Ma petite vie de soumise
7 janvier 2019Charlotte, 21 ans, Montpellier.
Je m’appelle Charlotte et j’ai 21 ans. Je vis à Montpellier depuis plusieurs années. À 19 ans, j’avais connu quelques garçons mais ça ne durait pas, jusqu’au jour où j’ai rencontré la mère d’un de mes petits amis de l’époque. J’étais passée voir Mathieu chez lui mais il n’était pas encore rentré. Plutôt que de me laisser repartir, sa mère m’a invitée à l’attendre et à boire un café. J’ai accepté avec timidité.
Pendant qu’elle préparait le café, elle m’a complimentée sur ma façon de m’habiller. Elle me disait qu’elle me trouvait mignonne à croquer. Elle aussi était plutôt bien faite malgré ses 45 printemps. Je ne l’ai pas vue venir. Elle s’est assise à côté de moi, sa voix était chaude et envoûtante, elle continuait à me complimenter en me caressant la cuisse. J’étais un peu perplexe, mais je pensais seulement qu’elle était ce genre de personne très tactile, donc je l’ai laissé faire. Sa main remontait subrepticement. Dans mon cerveau, ça allait à cent à l’heure. J’avais plein de pensées contradictoires qui me traversaient la tête. Je ne savais pas trop quoi faire, mais la situation me plaisait, c’était certain. Je n’osais pas bouger de peur qu’elle n’interprète cela comme un mouvement de recul. Une grosse boule chaude se formait dans mon ventre, alors j’ai un tout petit peu écarté les cuisses jusqu’à ce que sa main effleure ma petite intimité.
C’est le moment où elle m’a embrassée tendrement. Je me sentais bizarre, mais j’aimais vraiment ce qui était en train d’arriver. Elle m’a chuchoté que Mathieu ne rentrerait pas de la journée, et qu’elle allait bien s’occuper de moi. Je l’ai laissé faire. Elle m’a lentement déshabillée, il ne me restait plus que mon string ficelle blanc. Elle me pelotait les seins, elle me suçait le cou, les lobes d’oreille, et elle m’a enlevé le string qu’elle a trouvé trempé. Là, elle m’a dit que j’étais une vilaine et que je devais être punie. Je n’y croyais pas, et je n’osais pas parler tellement j’étais excitée à l’idée de ce qu’elle me réservait. Elle m’a fait sentir son string mouillé lui aussi, une odeur forte, et elle m’a dit de l’attendre sur son canapé, nue !
Elle est revenue quelques minutes plus tard avec une grosse mallette noire qui contenait beaucoup d’objets, dont certains me paraissaient plus gros que d’autres. Elle m’a bandé les yeux, puis attaché les mains dans le dos. J’avais les genoux relevés et les jambes écartées. Puis, sans aucun préliminaire, elle m’a introduit des boules de geisha dans le vagin et un petit truc dans le cul. C’était des sensations inédites, j’étais vraiment en chaleur, ma vision se brouillait et je ne réfléchissais plus.
Elle m’a dit de venir avec elle dans sa chambre. Elle m’a aidée à me relever et elle m’y a conduite. Là, elle s’est mise nue, à quatre pattes, et elle m’a ordonné de la lécher. Je mouillais à fond, je sentais les boules s’entrechoquer dans ma chatte, mon anus se resserrait sur le plug, et la mère de Mathieu se tortillait comme une possédée en poussant des soupirs vraiment salaces. Elle a joui sous ma langue et mon nez. Mon ventre explosait, j’avais des fourmis partout, et j’avais vraiment envie d’avoir un orgasme, moi aussi. Mais à la place, ma maîtresse a enlevé le bandeau de mes yeux pour me museler avec un bâillon-boule violet. Au début, j’ai trouvé cela désagréable, je bavais et je ne contrôlais rien. J’étais attachée, nue, bâillonnée, à la merci de cette femme. Elle m’a mis des petites pinces sur les seins puis a retiré les boules gluantes de mon vagin pour m’examiner avec ce qui ressemblait à un spéculum. C’était glacé. Ensuite, je l’ai vue se harnacher. Je ne bougeais plus.
Elle a mis un gode-ceinture assez impressionnant et elle s’est allongée sur moi pour me pénétrer. Je nageais dans un nuage de sensations brûlantes. Elle s’est mise à bouger en moi, et chacun de ses coups de hanches me plongeait dans le bonheur. Mon bâillon étouffait mes cris de plaisir. Elle m’a limée encore et encore, elle s’est occupée de mon petit trou bien réceptif après le passage de l’intrus. Pour ne pas que mon cul se referme, elle m’a même mis un plug encore plus gros que le premier en me disant que je devais rester ouverte pour elle, que j’étais son objet de plaisir. Et moi, j’aimais tellement ça ! Cela faisait plus d’une heure que nous nous faisions du bien.
Elle a fini par me fourrer dans la minette un oeuf vibrant télécommandé sans fil, et elle m’a demandé de garder le tout en moi, jusqu’à ce qu’elle m’appelle. Avant de me détacher, elle m’a mis du talc sur les fesses et une couche pour adultes plutôt discrète, et m’a ordonné de la garder tout le temps que je serais sa soumise. Elle m’a détachée et embrassée, et je suis rentrée comme ça chez moi, toute retournée de ce qui s’était passé.
Le soir même, j’avais été obéissante, et la mère de Mathieu m’a appelée sur mon portable pour me dire de mettre en marche le gode que j’avais à l’intérieur. J’ai tellement joui que j’en ai pleuré. Au téléphone, ma maîtresse semblait ravie. Le lendemain, avec Mathieu, ça me faisait tout bizarre, je savais qu’il ne fallait pas que je lui en parle mais je crevais d’envie de m’épancher. Heureusement que vous êtes là. Depuis, j’ai un peu tout essayé : j’adore être bâillonnée, attachée, et remplie avec des jouets. J’aime être sa chose.
(Image à la une : Getty Images)
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O
Voilà un article intéressant. Je ne sais si l’expérience continue toujours…