Lunettes noires et sable blanc
15 mai 2021Dominique, 39 ans rencontre une belle inconnu sur un plage qui était en train de retirer du sable de son bikini.
Les jours ensoleillés de l’été, peu nombreux sur les plages du Cotentin, sont sans doute à l’origine de cette histoire porno.
Je remontais tranquillement de la pêche sur le littoral. La soirée commençait à peine et la plage s’était vidée de ses occupants. Un peu plus loin à ma droite, je pouvais discerner une forme. Ma curiosité m’a poussé à m’en approcher. J’ai aperçu une belle femme, la trentaine, les cheveux châtain clair aux reflets auburn, portant des lunettes noires que je jugeais assez superflues sous un soleil déclinant. Elle était assise sur une serviette de bain, mais sa position m’intriguait.
Quand je suis arrivé tout près d’elle, j’ai remarqué qu’elle ne portait ni culotte, ni slip de bain. Elle était penchée en avant, et ses mains se promenaient sur sa vulve. Jolie scène du jour qui décline. Je me suis encore approché, à petits pas, jusqu’à lui faire de l’ombre. Elle s’est doutée de ma présence et a levé la tête vers moi : « Vous n’êtes pas gêné ! », s’est-elle exclamée. « Je vous croyais en détresse, je me suis précipité à votre secours ! C’est mon côté boy-scout. Pfff, ça me perdra. » Elle a eu un petit rire. C’est alors qu’elle s’est radoucie : « C’est ce fichu sable. Il se faufile partout. »
Je lui ai tendu la main droite. Je n’ai pas eu le temps de me raviser quand j’ai compris que mon geste était un peu incongru. Par réflexe, elle m’a tendu sa main gauche qui, quelques secondes auparavant, s’attardait sur son sexe. Elle m’a serré la main énergiquement : « Dominique », lui ai-je dit. En rougissant, elle m’a confié son joli prénom : « Anne-Louise. Ou Lou, si vous préférez. » Je lui ai décoché un sourire charmeur. J’ai de belles dents bien saines, bien rangées, très blanches.
Nous nous sommes retrouvés face à face, silencieux, les bras ballants. Elle n’osait plus reprendre l’activité qui l’occupait précédemment. C’était le moment de vérité. J’ai pris l’initiative, sinon je l’aurais regretté: « Ce n’est pas facile avec des doigts pleins de sable, mais j’ai peut-être l’outil qu’il vous faut. » Elle m’a regardé d’un air interrogateur. « Pour déloger ces maudits grains. » J’ai légèrement sorti ma langue pour illustrer le message que je tentais de lui faire passer.Son silence, mi-interloqué, mi-amusé, m’a incité à aller de l’avant.
Je me suis agenouillé et j’ai approché mon visage de sa fleur fraîchement épilée, qui me donnait très faim. J’adore lécher des sexes féminins, je suis surentraîné. J’en ai fait une spécialité. J’ai promené ma langue sur les bords de ses grandes lèvres tout en aspirant légèrement. Je l’ai sentie se contracter de plaisir. J’ai fignolé mon travail : ma langue et ma bouche se sont insinuées partout, tétant son clitoris, glissant le long des petites lèvres. La mouille qui s’écoulait d’elle à petites doses me facilitait la tâche. Qui sait, si j’y laissais un grain de sable, si celui-là ne se transformerait pas en perle ?
Elle gémissait tout doucement, d’une manière très apaisée. Je l’ai achevée à grandes lapées, elle s’est contractée durant une bonne minute avant de se détendre complètement. Elle s’est laissée tomber sur sa serviette, et j’ai su que je l’avais fait jouir. J’étais très content de moi. Elle a voulu me remercier. Elle m’a attrapé le bras et m’a demandé d’ouvrir ma braguette. Débarrassé de mes vêtements, j’ai regardé un moment mes dix-neuf centimètres et mes couilles rasées de près surplomber son pubis glabre. « Il s’agit de continuer l’inspection pour éliminer tout risque d’irritation », lui ai-je affirmé d’un air entendu.
Je me suis introduit, au début délicatement, puis de plus en plus fort au fond de son vagin accueillant et humide à souhait. J’ai soulevé son T-shirt et saisi à pleines mains ses petits seins avec des aréoles brunes et larges, aux tétons pointés. Je n’ai pu résister à l’envie de mordiller ces mamelons dressés. Le goût de la crème de bronzage légèrement sucrée, additionné à celui de son jus, m’a enivré.
J’ai failli perdre pied, bien au fond de son minou, mais je devais me montrer méticuleux. Un doigt, puis deux doigts, elle n’a rien dit quand j’ai exploré son anus. J’ai senti autour de son petit oeillet quelques poils tout doux qui m’ont beaucoup plu. Je l’ai travaillée comme ça, elle a joui. Je ne lui ai pas laissé le temps de se reprendre, et elle s’est entièrement crispée de nouveau, laissant cette fois échapper un cri rauque et aigu. Je suis sorti et j’ai explosé hors d’elle. Mission accomplie.
Quand je me suis relevé, j’ai vu un badaud, au loin. Peut-être qu’il nous avait vus, peut-être pas. Je n’en avais rien à faire. Je n’ai jamais revu la charmante créature mais, si par chance, elle est lectrice d’Union, j’aimerais qu’elle sache que je passe souvent à cet endroit quand je reviens de la pêche.
(Images à la une : Getty Images)
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