Interview : Joy et son aventure avec l’amant idéal
12 novembre 2024Joy et son mari sont libertins. Depuis un moment, elle a un amant. Elle partage avec les lecteurs d’interstron.ru une de ses soirées gang bang avec son amant idéal.
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Joy, la quarantaine, cadre supérieur dans le secteur bancaire, département 34 témoigne de ce que représente pour elle l’aman idéal.
Avec près de 25 ans de libertinage derrière elle, Joy assume totalement ses désirs et ses fantasmes. Les hommes, c’est son péché mignon. Surtout s’ils sont grands ( 1m80 et plus), plutôt classe, sans baskets, ni jogging, avec de l’humour : « Et bien membrés, sinon, je m’ennuie vraiment. »
Autre exigence : pas d’hommes mariés qui trompent leur femme en cachette et envahissent le milieu libertin. Des amants de moins de 50 ans, aimant pratiquer le cuckolding ou le candaulisme, à la fois directs et « cash ». Pour vraiment la séduire, ils doivent être imaginatifs, joueurs et, pourquoi pas, un poil pervers. Si elle est inscrite sur les réseaux libertins en tant que « femme seule », ses amants doivent parfois accepter la présence de son mari en tant que voyeur ou donneur d’ordre, chose qui l’excite beaucoup.
De temps en temps, elle aime participer à des parties de sexe complètement dépravées et débridées avec un amant qui organise pour elle des soirées pluralité masculine : « Je suis très cérébrale et dans ces cas-là, je ne cesse d’en redemander. Mais, hélas, les hommes avec un véritable esprit libertins sont assez rares. Mais lorsque je tombe sur un vrai libertin, la relation va être très intense avec lui.
Son aventure avec l’amant idéal
Il s’appelle Luco et cela fait plusieurs années que Joy et lui partagent des moments très intime avec l’accord du mari de Joy : « C’est un véritable gentleman, bon niveau social, bien éduqué, très bonne culture, toujours habillé classe, du charme, discret et direct. »
Côté sexe, c’est l’entente parfaite : « Dès la première fois, ça a très bien marché entre nous. J’avais tout de suite senti son petit côté pervers. Aujourd’hui, il me sort, il me baise, il me fait baiser par d’autres hommes pour mon plus grand plaisir. »
Chose qui excite beaucoup Joy, c’est le côté joueur de Luco, toujours prêt à la surprendre : « Un soir, il m’envoie un texto et m’ordonne de l’attendre chez moi, nue sous un manteau avec des talons haut. Une demi-heure plus tard je me retrouve nue un collier de chienne au cou, attachée à une chaîne au plafond par les poignées, avec la possibilité de bouger, mais sans trop ; juste pour éviter l’engourdissement. Les yeux bandés pour laisser place aux autres sens. J’entends sonner à la porte de son appartement et j’entends de nombreux murmures arriver autour de moi. »
Puis, elle commence à sentir des mains baladeuses se promener sur son corps, elle entend des commentaires : « Ils sont aux ordres de Luco, mon amant qui souhaite me voir vibrer donc humiliée, exploitée, dépravée, sans que je n’aie rien d’autres à dire que « encore ». Je ne sais même pas si mon mari est au courant et j’en ruissèle sur mes cuisses en espérant que cela passe inaperçu…que nenni ! »
Dès lors, les choses vont s’accélérer : mots crus, fessée et une première bite qui se fraye un chemin entre ses lèvres. D’autres vont se succéder entre ses lèvres jusqu’à ce que l’un de ces sexes tendus vienne buter sur son anus : « Est-ce Luco qui me force avec sa bite ? Mon mari est-il là ? En train de regarder ou de filmer ? Je suis en furie, j’ai la chatte en chaleur, je ne sais plus si je dois donner de la tête ou du cul ou des mains. D’autres bites se présente à moi. »
Joy est aux anges, terriblement excitée par la situation. Mélange d’odeurs, de sexe, de sueur, de mouille. Un sexe énorme se présente devant sa bouche. Elle le suce avec application pendant que deux doigts expert lui pénètre l’anus pour bien la préparer à recevoir la bite qu’elle suce. Tous les inconnus, ces hommes qu’elle ne voit pas se déchainent sur son corps, tous ses orifices sont pénétrés : « Tous mes sens sont en éveil. C’est divin pour moi. Je ne suis plus qu’un trou où mes amants viennent à tour de rôle se branler pour m’inonder, cracher en final en visant la bouche. Cela va durer longtemps, très longtemps… J’en ai perdu la notion de temps ce soir-là. Combien étaient-ils ?combien de temps cela a duré ? Je ne le saurai jamais. Seul mon mari se délectera de ce genre de détail car Luco, en bon amant respectueux des codes candaulistes, avait filmé et photographié la scène pour mon Homme. J’ai terminé épuisée mais comblée et heureuse. »
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