Une petite prof coquine
1 mai 2020Didier, Bordeaux.
Ma fille est au collège et il m’arrive d’aller rencontrer ses professeurs. Parmi eux, sa prof’ d’arts plastiques est une vraie bombe ! Une oeuvre d’art à elle toute seule. Une « plastique« … de rêve, toujours mise en valeur par des vêtements bien choisis : jupe plutôt courte sur des jambes à faire rêver ; poitrine bombée dans un chemisier plutôt déboutonné, regard de braise, etc. Quel cul, également, quand elle est de dos. Lors de la dernière réinterstron.ru parents-profs (vous pensez bien que je n’allais pas rater ça), j’ai trouvé une clé USB dans la cour. Je m’étais dit que j’allais la remettre au secrétariat lorsque j’ai entendu au micro du collège une annonce disant qu’une clé USB avait été perdue et qu’il fallait, si on la trouvait, la ramener à la prof d’arts plastiques qui serait très heureuse de la récupérer !
Instinctivement je l’ai serrée dans ma main, et j’ai décidé de regarder ce qu’elle contenait avant de la restituer. Les gens mettent sur ces clés des choses tellement personnelles… Cela a éveillé mon esprit voyeur. Je ne savais pas encore que je venais de trouver un trésor. Outre les fichiers contenant ses cours au collège, il y avait plusieurs fichiers (photos et vidéos) intitulés « Vacances à Arcachon« , « Forêt Mérignac« , « Soirée cadeau« , « Plage Landes« , entre autres. Uniquement des photos ou des scènes où elle apparaissait quasiment à poil, sinon complètement nue et très souvent en pleine action. Je n’en croyais pas mes yeux. « Vacances à Arcachon » : c’était un vrai strip-tease, où elle enlevait ses vêtements un par un, avant de se retrouver en string, de dos, cambrée en train d’écarter ses fesses à pleines mains pour montrer la ficelle dans sa raie. Elle finissait en nu intégral, jambes écartées. Mais cette fois-ci, avec ses mains, elle écartait l’ouverture de sa chatte en souriant face à l’objectif. Et que dire de sa magnifique poitrine ! J’avais déjà l’érection du siècle.
« Forêt Mérignac » on la voyait (au début) avec une petite robe sage boutonnée sur le devant, se promenant en forêt (j’avais déjà vu cette robe au collège). Sur les photos suivantes, elle déboutonnait sa robe, puis elle l’écartait entièrement. Dessous elle ne portait qu’un string et pas de soutien-gorge. La robe finissait par terre. Puis, la petite prof se retrouvait attachée, les bras dans le dos et les yeux bandés. Ensuite, on voyait un homme de dos. Selon les photos, il lui caressait les seins, ou lui pétrissait les fesses. Il lui mettait même une main dans le string pour lui caresser la chatte. Sur celle-là, elle ne souriait plus, tout à coup. Enfin, l’homme l’a déculottée pour la tripoter encore plus à son aise, lui écartant les jambes avant de la faire s’agenouiller. Sur les photos suivantes, elle suçait la queue qu’il lui présentait, puis elle se penchait en avant pour se faire prendre en levrette. La dernière image la représentait en gros plan, toujours avec son bandeau sur les yeux. On voyait du sperme au-dessus de ses seins. Puisque manifestement, ce n’était pas le photographe qui l’avait baisée, j’ai imaginé que peut-être elle-même ne savait pas à qui elle s’était offerte (ou soumise !).
Dans le fichier « Soirée cadeau« , on se trouvait dans un appartement. On distinguait plusieurs personnes en tenue de ville, dont trois femmes. Je ne reconnais que ma petite prof. Là aussi, les vêtements tombaient vite, la lingerie de ces dames était magnifique. La soirée portait bien son nom les « cadeaux », c’étaient les femmes et elles allaient offrir leurs orifices à ces messieurs… À volonté ! Une queue dans la bouche, pendant qu’une autre leur bourrait la chatte ou le petit trou… Une partouze dans toute sa splendeur.
« Ma » prof’ n’était pas en reste. Elle était très active même ! On la voyait sucer deux hommes en même temps, se faire sodomiser ou lécher une autre femme. J’ai beaucoup aimé la photo où on la voyait avec les deux autres de dos, à genoux, cambrées, cuisses écartées. Elles avaient la tête tournée vers l’objectif avec un magnifique sourire, mais moi, je ne regarde que le petit trou bien ouvert et la chatte très apparente de ma petite prof’. Les trois femmes étaient offertes pour une bonne levrette à qui le voudrait. Appétissant, n’est-ce pas !
J’ai copié tous les fichiers et j’en ai fait une sauvegarde (sécurité, sécurité !) avant de lui rendre sa clé USB, en lui disant : « J’imagine que ça doit être important pour vous de la récupérer… » Que de sous-entendus ! Quand elle l’a prise, j’ai senti sa main frémir, elle a également légèrement rosi et son sourire était un peu crispé. Elle se posait certainement une seule et unique question : avais-je regardé ou pas ? Elle, qui était apparemment plutôt exhibitionniste et libérée, était-elle gênée de s’être éventuellement exhibée devant un parent d’élève ? Et, si oui, est-ce que j’allais la dénoncer ? Depuis, quand on se parle au collège, elle bafouille toujours un peu…
(Photo à la une : Getty Images)
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