Oui coach !

La rédaction 17 avril 2015

Éva, la coloc’ de Lou, une jolie petite blondinette, est coincée à la fac pour préparer un devoir.
Fair-play,elle propose à sa copine de profiter de la séance de fitness prodiguée par Joachim, le beau coach sportif dont elle s’est attaché les services deux fois par semaine. Lou va prendre le terme “profiter” au pied de la lettre !

Comme c’était le cas deux fois par semaine depuis plusieurs mois déjà, Éva avait fait venir Joachim à l’appartement. Ce sublime métis, coach sportif, s’occupait de modeler les formes de ma coloc’.

Aujourd’hui, le beau jeune homme était arrivé en avance et avait entamé son échauffement afin de bander ses muscles. Quel athlète ! Alors que le corps de Joachim commençait visiblement à être chaud de tous côtés, Éva m’a appelée sur le portable pour me prévenir qu’elle ne pourrait pas venir.Elle devait rendre pour le lendemain un exposé très important et serait bloquée à la fac pour toute la soirée. Elle me proposait gentiment de profiter du cours de Joachim à sa place. L’offre était trop belle pour que je la refuse. Par contre, ce serait un cours à ma manière ! J’avais bien vu que, sous ses airs de prof consciencieux et très pro, se cachait un homme au tempérament de feu, tout comme moi.

 Je me suis approchée de Joachim pour lui susurrer à l’oreille que, ce jour, il devait troquer la brunette habituelle pour une petite blonde à l’appétit débordant. J’en ai profité pour passer ma main sur sa bite que j’imaginais déjà bien dure sous son jogging. J’ai délicatement dégagé son bel outil gorgé de sang de son vêtement pour laisser apparaître une tige épaisse et droite. Je le masturbais lentement en le fixant du regard. “J’ai envie d’un cours un peu particulier si tu vois ce que je veux dire !”, lui ai-je soufflé tout en continuant à faire coulisser ma main le long de son sexe. Je scrutais le corps de Joachim.

Ce mec était vraiment une œuvre d’art ! Des muscles divinement dessinés, des abdos taillés dans le roc, des cuisses sublimement galbées et un torse à donner envie de s’y coller. J’ai libéré ma petite poitrine, et Joachim s’est fait un plaisir de frotter sa longue et belle queue sur mes tétons dressés. Je remarquais déjà une gouttelette qui perlait de son gland. Lui non plus n’était pas insensible à mon physique de poupée. “Tu les aimes mes seins, tu as envie de les manger ? Et ma petite chatte, tu voudrais la voir ? Cela te plairait de la goûter et d’y enfoncer ta grosse queue ?”Jo me regardait fixement et paraissait comme hypnotisé par mes mots. J’ai passé un petit coup de langue sur son sexe tendu et j’ai lapé la goutte qui en sortait. “Hum, tu as un goût exquis, j’espère que tes couilles sont bien pleines afin que tu te vides sur mon visage.” Ma phrase de petite garce avait fait mouche…

N’en pouvant plus, Joachim venait de plonger entre mes cuisses pour s’approprier ma chatte fortement humidifiée par la situation. Le beau métis avait posé sa bouche sur le fin tissu en dentelle de ma culotte. Il humait les effluves de ma chatte. “J’adore ! Ta minette a un parfum sucré, ça me rend dingue. J’ai envie de te dévorer avant de m’enfoncer en toi et t’entendre crier comme une petite chienne. J’espère qu’Éva ne sera pas trop jalouse ! – Qui l’informera ?, lui ai-je répondu. Certainement pas moi !” Je savais que, tout comme moi, ma coloc’ avait déjà eu des relations poussées avec le beau coach sportif. Il faut dire qu’aucune fille ne résistait bien longtemps à la plastique et au charme fou de Joachim.

 Il a soufflé délicatement à travers ma culotte et a posé sa bouche sur mon bouton d’amour. Je ruisselais. Je n’attendais qu’une chose, qu’il me libère enfin de ce sous-vêtement et qu’il pousse sa langue entre mes lèvres qui ne demandaient qu’à être dévorées.

 Enfin, il est passé à l’offensive. Il avait libéré mes chairs et enfouissait maintenant sa langue en moi. Il récoltait mon jus et s’en délectait, si j’en jugeais par ses râles d’excitation. Concentrée sur ce bonheur immense, je fermais les yeux, caressant ma poitrine afin de décupler un peu plus encore les frissons de plaisir de ce cunni à même le sol. Jo était très habile de la langue, et ses doigts ne restaient pas inactifs. Il me fouillait. J’ai vite compris que ce mec avait une solide expérience. Le corps des femmes, il le connaissait par cœur. Il poussait deux de ses doigts à une cadence infernale au fond de ma minette tout en appuyant bien fort sa langue sur mon clito en feu. Quelles délicieuses sensations !

DIG_LY1244_100

Très vite, j’en ai voulu plus et j’ai fait comprendre à mon bel étalon que je souhaitais maintenant qu’il me remplisse de sa grosse queue. Je me trouvais dans un tel état à l’idée de me faire baiser là, par terre, que l’imposante tige de Joachim n’a eu aucune difficulté à s’enfoncer en moi jusqu’à la garde. J’ai hurlé lorsque ses couilles sont venues claquer contre ma chatte grande ouverte. “Oui, encore, défonce-moi, oui, allez, défonce-moi, pousse bien ton gros machin au fond de moi, fais-moi gueuler !”

Mes mots subjuguaient Joachim par leur force. Cela donnait visiblement des idées au bel Apollon qui augmentait la cadence entre mes cuisses. Ses coups de reins étaient de véritables coups de marteau, il me défonçait littéralement. Sa queue était un piston qui me faisait décoller. J’ai saisi sa main afin qu’il me pince les tétons. J’adore que l’on me triture les pointes quand on me prend. Cela me fait grimper aux rideaux. Au fond de moi, je me disais qu’Éva avait certainement eu droit au même traitement, peut-être même là, à l’endroit où je me trouvais. Cette idée ne faisait que renforcer une excitation que, pourtant, je pensais déjà à son paroxysme. Je me sentais chienne et j’adorais ce sentiment !

Toujours plus garce, je me suis mise en levrette et j’ai invité Jo à venir se perdre au fond de mes fesses si désireuses de goûter à son pieu. De ma main libre, j’ai écarté mon cul bombé pour faciliter le passage à mon assaillant. Sa queue avait beau être énorme, je n’ai pu réprimer un cri de plaisir lorsque ce membre bien raide a pris possession de mon petit trou.

“Vas-y, mets-moi tout, remplis bien mon cul. Enfonce-toi jusqu’au bout et encule-moi bien fort !” J’étais surexcitée. J’avais envie que tout l’immeuble m’entende prendre mon pied alors que je me faisais fourrer les fesses par ce sublime mec presque inconnu. “Hum, j’adore te défoncer comme ça, s’est exclamé Joachim. Toi, tu es vraiment chaude. Ta copine, elle n’a jamais voulu que je visite ses fesses !” L’idée qu’Éva refuse un truc que j’offrais à Jo dès notre premier corps à corps m’excitait davantage. J’aime jouer les chiennes de service, surtout lorsque mon partenaire est une bombe atomique au corps de rêve.

Afin de profiter encore plus de l’impressionnante taille de sa queue, je me suis installée sur le dos pour me faire pilonner bien profondément. D’une main ferme et vigoureuse, Joachim maintenait mes jambes serrées. Il pouvait ainsi sentir encore mieux l’étroitesse de mon petit boyau. “Hum, tu es trop bonne, j’adore te baiser. C’est trop bon d’être dans ton cul. On peut dire que tu aimes ça toi la queue !” Oh que oui, j’aimais ça ! Et la vie est bien trop courte pour que je refuse d’en profiter. Le sexe, lorsqu’il est bien fait, est quand même la chose la plus jouissive du monde.

Alors pour quelle raison devrais-je m’en priver ? Secrètement, je me disais que le dossier que préparait Éva avait été une véritable aubaine. Joachim m’avait déjà tapé dans l’œil avant de me taper ailleurs. Mais Éva semblait en avoir fait sa chasse gardée. Aujourd’hui, c’est moi qui croquais le magnifique gibier. Avec sa condition physique, Jo ne mollissait pas et ne faiblissait pas de rythme alors qu’il s’activait toujours au fond de mon petit cul.

DIG_LY1244_221

Soudain, un orgasme d’une puissance incroyable m’a traversé le corps et j’ai hurlé sans pouvoir contenir les spasmes qui me parcouraient.

Comprenant que la visite de mes fesses était maintenant terminée, Jo est venu placer son énorme queue au-dessus de mon visage. Je l’ai engloutie, l’invitant à se masturber dans ma bouche offerte. Je n’ai pas été bien longue à récolter les fruits de ma succion. Le coach sportif a déversé de puissants jets tièdes et crémeux au fond de mon gosier. Je les ai avalés, profitant de cette délicieuse source de protéines. Son sperme était sucré, un vrai nectar. Après ce corps à corps torride, nous avons pris une douche coquine et tendre tous les deux, avant qu’il ne file pour un autre rendez-vous. Maintenant, secrètement, il me donne à moi aussi des cours particuliers chez lui. Et, à ce qu’il dit, je progresse très rapidement.


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • Jaya

    Superbe récit

interstron.ru