Levrette orgasmique
2 septembre 2020Elsa, 27 ans, n’a jamais réussi à jouir avec un partenaire. Jusqu’au jour où Jules, un jeune de son immeuble, lui offre son premier orgasme.
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Si Jules est devenu mon mec, c’est en partie parce qu’il m’a donné mon tout premier orgasme. À 27 ans, et malgré pas mal de partenaires, j’étais désespérée de ne pas arriver à jouir autrement qu’avec mes doigts. Voici le récit de mon premier vrai kif sexuel… Et de mon grand premier amour !
Jules est le fils de ma concierge. Il est plus jeune que moi de cinq ans et même si je le trouvais mignon, je ne lui accordais pas grande importance. Pourtant, il était adorable avec moi : il gardait mon courrier quand je partais en vacances et avait même réparé la fenêtre de mon salon quand celle-ci s’était coincée. Mais l’idée d’une relation avec un jeunot ne m’excitait pas du tout. Lui, par contre, lorgnait sur moi dès qu’il le pouvait…
Un beau jour, Jules a sonné à ma porte et m’a dit qu’un paquet à mon nom avait été livré à la loge de sa mère. Un peu surprise qu’il ne l’ait pas amené avec lui, je l’ai accompagné pour récupérer le colis. C’est quand il m’a conduite à sa chambre que j’ai compris qu’il avait quelque chose en tête. « Jules, pourquoi on est là au juste ? Tu as amené mon courrier jusque dans ta piaule ? ». Il s’est approché de moi doucement et a déposé un baiser très tendre sur mes lèvres. « Elsa, tu me plais depuis que je t’ai rencontrée, et j’ai très envie de toi. Laisse-moi te montrer comme je t’adore. ». Il a alors posé ma main sur son entrejambe.
Une solide érection se faisait sentir. J’ai fermé les yeux, troublée par ses paroles et sa voix douce, mais aussi par ce sexe que je sentais palpiter sous mes doigts. Un peu étourdie, je me suis laissée embrasser de nouveau. Quelques minutes plus tard, j’étais nue dans les draps de Jules. Très doucement, il m’a fait allonger sur le ventre et a caressé mes épaules, puis mon dos, descendant vers mes reins. J’ai senti sa bouche se poser sur le haut de mes fesses, et sa langue s’attarder de plus en plus bas. Jamais on ne m’avait léchée comme ça… Un long frisson m’a parcouru l’échine pendant que Jules pratiquait sur moi un merveilleux anulingus.
BOUTIQUE SEXY
Entre mes jambes, je sentais comme du miel qui coulait. Un liquide chaud, épais, qu’il a recueilli du bout de ses lèvres. Après mon petit trou, c’était maintenant ma minette qui l’intéressait. J’ai fondu de plaisir, m’abandonnant totalement sous ses caresses. Quand il m’a senti prête, Jules a murmuré : « Je veux que ce soit toi qui contrôles, que tu me montres ce que tu aimes. ». Et il s’est allongé sur le dos. Sa queue était luisante, son corps magnifique. Sans réfléchir, je suis venue me placer dos à lui, à califourchon au-dessus de sa belle bite. Jules a caressé mes fesses de nouveau, pendant que je l’astiquais doucement. J’ai soulevé mon corps et branlé son vier en dessous de ma chatte, le gland touchant mes lèvres humides. Je me suis alors laissée retomber lentement sur son dard, qui peu à peu a rempli ma chatoune.
Quel plaisir… Je contrôlais complètement la situation, m’enfonçant avec bonheur sur son érection, jouissant à fond de la bite de mon amant. Je l’entendais gémir dès que je serrais les cuisses et, en me penchant légèrement en avant, je le laissais titiller ma rondelle de son index.
Surexcitée, j’ai eu envie qu’il me prenne encore plus fort. Moi d’habitude un peu timide, je me suis retrouvée à quatre pattes, le cul bien haut, la chatte offerte à un garçon que je connaissais à peine… Lui n’a pas hésité une seconde. J’ai pris sa bite en plein : une levrette comme jamais je n’en avais connu, profonde, intense, qui m’arrachait des cris de plaisir.
Je suis tombée à genoux sous les coups de boutoir de Jules, qui a continué à me pilonner comme un dément. D’une voix grave, il m’a dit : « Tu aimes que je te poutre comme ça ? ». Je déteste d’habitude qu’on me parle de façon si vulgaire, mais là, quelque chose s’est débloqué en moi. Je me suis entendu répondre « Oui, bourre-moi plus fort, j’aime ça ! ». Cette phrase a déclenché la furie de Jules, qui a donné trois énormes coups de reins. Le dernier a été accompagné d’une giclée de sperme, et j’ai joui instantanément, un éclair de lumière apparaissant devant mes yeux.
Nous nous sommes câlinés et embrassés pendant des heures, puis j’ai fini par rentrer chez moi. Le lendemain, j’ai trouvé une rose blanche sur mon paillasson. Depuis, Jules et moi ne nous quittons plus. Ce courrier s’adresse donc à lui : je lui écris pour lui dire mon amour. Quant aux photos de nous, j’espère qu’elles plairont à tous les lecteurs d’Union !