Pipe à Pamiers
10 mai 2019Myriam, 38 ans, Lille.
Mon été a démarré très chaud… Pas plus tard que le mois dernier, j’ai eu le plaisir de faire la plus belle pipe de ma vie. Je ne résiste pas au plaisir de partager ce souvenir avec vous ! J’habite à Lille et, pour ces vacances, je suis descendue dans le Sud, à Pamiers, visiter de la famille que je n’avais pas vue depuis près de quinze ans. Ma cousine Irène et son frère Patrick sont venus me chercher à la gare après un long voyage. « Salut cousine, ça fait un bail !« , m’a lancé Patrick. Il n’avait pas beaucoup changé : un peu de ventre, des cheveux gris, mais toujours ses beaux yeux rieurs et son accent du Sud. Nous avons sauté en voiture, direction leur pavillon et un bon repas. Les jours suivants, le programme a été très sympa : promenades, piscine et bronzette dans le jardin. Irène était drôle et Patrick, attentionné et un poil dragueur. Lorsque nous étions ados, nous avions connu nos premiers émois physiques ensemble : baisers mouillés et pelotage dont je gardais un souvenir ému. Apparemment, lui aussi…
Vers la fin du séjour, un soir, Irène est allée se coucher et Patrick et moi sommes restés dehors, sous les étoiles. « C’est une belle soirée, hein cousine ? » J’ai dit oui de la tête. Il a continué : « Tu te rappelles de cette autre soirée où on a joué tous les deux ? » Amusée, j’ai ri : « Non, pas vraiment. Tu me la rappelles ? » Patrick ne s’est pas démonté, bien au contraire… En me regardant intensément, il a poursuivi : « Eh bien, cousine, je t’ai embrassée cette nuit-là. J’ai mis ma main sous ton T-shirt et j’ai caressé tes petits nichons. Ils ont grossi, depuis… » Lentement, il a approché sa main de mon décolleté, comme pour voir si j’étais d’accord. Excitée par ses paroles, je n’ai pas moufté. Ses doigts se sont glissés sous mon top, comme au bon vieux temps. Sauf que j’avais désormais un homme en face de moi, dont les gestes étaient beaucoup plus sûrs…
Patrick a soupesé mes seins, les a palpés avant de pincer les pointes entre son pouce et son index. J’ai senti mes tétons durcir et mon entrejambe chauffer. Doucement, il a approché son visage du mien et m’a donné un baiser profond, sa langue cherchant la mienne, ses mains pétrissant ma poitrine. « Tu me plais toujours autant, cousine… » Il s’est levé de sa chaise et a commencé à toucher la grosse bosse qui s’était formée dans son pantalon. Lentement, il a baissé sa braguette et a sorti un engin court et épais à la base. « Tu viens, ma belle ? » Il souriait. Au-dessus de nous, un beau ciel d’été et autour, la campagne très calme. En face de moi, ce beau sexe luisant n’attendait plus que moi.
Je me suis levée à mon tour pour m’agenouiller devant Patrick. J’ai léché les petites gouttes qui perlaient de son bout. Un goût fort a envahi ma bouche, Patrick grognait à chaque coup de langue. « Allez, avale-la !« , a-t-il lâché après quelques léchouilles. Je l’ai regardé dans les yeux et j’ai ouvert grand. Mon cousin me l’a alors collée au fond sans broncher, m’empêchant presque de respirer. Les mains sur ma tête, il a commencé à aller et venir entre mes lèvres, pendant que j’aspirais sa pine avec une seule idée en tête : le faire jouir. J’ai pompé de plus belle et, de ma main, j’ai palpé ses prunes bien douces, puis à caresser la zone entre ses burnes et l’anus. Le corps de Patrick a frémi, puis il a penché la tête en arrière. J’étais près du but.
Lentement, j’ai titillé sa rondelle de mon index, un peu, puis plus profondément, jusqu’à entrer la moitié de mon doigt dans son cul. Il était chaud et serré, chacun de mes gestes faisant se contracter son trou de plaisir. Jamais je n’aurais cru que mon cousin aurait aimé à ce point se faire doigter de la sorte ! J’ai enfoncé encore un peu plus, et un râle s’est fait entendre. « Je vais juter ! » Il a sorti sa bite gluante de salive et l’a secouée au-dessus de mon visage. Une véritable pluie de sperme est venue inonder mes joues, ma bouche, mes cheveux. Quel bonheur… Patrick, essoufflé, a lancé en rigolant : « Et ben, cousine, t’es devenue une sacrée suceuse ! » Mes chers interstron.ruistes, il se peut que l’été prochain, je sois de nouveau invitée à Pamiers…
(Photo à la une : Getty Images)
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