Sus aux tabous !
23 mars 2020Minouchette, 43 ans
Bonjour, je suis une fidèle lectrice d’interstron.ru et votre revue a beaucoup compté dans mon évolution personnelle, dans mon acceptation de ma sensualité et dans mon épanouissement sexuel. Les témoignages des lectrices et lecteurs, ainsi que vos conseils m’ont aidée à surmonter mes tabous. Aussi, je serais une fan comblée si je pouvais à mon tour contribuer en vous proposant une petite série de récits autobiographiques sur mes expériences coquines. Je possède tous les attributs d’une mère de famille rangée. Quadra en couple depuis 25 ans, je pourrais aisément être qualifiée de petite bourgeoise, qualificatif qui m’a longtemps tenu lieu de raison sociale.
Physiquement, je fais beaucoup plus jeune que mon âge. Mon minois est agréable, d’après les compliments que je reçois régulièrement de la part de personnes des deux sexes. Brune à la peau mate, j’ai les cheveux très longs. Je suis plutôt petite, mais bien proportionnée. Mes formes sont généreuses et attirent le regard. Ma poitrine a chant naturellement un arrogant 85D, j’ai longtemps eu l’impression qu’elle était beaucoup trop grosse… mais à une époque où certaines dépensent des fortunes en implants mammaires, j’apprécie aujourd’hui, bien plus qu’à 20 ans, les atouts dont je bénéficie.
Perchée au sommet de jambes bien galbées, mes fesses sont rondes,rebondies et,je crois, appétissantes. Mes pieds sont petits et fins et apprécient les sandales qui les mettent bien en valeur. Vous l’aurez compris, je suis assez coquette et je soigne toujours ma tenue pour mes sorties. Même lorsqu’il s’agit d’être décontractée, je choisis des vêtements qui se combinent parfaitement. J’aime les bijoux et les accessoires féminins. Après être passée par tous les stades vestimentaires (fashionista, classique, chic, casual…), je m’amuse à présent à jongler entre les styles et je peux porter dans la même journée un tailleur strict, puis un short en jean… Ma vie intime est également contrastée, voire paradoxale.
En quête d’affection et de tendresse, j’ai connu des relations chaotiques avant de me caser. J’avais du mal à assumer mes errances passées, alors j’ai cherché à composer un personnage bien propre, ce qui a longtemps entravé mon épanouissement, car je bridais ma sensualité et je refoulais mes désirs… Jusqu’à ce que la crise de la quarantaine nous plonge dans une remise à plat de notre vie de couple, je me cantonnais dans les rôles de la bonne épouse et de la bonne mère, feignant de n’avoir ni désirs ni fantasmes.
Mais des événements ont fait éclater ces apparences trop sages. J’ai dû reconnaître que j’étais moi aussi tiraillée par mes instincts, mes pulsions, mes besoins et que la séductrice que j’avais été, sommeillait en moi et ne demandait qu’à se réveiller. Ainsi, à la quarantaine bien tassée, j’ai réappris à laisser ma sensualité s’exprimer, à assumer la part animale de ma féminité et à jouer ostensiblement de mes atouts pour satisfaire mon envie de plaire.
Encouragée par un mari qui voyait là le moyen de sauver notre couple en reconstruisant notre relation sur des bases plus saines, plus sincères, plus complices, j’ai petit à petit entrepris de concilier ma soif d’érotisme et mes obligations sociales et familiales. Cela n’a pas été facile tous les jours, car la tentation de me replier et de retourner dans mon jardin secret revient parfois. Mais je suis motivée et je m’efforce de m’assumer de plus en plus. J’ai donc augmenté ma garde-robe de pièces audacieuses que j’aurais considérée il y a quelques années comme des tenues de poufiasse… Les dentelles, les soies transparentes, les cuirs, les strass, les couleurs vives ont peu à peu côtoyé, puis évincé les mailles ternes, les tweeds et les flanelles grises. Si je me suis fait un peu violence au début, je me suis surprise à aimer sortir habillée de manière provocante et à jouir intérieurement des réactions que je suscitais.
Les regards parfois suspicieux ou jaloux sont finalement rares et les étincelles de désir que j’allume régulièrement, tant chez les hommes de tout âge que chez d’autres femmes, sont souvent flatteuses. Certaines fois, je pousse jusqu’à porter les atours de ce qu’il convient d’appeler une « belle salope » : jupe minimaliste, chemisier transparent largement ouvert sur ma poitrine rehaussée par un soutien-gorge pigeonnant, talons hauts, queue-de-cheval semblant dire « dressez-moi »… Passé les premières hésitations, la fièvre de m’exhiber en tenue racoleuse l’emporte et m’excite au plus haut point. Ma cheville droite s’est ornée d’une chaîne a n d’ajouter encore au trouble. Ainsi, faire les courses ou flâner en ville devient un moment palpitant, où je suis tour à tour chasseresse ou proie, selon que mes interlocuteurs réagissent en étant intimidés ou sur un mode conquérant.
