La veuve joyeuse

La rédaction 19 juin 2021

« Ce jour là, mon beau-frère était venu chez moi. J’étais en nuisette. Je voyais que je l’excitais… puis un livreur est arrivé. » Valérie, 48 ans, Dieppe.

Je me présente : 1m70, 50 kg, 95 cm de tour de poitrine, mon prénom c’est Valérie et je mène une vie tranquille de veuve depuis dix ans tout en prenant soin de moi malgré mes 48 ans ! Voilà mon histoire de sexe. Je ne pensais pas au sexe, une femme peut s’en passer. Et puis voilà qu’un de mes beaux-frères commença à passer me voir de temps en temps, il venait de prendre sa retraite à 57 ans, sa femme continuant à travailler. Il passait régulièrement prendre son café ou m’apporter des légumes. Après plusieurs visites, j’ai vu qu’il se rapprochait de moi, qu’il faisait des allusions sur mes tenues, sur mon physique qui lui plaisait, et ce n’était pas pour me déplaire non plus.

Un jour, j’ai décidé de voir comment il allait se comporter. J’ai enfilé une robe tube un peu transparente, sans soutien-gorge. Je le sentais perturbé, mais il ne bougeait pas… Il devait avoir une sacrée trique. Je présume qu’il a dû se branler en pensant à moi après ça… Mais je ne suis pas une petite joueuse. Un matin, il est venu prendre un café très tôt, je venais de me réveiller. Il s’est annoncé à l’interphone, je lui ai dit de monter. Je me suis décidée pour une nuisette très courte et nouée devant. J’étais nue en dessous. Alors que je me dirigeais vers la cuisine pour lui préparer un café, il m’a suivie. Malgré la ceinture de ma nuisette, les pans baillaient et l’on pouvait apercevoir mes seins balloter… Allait-il faire le premier pas ? Eh bien non.

Je lui ai proposé d’aller au salon, je me suis installée dans le canapé face à lui, les jambes allongées, je le voyais me regarder. J’ai prétexté aller chercher du sucre et j’ai nonchalamment posé une jambe par terre, l’autre sur le canapé, ma nuisette s’est ouverte sur ma faune. Tout en regardant, il m’a fait remarquer : « Le gazon est bien tondu », j’ai juste répondu « Oui, tu aimes ? – Oui, j’adorerais toucher ». Alors, je me suis approchée de lui, il a posé sa main. Je frissonnais, allait-il enfin me prendre ? Son sexe devait être dur. Je lui ai fait une bise sur la bouche. Le pauvre, il ne savait plus quoi faire. Je devenais une joueuse, une allumeuse. Ma foune devait être trempée, j’adore mouiller. Ma chatte me chauffait, et lui, qui m’émoustillait, ne bougeait même pas… Zut alors, maintenant il était au pied du mur ! Je voulais qu’il me baise comme sa pute de belle-soeur, celle dont il avait envie mais qu’il n’osait pas prendre. Je désirais qu’il me prenne comme une salope.

Sur ces entrefaites la sonnette a retenti : un livreur qui m’apportait une table que j’avais commandée par Internet. C’était un jeune homme d’une trentaine d’années, mince, d’origine maghrébine. Il m’a demandé où poser le carton et je lui ai indiqué le salon. Je devais contrôler le bon état de la marchandise. Je me suis penchée pour arracher le carton. Je sentais bien qu’il me matait. Je nie suis mise accroupie et là, ma nuisette s’est ouverte. Les deux hommes étaient aux anges. Le livreur m’a dit « Vous êtes belle et vos seins sont beaux et gros comme j’aime. » Ce à quoi j’ai répondu : « Eh bien, vous êtes deux à me le dire aujourd’hui. »

Le pantalon du livreur était bien rempli, un monstre, quel engin ! Je sentais bien qu’il n’avait pas envie de partir et qu’il voulait encore voir mon corps. Il m’a proposé : « Vous enlevez votre nuisette et je vous monte votre table. – Ok, je vais prendre une douche et je reviens. » Une fois sous la douche, ma main s’est posée sur mon sexe, j’étais trempée. Je me suis séchée, j’ai mis de l’huile d’argan sur mes lèvres, mes fesses, tout le long de ma raie. J’étais bien. J’ai remis ma nuisette et suis revenue dans le salon où les deux hommes montaient la table. Un marché est un marché. Ils étaient au travail, il était temps que j’enlève ma nuisette devant eux. Hop, à poil !

Nous avons fait les présentations. Après un petit moment, je leur ai proposé un café qu’ils ont accepté. Je suis passée devant Medhi pour poser la tasse et celui-ci en a profité pour passer sa main entre mes jambes. J’ai senti ses doigts qui cherchaient à me pénétrer. J’ai légèrement bougé et son doigt est vraiment entré dans ma faune. « Tu aimes ? » Je lui ai fait signe de la tête que oui, j’aimais. Medhi a demandé à mon beauf « Tu ne la touches pas ? – Si. » a-t-il répondu d’une voix basse. Je l’ai regardé et l’ai encouragé : « Ose. Je t’accorde tout et je ne dirai rien. » Il s’est levé et il est venu près de moi. Ses mains m’ont caressé les seins. Il avait les mains d’un agriculteur, bien rugueuses. Je lui ai caressé la bite à travers son pantalon, elle n’était pas très grosse, mais je le déboutonnais enfin ! Il a sorti sa queue et me l’a engouffrée dans la bouche. Medhi s’est levé, il a mis une capote et m’a pénétrée. Elle était longue, comme c’était bon de se faire deux mecs ! Pourquoi avais-je perdu tout ce temps ? Medhi a commencé à me parler avec des mots crus du genre, « Tu aimes salope ? Tu aimes le beur qui te bourre ? Suce René, vas-y lèche-le, vide-le, oh je vais t’enculer ». J’aimais cela, il fallait que je garde ces deux mecs.

Je commençais à vraiment prendre du plaisir. Medhi m’a dit « Je vais m’asseoir sur le canapé, toi tu vas venir sur moi à quatre pattes et René t’enculera. » Je ne pouvais refuser, il fallait que je les garde. Cela allait être une première ! Après m’être assise, René est venu derrière moi, il a mouillé sa queue et me l’a présentée. Je sentais son gland, je bougeais tout doucement. Elle est entrée. C’était curieux comme impression, mais bon. Mon beauf me demande : « Tu aimes ? – Oh oui ! » Je me faisais labourer. Je me suis surprise à dire : « Vas-y enfonce, bourre-moi plus fort encore ! » J’étais en sueur. Les deux garçons arrivaient au point de non retour. René s’est vidé sur mon dos. Medhi s’est mis debout, a enlevé sa capote et m’a ordonné « Ouvre la bouche », ce que j’ai fait. Une énorme giclée m’a recouvert le visage, pas mauvais ! Une affaire à suivre, me suis-je dit.

Medhi et René ont échangé leur numéro de téléphone, puis Medhi est reparti faire ses livraisons. Mon beauf est retourné dans sa campagne. J’ai pris une douche et suis allée me chercher des tenues sympas afin de les recevoir correctement la prochaine fois. Après une semaine, René m’a appelée et m’a très franchement proposé d’aller à l’anniversaire de Medhi un après-midi où il y aurait ses potes… Mais il y avait une condition : que j’y aille seulement vêtue d’un imper et de talons. Je lui ai dit : « D’accord, je vais m’éclater… Ou me faire éclater, et j’aime ça ! »

(Photo à la une : Getty Images)

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