Film en noir et blanc
8 juin 2022Jules ne parvient pas à combler sa femme avec son pénis… Pour satisfaire ses fantasmes, il l’offre à un béninois au pénis de 22cm ! Un vrai film de cul !
Agnès et moi nous adorons et je veux qu’elle soit heureuse en tout. Pour mon plus grand malheur (croyais-je) elle a une addiction pour les hommes très bien membrés. Avec mes treize centimètres en érection, je ne fais pas le poids. Nous sommes équipés en artefacts, mais rien ne remplacera jamais une bonne grosse queue bien veinée et bien grosse.
La recherche d’un amant
Je me suis vite résolu à lui chercher des amants et notre cité à Liège a été un terrain de chasse idéal. La population afro et caraïbéenne y est importante et Agnès voulait des soupirants à la peau noire. La seule règle immuable, inviolable ? Je suis aux côtés de ma femme du début à la fin. Soit je participe soit je prends des photos. C’est plus sécurisant pour elle et surtout je préfère largement être un mari complice et candauliste que bafoué et cocu.
Notre dernier invité a été Abdelkoudou, un colosse béninois pourvu d’un appendice pénien … démesuré ! Six centimètres de diamètre, près de dix-neuf de circonférence et vingt-deux de long ! Un menhir d’onyx. Devant cet énorme pieu, et ne jouant définitivement pas dans la même équipe, j’ai décidé de rester spectateur, voyeur et photographe !
J’ai eu le droit à un show d’une extravagance et d’un érotisme fou. Agnès s’est tout d’abord échinée à sucer Abdelkoudou, faire une fellation à un tel membre relève de l’exploit. J’ai adoré l’observer ouvrir de plus en plus grand sa bouche pour engloutir une toute petite partie du fabuleux pénis. Elle hoquetait tant la tâche était rude. Sa salive coulait le long de la tige monstrueuse tandis que son amant caressait son corps. Il décrivait les courbes de ses seins, les empoignait, les tordait en tous sens, faufilait sa main jusqu’au sexe déjà trempé d’un désir suave et oléagineux.
Un amant idéal
Amant idéal, notre invité était un « bouffeur de chatte ». Une fois son érection complète (c’est qu’il en faut pour développer un tel volume !) il s’est glissé entre les jambes de ma femme et a joué de son interminable langue rose. Il a dévoré Agnès, son bourgeon bien sorti, nimbé d’un glacis qui en disait long sur son excitation, les sucs nappaient ses grandes et ses petites lèvres, et j’entendais les bruits d’aspiration très cochons. Lorsque la fragile rosace a, elle aussi, été la cible des soins buccaux d’Abdelkoudou, j’ai espéré qu’Agnès accepte de se faire sodomiser. L’entreprise n’était pas évidente, mais allait sans nul doute être une fantastique épopée.
En amant attentif, la première position choisie a été l’amazone. Mon épouse chevauchant son beau guerrier à la peau d’ébène a ainsi pu contrôler la pénétration et acclimater son vagin à ce pénis herculéen. Doucement, elle a englouti la totalité de la hampe, son anus brillait de mouille et de salive. Elle a commencé à remuer du bassin puis, lorsqu’elle s’est sentie prête, s’est soulevée en cadence avant de se laisser choir pour s’empaler de plus en plus violemment.
Un plaisir intense et profond
Elle a joui ainsi, Abdelkoudou l’a plaquée sur ses cuisses, je voyais clairement son pieu se gonfler en rythmes saccadés, d’un pouce il agaçait le clito et un doigt s’est faufilé dans le cyclope de ma moitié. J’ai cru qu’elle allait s’évanouir. Moi je bandais dur et me caressais tout en tournant autour de ce couple fantastique. Ma main recouvrait l’entièreté de mon sexe tandis que celle d’Agnès arrivait à peine à encercler la circonférence du mandrin couleur chocolat revenant à ses activités de succion afin de préparer le final, ce dont elle rêvait depuis longtemps, se faire investir le cul par un manche survitaminé.
En confiance, elle s’est allongée sur le dos et a relevé les fesses, son étoile épanouie et avide. Je voyais distinctement le sphincter s’élargir puis se froncer, signe d’une attente impatiente. Abdelkoudou a juste posé son foret sur la cible désormais évasée puis a repris appui sur ses bras musculeux. Il a embrassé Agnès et tandis que sa langue s’insinuait dans la bouche offerte, le barreau disparaissait dans les chairs distendues. J’en ai eu le souffle coupé en réalisant comme Agnès acceptait l’intrusion sans broncher.
Quand l’anneau a été totalement ouvert, les coups de pistons se sont enchaînés. Agnès a joui de nouveau, un rugissement grave a jailli de la gorge de son vainqueur et il s’est retiré pour lâcher ses derniers traits de foutre. Sa queue a débandé aussitôt et il s’est dépêché de ramasser ses affaires. Il a filé sans même prendre une douche ou nous dire un mot.
Deux de ses copains se sont déjà fait connaître, nous sommes pleins, niveau réservation, jusqu’au mois de mai !