J’ai renoué avec ce plaisir que j’avais trop longtemps renié d’être une allumeuse. Mais je ne me contente pas d’allumer. Le fait de m’être réconciliée avec mes appétits sexuels les plus secrets a décuplé ma libido! Jadis timorée, voire un peu éteinte sous la couette, je me lâche et explore des pratiques de plus en plus débridées: toys en tout genre, bondage, pénétration sauvage de tous mes ori ces… Je suis devenue, paraît-il, une suceuse hors pair, léchant, suçant, gobant, avalant gland, hampe, couilles, avec une frénésie non feinte. À force d’entraînement, je prends jusqu’à la garde en gorge profonde, puis je me régale du sperme que je bois goulûment. J’aime aussi les pratiques plus extrêmes: fist vaginal et anal (mes petits trous n’acceptent pas encore un poing complet mais je n’ai pas dit mon dernier mot), sodomie hard… Mais j’ai surtout découvert le vertige de la soumission.
Étroitement ligotée, je me laisse malmener pendant des heures jusqu’à perdre tout contrôle et à implorer tout en les redoutant des sévices toujours plus terribles. Contrainte de laisser mon partenaire disposer à sa guise de chaque parcelle de mon corps, je m’abandonne aux coups de cravache, de martinet, aux fessées, aux pinces, aux griffures, aux assauts de tous mes orifices privés de défense, privés même de la volonté de se défendre. Cette exploration du sadomasochisme me permet de m’accepter comme je suis, d’assumer les aspects de ma personnalité que la morale m’imposait d’étouffer, de redonner vie à la femelle instinctive que chaque femme porte en elle et que l’on a socialement bannie. Petit à petit, je n’ai plus peur d’être traitée de «salope» au prétexte que j’ai un corps programmé génétiquement pour jouir avant de procréer. Par un juste retour des choses, m’étant bien acquittée de ce «devoir de reproduction», je commence enfin à jouir! Et m’entendre traiter de « pute », de « salope », de « traînée » m’excite énormément.
Désormais en quête de sensations fortes, je me livre avec mon compagnon à des jeux tantôt innocents, tantôt pervers, afin d’explorer sans cesse de nouvelles pistes. Titillant mon côté voyeur et exhibitionniste, je m’adonne au visionnage de pornos en tout genre, les plus scabreux déclenchant chez moi les plus fortes réactions physiologiques. Les gang bangs, pénétrations multiples, les dilatations, les douches de sperme, les bites surdimensionnées, les gouinages les plus crades… Tout cela me transforme en petite chienne en chaleur qu’il faut baiser jusqu’à épuisement pour qu’elle se calme enfin. À présent, nous nous aventurons sur des terres plus sauvages encore: me laissant branler jusqu’à l’orgasme sur une plage surpeuplée, m’exhibant quasi nue en voiture, portant plugs et boules de geisha pour sortir, omettant régulièrement d’enfiler une culotte… je repousse les limites de l’impudeur afin d’échauffer mes sens et de mettre mes hormones en ébullition.
Après avoir goûté à différents massages qui m’ont permis de confirmer que j’aimais être touchée par des mains inconnues, je m’apprête à présent à assouvir un vieux fantasme… J’ai toujours été fascinée par les gynécologues, ces hommes qui passent leur vie dans le sexe des femmes des autres. Jusqu’ici, je peinais à faire coïncider les fantasmes associés à ce personnage et ma propre expérience des examens gynécologiques. La patiente finissait par l’emporter sur la passion. Cette fois, avec l’assentiment de mon homme, j’ai choisi grâce à Internet le gynéco le plus attrayant physiquement de la ville.
Prétextant un contrôle de routine, j’ai pris un rendez-vous pour le mois prochain. N’étant préoccupée par aucun problème médical (ma choupinette est même dans une forme olympique), je compte profiter de cet examen pour me laisser aller au plaisir de sentir des doigts experts et un spéculum indiscret fouiller mon intimité. À cette seule perspective, je suis déjà toute humide. Je le serai plus encore le jour J car mon mari m’a demandé de me caresser avant de me rendre à mon rendez-vous. C’est donc une petite chatte gonflée de désir et trempée de cyprine que le beau praticien va devoir examiner. Je compte bien faire durer le contact en me plaignant de quelque douleur imaginaire. Reste à savoir où cela va me mener… Vais-je réussir à me contrôler? Ne vais-je pas jouir entre les mains du docteur? Comment réagira-t-il face à mon état ? Ces questions participent à mon excitation… Si vous êtes sages, ou plutôt si, comme tous les interstron.ruistes vous ne l’êtes pas trop, je vous raconterai !
(Image à la une : Getty Images)
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« Il s’est retiré de mon cul, et le foutre a jailli de mon anus dans un bruit abject. Il a posé sa grosse verge sur mes lèvres et a dit « Avale, bois mon sirop ». J’ai goûté et malgré le goût âcre j’ai tout bien léché et avalé. Je me sentais hagard. » Fred
« Il attise mon excitation avec sa queue puis il vient taper le fond de mon vagin… intensément. Sa quéquette n’est jamais aussi belle que lorsque je la suce : j’aime jouer avec ma langue sur son gland, et l’aspirer jusqu’à le sentir couler dans ma bouche… » Mel