Alors on danse !
14 mars 2022Patrick a une relation privilégiée avec une danseuse de cabaret. Lorsque celle-ci veut partager une danse avec un petit jeune, l’histoire devient chaude !
Comme il est coutume de raconter nos plus torrides histoires érotiques dans les pages de votre magazine, voici la mienne. A près de soixante ans, je sais maintenant que les relations sexuelles les plus intenses sont celles qui se conjuguent avec la passion, la colère, la jalousie, le désir et, parfois, même, la haine.
Bien sûr, j’ai connu des temps calmes, des amours tranquilles, paisibles et affectueux… mais ils ne m’ont jamais apporté la fièvre des parties de cul endiablées que j’ai connues avec les partenaires par lesquelles j’étais constamment obsédé.
Une fois marquante
Je pense à une femme, bien sûr, qui a su enflammer comme nulle autre mes insomnies les plus longues. Il s’agit d’Estelle ! Nous sommes restés amants pendant cinq ans, nous n’avons jamais formé un couple, ensemble. Je n’ai jamais su si je n’étais assez bien pour elle ou si elle n’était pas assez bien pour moi.
C’était une danseuse qui travaillait principalement dans des petits cabarets de Paris. Quand elle en avait l’occasion, elle partait en tournées dans les grandes villes de France. Elle faisait un peu de tout mais surtout du contemporain.
Je n’ai jamais rien compris à la danse contemporaine dont elle me parlait avec admiration. Mais j’ai toujours trouvé beau, émouvant, sublime, la façon dont elle tordait son corps au rythme de la musique. Elle avait des muscles fins partout, ses épaules, ses mollets, son ventre… tout était gainé, sec, fragile.
Si j’étais jaloux ? Bien sûr ! Elle s’offrait à tous les yeux, à toutes les mains qui voulaient d’elle. Elle était impudique et narcissique, tout ce qu’un homme admire et déteste à la fois. Une fois j’ai dû « vraiment » la partager, avec un autre homme, plus jeune que moi.
Un ami d’ami, encore étudiant qui lui avait tapé dans l’œil lors d’un dîner organisé par un ami mondain.
Partage d’une danse… et plus
Elle me disait des mots très doux à l’oreille pour que je succombe à son fantasme, pour que je la partage vraiment, sexuellement, intimement, lors d’une partie de sexe : « oh mon tendre Patrick, jamais je ne te tromperai ! Faisons l’amour ensemble, comme ça ni toi, ni moi, ne commettrons l’adultère. Je serai la plus heureuse des femmes et toi le plus heureux des hommes… de me rendre si heureuse, comme ça ! » Son chantage affectif n’avait aucune limite.
Mais enfin, je lui reconnais le talent d’être efficace. Nous nous sommes donc vus, une nuit, tous les trois, à l’hôtel, en territoire neutre. Quand le jeune homme s’est mis nu, je reconnais avoir tremblé. Il venait d’avoir vingt ans, était imberbe, lissé de partout, d’une beauté diaphane superbe.
Je comprenais que mon Estelle ait envie de lui. Même moi, je l’ai trouvé à mon goût. Je me suis vite aperçu que Monsieur aimait aussi les hommes. Estelle et lui se sont à mis me sucer, dans un ballet infernal, à tour de rôle. Des essuie-glaces d’une douceur affolante, leurs petits coups de langues sur mon gland, sur mes bourses me ravissaient.
D’autant que leur langue, parfois très empressée se collait l’une à l’autre et provoquait d’interminables embrassades. Une fois que mon sexe fut bien lubrifié j’ai pris Estelle en levrette, comme je crois qu’il convient de faire lorsque l’on se lance dans un plan à trois – et que l’on est l’amant « principal ».
Trio d’enfer
Enfin, c’est comme ça que je m’imaginais la hiérarchie de ce plan à trois. Et le jeune s’est mis face à son joli visage, pour se faire pomper à son tour. Estelle, au summum de son envie de provocation – et voyant que je prenais amplement mes aises – nous a demandé de nous serrer fort dans les bras l’un de l’autre, avec son amant d’une nuit.
Nos deux bustes se sont alors rapprochés, et, alors que j’avais toujours la bite bien enfoncée dans son vagin, j’ai caressé tendrement le bras du jeune homme qui me faisait face. C’était à la fois de la bonne camaraderie, et en même temps, ça m’a donné envie de jouir. Comme si cela décuplait toutes mes sensations ressenties.
J’ai éjaculé sur la jolie chute de reins d’Estelle, lui sur le menton de ma dulcinée. Il y a eu un dernier regard complice… et je ne l’ai plus jamais revu depuis. Mais Estelle, qui n’en était pas à son premier coup pour me déstabiliser, a multiplié par la suite les expériences sexuelles décadentes et excitantes. Et a envahi ma libido comme aucune autre femme ne l’avait fait auparavant !
C’est ce genre de femmes qui marque la vie d’un homme.
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