la peau de mouton en me regardant. Je me suis mis nu à mon tour et je suis venu au-dessus d’elle. Je vénérais sa beauté, alors j’ai embrassé chaque centimètre carré de sa peau qui se hérissait de frissons. Ses mains couraient dans mes cheveux.

Ma bouche a atteint sa fente que j’ai bouffée, que j’ai bue, léchée, honorée. La belle se tordait de plaisir, ses cuisses serrées autour de mon visage. Je me suis soulevé pour m’étendre tout contre elle et je me suis frayé un chemin dans son sexe plein de mouille dégoulinante… J’étais lové contre ses rondeurs douces, ma bite dans sa délicieuse chatte, et je lui ai fait l’amour doucement, éprouvant toutes les sensations contenues dans chaque mouvement entrepris. Nos yeux étaient plongés les uns dans les autres, mes propres tétons ondulaient contre sa douce poitrine, ma bite la besognait avec tendresse et ses ongles s’enfonçaient dans la chair de mes fesses. Nos sexes s’intriquaient merveilleusement et notre orgasme a correspondu au sommet de notre fusion, nos organes intimes relâchant des centilitres de liquides d’amour.

J’étais venu dans la montagne pour échapper à la ville et ça avait plutôt réussi : je ne suis jamais reparti des bras de ma bergère.

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