Naissance d’un trio
14 septembre 2021À la retraite depuis dix ans, nous nous sommes installés avec Simon, mon mari, dans notre Corse natale. Notre interstron.ru a été entachée par les coups de canifs à répétition de mon coureur d’époux. Je n’avais jamais pensé prendre ma revanche. Moi aussi, j’ai vécu un frisson érotique intense, c’était juste avant la fin de mon activité professionnelle. Comptable sur Paris, ma routine se déroulait entre le bureau et quelques visites chez mes clients. Rien de folichon. Jusqu’au jour où j’ai reçu un SMS qui m’a retourné les sangs. Je m’appelle Andrée, j’ai 69 ans et voici mon histoire porno.
Mon amant, ma découverte
« Je te sens frémissante, ta main sur ma queue me branle en douceur tandis que mes doigts, glissés sous les dentelles blanches de ta culotte trempée cherchent ton bourgeon nacré et l’agace de petits mouvements circulaires avant de plonger dans le braséro de ta fente. ». D’abord outrée, je me suis sentie rougir puis j’ai relu le message. Le numéro m’était inconnu. Soudain une seconde notification « Oups, mauvais destinataire, pardon ». Vexée et excitée, je me suis prise au jeu et j’ai répondu en tapant avec mon index tremblant «L’erreur est humaine, mais vous avez humidifié ma fente et ma culotte.»
Thomas, tel était son prénom, et moi avons dès lors entretenu une correspondance épistolaire accompagnée bientôt de photos très cochonnes. Je ne pouvais plus me passer de ces textes érotiques brûlants qui alimentaient mes masturbations. Il y a deux semaines, Thomas m’a informée qu’il venait subir le second confinement à quelques kilomètres de chez moi. Je n’en ai pas dormi de la nuit. Le virtuel avait cet avantage certain d’éviter toute déception et… tout danger. Mais j’avais envie de ce quadragénaire et, contrairement à toutes mes craintes du haut de mes soixante-neuf ans, il avait envie de moi.
J’ai prétexté un après-midi de randonnée et je suis allée le rejoindre. Thomas m’a accueillie sans l’ombre d’une hésitation en me roulant une pelle gourmande. Cela ne m’était pas arrivé depuis bien longtemps. Il a fouillé directement dans mon corsage (ses textos m’avaient laissé entendre qu’il était fou de mes « boobs », comme il les appelait) pour me peloter les seins. «Vas-y, sors ma queue, branle-moi !», mon cœur voulait sortir de ma poitrine, j’ai porté la main à son pantalon, son sexe bandait déjà, je l’ai extirpé de son jean.
Il était plus court que celui de Simon, mais d’un diamètre bien plus imposant. Nous nous sommes déshabillés et avons baisé. J’ai bien dit baisé. Thomas connaissait le corps des femmes sur le bout des doigts, il m’a fait faire un bond de quarante ans en arrière : levrette, soixante-neuf, cunnilingus, cravate de notaire, il m’a même fait lécher son oeillet étoilé le petit salaud ! Pour la première fois depuis bien longtemps je me sentais Amante, Sexy et Salope pour mon plus grand plaisir.
Intrusion dans le couple
Une semaine a passé ainsi, mes « randonnées » se sont faites quotidiennes, je rentrais fourbue, les genoux un peu écorchés, quoi de plus normal après des dizaines de kilomètres de marche ?! Simon ne se doutait de rien et moi j’exultais. Mais Thomas en voulait plus, libertin dans l’âme, il a installé en moi l’idée que mon mari nous rejoigne dans nos jeux. J’ai opposé un non catégorique, mais il s’est révélé très persuasif. Un soir j’ai dit à ma moitié qu’un ami venait dîner et qu’il dormirait à la maison. Simon a été adorable et m’a aidé à préparer le repas, Thomas, quant à lui, m’envoyait ses consignes : je te veux habillée classe, mais court et sans culotte.
J’ai eu la nausée quand la sonnette a retenti. C’est mon époux qui est allé ouvrir. Poignée de main virile entre les deux hommes puis mon amant s’est dirigé vers moi pour me faire la bise, juste à la commissure des lèvres. Nous avons mangé, bu un peu plus que raisonnable, le limoncello au cédrat corse bien frais a fini par nous faire tous tourner la tête. «Tu as une très belle femme Simon, très sensuelle, très sexe. Tu ne m’en veux pas de ma franchise ?» a osé Thomas.
Simon a été pris au dépourvu, mais ne s’est pas démonté, me balançant un petit pic au passage. «Non, tu ne me choques pas, mais tu sais, avec l’âge, la gaudriole ne s’invite plus guère». J’ai donné une tape sur la main de mon mari, Thomas s’est levé et est passé derrière moi. «Tout est une question d’opportunité, la clef, c’est de susciter le désir. Je suis sûr qu’Andrée est une amante tout à fait brûlante, je peux ?». Il a glissé les doigts sous mon corsage pour en faire jaillir mes seins bandés ! Une seconde de gêne puis Simon, souriant, m’a adressé un clin d’œil et nous a rejoints.
En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire je me suis retrouvée nue, une queue dans chaque main, mes mamelons entraînés dans un maelström de caresses et de doux pincements. C’était ma première fois à trois, mais tout était naturel et beau. J’ai sucé mes deux amants, Thomas m’a léchée puis Simon a pris le relais tandis que j’accueillais de nouveau mon quadra en bouche. Ce dernier, très chaud, m’a fait venir sur lui, assis dans le canapé.
Son large chibre m’a ouvert et rempli la chatte, je gémissais alors qu’il me branlait le clito, j’ai capté son geste qui invitait mon mari. J’ai senti une langue familière puis des doigts fouiller et assouplir mon anus. Allais-je oser cette pratique digne des orgies les plus cochonnes ou des films pornos les plus libidineux. Oui ! Et je peux vous assurer que j’ai adoré jouir du con et du cul en même temps !
Depuis, nos jeux sont bien plus corsés avec Simon. Thomas passe régulièrement nous voir et m’a même initiée aux plaisirs saphiques.
A LIRE AUSSI
Ma femme et son amant dans l’appart