Terrassée sur la terrasse 

La rédaction 30 octobre 2025

Voici mon histoire de sexe érotique. Je me souviens encore de cette fin d’après-midi. Le sable était tiède, presque doux sous mes pieds, et le vent de l’Atlantique soufflait avec assez de malice pour soulever ma robe sans jamais la faire voler. Je n’avais rien prévu aujourd’hui. Ma famille était partie en randonnée et m’avait abandonnée pour la journée.

Fellation pour mon amant

Et c’est là que j’ai rencontré Gustave. La trentaine. Il tenait une boutique de produits locaux, une caverne à touristes, mais lui… ce n’était pas un commerçant ordinaire. Il parlait comme s’il connaissait tout le monde depuis toujours. Il faisait rire les enfants, charmait les mamies, et me regardait, moi, comme si j’étais un mystère dont il voulait percer chaque couche. Il m’a proposé un verre, juste comme ça. J’ai accepté. Un verre a mené à une terrasse, la terrasse à son appartement. Il avait une vue incroyable sur l’océan, et une manière de me parler qui me faisait oublier le reste du monde. Je ne sais pas exactement comment on en est arrivés là… mais je me suis retrouvée nue sur son balcon. Le vent était plus frais sur ma peau que je ne l’avais imaginé, et lui me regardait comme si j’étais une œuvre d’art exposée rien que pour lui.

Je me suis sentie belle. Vraiment belle. Forte. Désirable. Presque cruelle. J’ai toujours su que mes amies me regardaient avec cette lueur de jalousie tranquille, mais là, c’était différent. Ce n’était plus une impression, c’était une évidence. Gustave s’est approché. Lentement. Il m’a effleurée comme s’il avait tout le temps du monde. Il m’a ensuite guidée lentement vers la chambre, la main posée sur mes reins, douce mais assurée. L’atmosphère y était tamisée, propice aux confidences charnelles. Il s’est arrêté devant le lit, s’est tourné vers moi avec un sourire tendre, et, sans me quitter des yeux, a commencé à se déshabiller. Un à un, ses vêtements sont tombés au sol, révélant la courbe ferme de son torse, la ligne de ses hanches, et enfin, sa queue magnifique, tendue, palpitante de désir.

Je suis restée un instant à le contempler, le souffle un peu plus court, électrisée par sa beauté brute et la tension qui montait entre nous. Je me suis approchée, lentement, comme attirée irrésistiblement. Puis je me suis agenouillée devant lui, mes mains venant effleurer ses cuisses, mon regard ancré dans le sien. Je l’ai pris en bouche avec une lenteur délibérée, presque cérémonieuse, savourant le goût de sa peau, la chaleur, la fermeté. Ma langue jouait autour de lui, mes lèvres se refermaient avec une avidité douce. Je le suçais avec passion, avec une faim sensuelle, rythmée par les soupirs qu’il laissait échapper, ses doigts glissant dans mes cheveux pour m’encourager, me guider sans jamais me forcer. Chaque va-et-vient de ma bouche était une offrande, un dialogue silencieux entre nos corps déjà brûlants d’envie.

Première fois avec mon amant

Il m’a ensuite doucement positionnée à quatre pattes sur le lit, prenant le temps de m’installer comme il le désirait. Ses mains ont glissé sur mes hanches avec une assurance délicieuse, avant de descendre le long de mes reins pour accentuer ma cambrure. Je sentais son regard posé sur moi, admiratif, presque gourmand, tandis que ses doigts m’ajustaient, sculptaient la posture parfaite pour lui, pour nous. Puis, sans prévenir, il est venu en moi d’un seul mouvement, d’une pénétration pleine, intense, irrésistible. Il n’y avait aucune douceur, seulement ce besoin brut, cette urgence de me posséder entièrement. Je l’ai senti s’enfoncer profondément, comme si nos corps s’appelaient depuis des heures. Chaque va-et-vient était un coup de rein précis, puissant, qui me faisait chavirer un peu plus à chaque seconde. Mes gémissements résonnaient dans la pièce, étouffés par le rythme qu’il imposait, tandis que mes mains s’agrippaient aux draps, incapable de penser à autre chose qu’à lui, à nous, à cette onde de plaisir qui montait en moi.

Dans un dernier râle rauque, il s’est retiré brusquement, ses mains encore agrippées à mes hanches. Son souffle était court, haletant, presque animal. Puis, dans un mouvement à la fois fébrile et maîtrisé, il a éjaculé sur moi. Un jet chaud, abondant, qui a éclaboussé l’arrondi de mes fesses, puis glissé entre mes cuisses, se mélangeant à l’humidité déjà présente. Je sentais son sperme couler lentement, tiède et visqueux, le long de la raie de mes fesses, jusqu’à ma chatte encore palpitante de plaisir. Chaque goutte semblait prolonger l’extase, marquer ma peau comme une ultime caresse. Je suis restée immobile quelques instants, offerte, vulnérable et délicieusement salie, savourant cette sensation d’abandon total, ce moment suspendu où nos corps venaient de se dire l’essentiel sans un mot. Tout en pensant à ma famille qui m’attendrait ce soir, pensant que leur fille avait été bien sage dans la journée.

A LIRE AUSSI 

Un amant et deux fois plus de plaisir 

Ma femme et son amant dans l’appart 

Sodomie tant attendue

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru