Gâterie Interdite

La rédaction 15 mai 2021

Alejandro, 32 ans a un péché mignon : pervertir les filles avec qui il n’a pas le droit de coucher. Son dernier coup ? Carla, mariée à un de ses clients.

Je suis un mec bien gaulé de 32 ans et je suis aussi, en bon lecteur d’Union, assez branché sexe. Ma passion est de pervertir les filles avec qui je n’ai pas le droit de coucher, ou celles qui sont les plus inaccessibles. Mon dernier fait d’armes me fait encore bander rien que d’y repenser. Je m’en suis souvenu plus précisément depuis que j’ai retrouvé des photos de cette nuit-là dans mes tiroirs…Je vous raconte dans cette histoire porno.

Cette histoire, c’est donc celle de mon aventure avec Carla, belle femme brune piquante qui m’a envoyé au septième ciel. Carla est aussi une femme mariée avec un client de mon entreprise en informatique. Je l’avais rencontrée lors d’un séminaire d’entreprise où elle était passée chercher son époux. Tous les deux sont très amoureux et je ne voulais pas mettre le boxon dans leur relation. Mais je n’arrive pas à résister à mes élans… Je les avais rattrapés pour aller boire un verre tous les trois et faire connaissance avec cette délicieuse créature. J’avais alors eu le temps de m’attarder sur son sourire, ses cheveux, ses seins, et je rêvais de la faire crier le visage enfoui dans un oreiller, de voir sa cascade de cheveux en bataille autour de son visage rougi par la jouissance, sa chatte trempée de mon sperme épais…

“Tu es dans tes rêves, Alejandro ?” Je me suis repris et j’ai fini mon verre.

Il se trouve que j’ai eu l’occasion de la revoir, car mon client m’a dit que sa femme avait demandé à me voir pour me demander des conseils en informatique afin de lancer sa propre boîte. Quelle aubaine !

Je suis allé chez elle et nous nous sommes installés à sa table pour travailler. Elle m’a offert du thé et son parfum embaumait la pièce. J’avais envie de saisir sa chevelure, la relever et mordre son cou pour lui montrer l’étendue de mon désir. Elle faisait la belle devant moi, je sentais qu’elle était prête à se laisser convaincre. Nous avons bossé avec une forte tension sexuelle entre nous. L’heure est venue pour elle de se préparer pour aller rejoindre son mari au resto. Elle est passée dans sa chambre mettre une robe et en est ressortie, sublime, un collier de perles à la main. “Vous m’aidez à le mettre ?” J’ai pris les perles et les ai passées autour de sa nuque délicate. Mon souffle s’est accéléré. Allais-je oser ? J’ai approché ma bouche de la peau. “Vous sentez bon, votre mari doit être fou de vous…” Elle a passé une main derrière elle pour me saisir par le cou et me rapprocher du sien. “Vous n’avez pas idée…” J’ai baisé sa nuque et ai embrassé ses lobes d’oreilles, pendant que mes mains s’aventuraient sur ses hanches. Je faisais déjà l’amour à son cou et ses mains à elle se perdaient dans mes cheveux et caressaient mon visage. On eût dit qu’on était amants depuis très longtemps !

Cette beauté s’est retournée vers moi pour m’embrasser. Le contact de sa bouche explosait en mille sensations. Il ne fallait pas que je perde ce client important pour ma boîte, sinon c’était la ruine assurée. Mais mon esprit de contradiction était plus fort, encore une fois. J’ai soupesé ses seins à travers sa robe et elle a soupesé ma bite qu’elle a sortie de mon caleçon. Ses doigts raffinés ont coulissé sur mon instrument avec délicatesse. Par “fidélité” pour son mari, elle m’a dit qu’on s’en tiendrait aux gâteries. Ça m’allait très bien car je trouve ça parfois encore meilleur que la pénétration. Surtout, je sentais qu’elle aimait ça et qu’elle avait le profil de la suceuse joyeuse… Mon hypothèse s’est vérifiée assez rapidement. Elle me voulait nu, alors nous nous sommes mis tous les deux dans le plus simple appareil, à nous faire face dans notre nudité. J’avais tellement envie d’elle ! Elle s’est agenouillée et s’est mise à me téter le bout avec une belle énergie. Sa bouche sophistiquée de bourgeoise en train d’être souillée par ma queue, c’était quelque chose ! Et elle n’avait pas peur d’y aller ou d’étaler son rouge à lèvres, elle m’avalait et bougeait les lèvres pour me contenir tout entier dans son gosier. L’écrin de sa bouche était fabuleux. Elle se léchait les babines, se pourléchait avec mon sexe comme une belle catin qui adore s’encanailler.

Carla m’a emmené dans sa chambre à coucher – celle qu’elle partage avec mon client – et m’a dit de m’allonger sur le dos, sur son lit. C’est alors que le mari est entré dans l’appartement ! J’ai entendu la porte claquer. Je me suis précipité vers mes vêtements, mais elle m’a dit de continuer à s’occuper d’elle. Complètement paniqué, j’ai vu l’homme entrer dans la chambre, nous regarder avec intensité et s’installer en face de nous pour nous regarder. Ok, j’étais tombé sur le couple où c’était permis ! Carla avait tout manigancé et j’étais l’arroseur arrosé ! Elle m’a fait m’étendre et s’est agenouillée sur mon visage pour que je trouve son clito, avant de se pencher en avant et de se remettre à me sucer en 69. Je bouffais son sexe et j’en prenais plein la vue pendant qu’elle s’escrimait à m’aspirer et me gober avec frénésie. J’étais à poil devant mon client en train de me faire baiser par son épouse… Foutu pour foutu, avec mes mains, je tripotais ses fesses au-dessus de moi et je lui mettais des doigts dans le cul tout en lui léchant la chatte. Elle aimait tellement ça qu’elle a lâché ma bite pour crier sa jouissance, tout en continuant de me branler avec des belles mains… J’ai juté à mon tour sous les yeux du mari qui a pris des photos.

Il a les pièces à conviction, mais depuis, nos rapports professionnels sont encore plus cordiaux, car mon service informatique était allé jusqu’à satisfaire ses désirs candaulistes. Comme quoi, on ne sait jamais où les dérapages peuvent nous mener.

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