Le mateur fait son apparition

La rédaction 29 mai 2019

Solange, 29 ans, Gironde.

Avec mon mari, on profite toujours des premiers jours de soleil, quand les touristes n’ont pas encore envahi les plages environnantes, pour nous faire bronzer nus et laisser libre cours à nos envies.

Ce jour-là, nous étions seuls au monde, et je dois dire que la légère brise sur mon corps cumulée aux rayons du soleil commençait à m’exciter diablement. Provocante, j’ai commencé à me caresser devant mon mari qui n’attendait que ça. Son sexe s’est mis à grossir, et je me suis bien vite ruée dessus pour l’engouffrer dans ma bouche. Gourmande, je l’engloutissais tout au fond de ma gorge, surjouant mon rôle d’épouse salope. Mon mari adore que je me comporte ainsi !

Au bout d’un moment, j’ai senti comme une gêne chez mon homme qui m’a retenu la tête pour que j’arrête ma gâterie. J’ai levé les yeux, et c’est alors que j’ai vu un type d’une cinquantaine d’années, bedonnant et largement dégarni, qui nous regardait tout en se masturbant. Il n’avait pas du tout l’air gêné et profitait du spectacle.

« Ne vous dérangez pas pour moi, a-t-il lancé, faites comme si je n’étais pas là, je ne vous dérangerai pas, je regarde simplement. »

Sur le moment, l’idée d’être matée ainsi m’a super excitée et sans un mot pour mon mari, j’ai replongé sur son sexe pour lui prodiguer à nouveau une pipe dont j’ai le secret. Je jetais de petits coups d’œil vers notre invité et je fixais sa main qui coulissait sur sa bite courte, mais très épaisse. Cet homme ne m’aurait jamais excité le moins du monde si je l’avais croisé dans la rue, mais, là, je ne sais pas, la situation sans doute, il me faisait mouiller.

J’avoue que le fait qu’il s’approche et qu’il me présente lui aussi sa tige à sucer ne m’aurait pas dérangé, même si je ne suis pas libertine. Mon mari, lui, tout à son plaisir, fermait les yeux et laissait ma langue parcourir sa bite dressée. Je m’étais positionnée en levrette, le cul bien tendu, pour que notre mateur puisse profiter de la vue de ma chatte ouverte et dégoulinante de mouille. Au fond de moi, j’espérais qu’il allait venir glisser un doigt entre mes chairs et, pourquoi pas, sa petite queue toute large.

Malheureusement, il n’a pas fallu bien longtemps pour que mon homme ne se vide dans ma bouche dans un râle de plaisir. Complètement excitée par la situation, j’ai ouvert la bouche pour laisser couler le sperme le long de mes lèvres et de mon menton. En voyant cela, le mateur a joui abondamment, laissant partir de longs jets sur le sable. Il nous a gratifiés d’un merci avant de s’éclipser.

Depuis ce moment, je ne cesse de repenser à ce type en me caressant. Hélas, même si nous sommes plusieurs fois retournés au même endroit, nous n’avons jamais revu notre voyeur.

(Photo à la une : Getty Images)

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