J’ai un faible pour les uniformes de l’armée

Paule 8 octobre 2023

Etant enseignante, j’ai craqué pour le père d’une élève qui est un lieutenant – colonel avec qui j’ai eu le sexe pendant deux jours et deux nuits non stop.

La preste tige de l’uniforme !

C’est psychanalytique, mon père et mes deux frères sont militaires et j’ai toujours craqué pour les uniformes. Je me suis toujours branlée en fantasmant sur des mecs musclés, très masculins et en treillis. Je ne suis pas entrée dans l’armée, mais tous les chemins mènent à Rome, je suis prof à Montlhéry. Et cette ville abrite le 121e régiment du train. Et je peux vous assurer que nombre de ses passagers me sont passés dessus ! Je vous raconte mon histoire de sexe.

J’ai la fille d’un lieutenant-colonel dans ma classe et ce père attentif vient chercher sa progéniture à la sortie du collège tout paré de ses galons et parfois même de son uniforme d’apparat, avec fourragères et tout, et tout !

Il ne m’a pas fallu une semaine pour le mettre dans mon lit. Nos échanges n’avaient pas laissé place à l’ambiguïté, exit les dîners fins aux chandelles et les bruits cristallins des coupes de champagne s’entrechoquant, il voulait la même chose que moi : du sexe, du sexe et encore du sexe. Et nous en avons eu !

Deux jours et deux nuits de débauche, de perversion et de folie, de jouissance et de sueur, de foutre et de mouille.

Je l’ai accueillie à poil, en levrette sur mon lit, cul tourné vers l’entrée de ma chambre, porte palière entrouverte pour qu’il puisse me découvrir ainsi, chienne consentante et attendant d’assouvir sa soif de jouissance.

Je l’ai fixé quand il est arrivé, qu’il était beau avec tous ses falbalas militaires, plus il y a de galons, plus je mouille. Il s’est dévêtu en silence, le regard bleu et froid, je l’ai vu sabre au clair, droit, dur, presque étincelant comme un acier damassé.

« Mon colonel … vous n’oseriez pas abuser de moi ? »

Ma voix était parfaite, entre crainte et supplique.

Il s’est avancé vers moi, son sexe au garde-à-vous et il a levé les couleurs sous mon nez. L’ordre était implicite, mon devoir était de sucer. Obéissante, j’aurais bien mis le petit doigt sur la couture de mon pantalon si j’en avais porté un, j’ai pris en bouche le pénis belliqueux sur le champ.

Le colonel, me défonce mes lignes arrières

Nulle bataille épique, j’ai l’habitude de tailler des pipes à toute sorte de calibres, j’ai englouti son canon sans coup férir ! Il a été surpris ! Visiblement Madame la Colonelle n’était pas friande de son arme d’appoint, moi si. Je l’ai tellement bien sucé, du reste, qu’il m’a étonnée (et un peu inquiétée, je l’avoue) en se répandant quelques minutes seulement après le lancement de mon premier assaut. J’ai reçu une décharge de foutre si volumineuse que j’en ai laissé couler la moitié sur mes seins. Moi qui suis friande de sperme, j’étais gros Jean comme devant.

J’allais pour m’allonger, mais la discipline des armées avait visiblement affecté aussi sa hallebarde qui est restée roide et impérieuse, aucune débandaison à l’horizon, exit Waterloo, à moi Austerlitz ! Il m’a fait m’allonger sur le ventre, écarter les fesses avec mes mains et il s’est installé à califourchon sur moi. La longueur de sa colonne lui a permis d’atteindre mon vagin sans problème. L’invasion s’est réalisée en douceur, mon ambroisie lubrificatrice aidant à la manœuvre, le colonel s’est vite retrouvé tout au fond de ma grotte. Je l’ai senti stopper son offensive un instant, j’ai tourné la tête comme j’ai pu et j’ai vu que ce petit malin prenait des photos aériennes du terrain d’opération.

J’ai écarté de nouveau mon beau cul bombé, je le savais saliver d’envie à propos de cette cible évasée et rose qui s’épanouissait sous ses yeux. Je lui ai permis de contraindre cette ligne d’un puis de deux doigts, mais pas plus.

Mes défenses étaient forcées de toute part, mon assaillant s’est alors lancé dans un blitz terrible. L’accès à ma base arrière a agi comme un détonateur, galvanisé il m’a chargée en règle. Des grands coups de boutoir qui ont fait grincer le lit et gémir ma gorge.

Il m’a explosée, l’offensive était âpre, presque brutale, mais si bien menée que j’ai joui comme rarement sous son pilonnage en bonne et due forme.

Il m’a demandé, ordonné serait plus juste, de me retourner, il voulait une libération en missionnaire, un dernier assaut, bizarrement cette fois-ci il est entré et sorti de moi avec une lenteur calculée, regardant son gland quitter mon nid douillet pour mieux s’y engouffrer de nouveau. Il a éjaculé moitié dans et sur ma chatte. La bataille a fait rage tout le week-end. Ma reddition a été totale, il m’a vaincue par une quinzaine d’orgasmes. Je lui ai même permis de, finalement, défoncer mes lignes arrières !

Vendredi prochain, ce sera la première semaine de vacances, il m’a promis de venir au moins trois jours… avec du renfort ! Ça s’annonce bien non ?!

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Paule


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