Quand mon pompier rentrera

La rédaction 8 janvier 2020

Justine, 26 ans

Quand mon pompier rentrera

Quand tu rentres, il est l’heure de manger. Pour te donner envie de moi, j’ai pris ma douche, je me suis maquillée, j’ai enfilé un bustier porte-jarretelles (sans mettre de culotte !), et tes bas préférés. Par-dessus, j’ai mis un chemisier blanc ouvert jusqu’à la naissance de ma poitrine qui t’excite tant, et une minijupe. En me voyant comme ça, tu comprends vite mes attentes.

Tu te colles contre moi, et tu commences à me faire des baisers dans le cou (tu sais que j’en raffole). J’ai décidé de te faire attendre. Nous dînons, le repas ne dure que quelques minutes… Puis nous nous installons sur le canapé et tu m’enlèves le chemisier, lentement, tout en m’embrassant. Tu sors mes seins du bustier et tu t’en occupes, tu en tritures les bouts, tu les suces, les lèches… Ensuite, tu soulèves ma jupe et tu me regardes dans les yeux avec un grand sourire. Je devine ce que je vais « subir ». Tu te mets à l’œuvre avec un cunni d’enfer, tu utilises tes doigts en même temps, j’adore. Après de longues minutes de ce délicieux supplice, je ne demande plus qu’une chose : que tu me pénètres.

Mais tu veux aussi en profiter et tu me fais comprendre que tu souhaites une gâterie… Je me mets en position et je te fais une pipe comme tu aimes. Ne résistant plus, tu me pénètres en levrette sur le canapé et tu fais des va-et-vient, tout d’abord lentement, puis plus vite et fort. Tu sors soudain de moi et tu éjacules sur mes fesses. Et tu t’assois sur le canapé pour que je m’empale avec la profondeur que je veux. Je t’embrasse goulûment, je te lèche les lèvres, les mordille, je te crache dans la bouche. Tu as débandé, mais tu restes en moi. Je passe une main sous mes fesses pour te caresser les couilles. Je m’aventure un peu plus bas, je te titille le trou du cul, je risque un doigt à l’intérieur.

Mes petites cochonneries te font vite rebander. Je te sens grossir en moi ! Je me remets à bouger sur toi, ta queue coulisse à nouveau dans ma petite chatte, je me blottis contre toi pendant que tes coups de queue se font plus puissants. Je ne tarde pas à jouir encore. Ensuite, nous regardons un film à la télé. Moi, je n’attends qu’une chose : que l’on aille se coucher pour une nouvelle partie de plaisir. Cette fois, je te banderai les yeux et tu te laisseras faire. J’espère qu’en lisant ce petit récit, tu te reconnaîtras. Je t’aime mon amour.

(Image à la une : Getty Images)

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Un plan B bien monté

« Immédiatement, les choses ont viré au passionnel quand nous nous sommes retrouvés. Nos bouches se sont rejointes, nos langues ont libéré des saveurs fruitées. Il m’a emmenée dans un hôtel, m’a déshabillée, sucé les seins, plaçant sa main sous ma petite culotte noire. » Célia

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