Surf mon canapé

La rédaction 10 janvier 2021

Lisa, 22 ans, accueille un bel américain en couch-surfing. Elle compte bien coucher avec lui alors en pleine nuit elle décide de se faufiler dans ses draps.

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Je me suis inscrite sur un site de couchsurfing (ça veut dire « surf de canapé »). En gros, ça consiste à se faire loger gratos d’un bout à l’autre du monde, et d’accueillir sur son canapé, en retour, des gens de la planète entière. Ce n’est pas risqué, parce qu’on peut vérifier le profil de la personne qui vient chez vous ou chez qui on va, lire les commentaires que les gens ont laissés.

Bref, ça permet de voyager pas cher et de faire des super rencontres. Un jour, un type de San Diego m’a écrit pour savoir si je pouvais l’héberger à Nantes. Il avait 31 ans (moi, j’en ai 22), était journaliste, et il faisait « un tour des canapés de France« , comme il me l’a écrit avec humour.

Je suis allée regarder son profil : à chaque fois, il n’avait que des commentaires élogieux des gens chez qui il avait été dormir ou qu’il avait accueillis chez lui, en majorité des filles, d’ailleurs. Donc je lui ai répondu qu’il n’y avait pas de problème.

Il a débarqué avec une bouteille de vin dans la main, un bouquet de roses dans l’autre. C’était vraiment charmant. Le truc, c’est que je venais de me disputer avec mon copain. Il m’avait pris la tête au téléphone, du genre : « C’est dangereux« , ou encore « Je ne veux pas que tu héberges des garçons, juste des filles. »

Moi, ça m’avait trop énervée. Surtout que notre couple était encore fragile, parce que Rémi, mon mec, m’avait trompée dans une soirée avec une grosse salope, connue pour se taper tout ce qui bouge. Il était vraiment mal placé pour me reprocher des trucs que je n’avais même pas encore faits ! Heureusement, la bonne humeur de Craig, mon couchsurfer, était communicative. J’ai sorti des gâteaux apéro, puis on a ouvert la bouteille et discuté de nos vies respectives.

L’Américain me troublait. On était côte à côte sur le canapé, je m’étais lovée contre lui, je sentais que la situation allait dégénérer. J’attendais qu’il fasse le premier pas quand soudain, il s’est levé et m’a demandé où il allait dormir! J’étais sur le cul, totalement dégoûtée. Je croyais qu’on avait construit une certaine complicité, je m’étais résolue à coucher avec lui, même si je me sentais coupable. Mais il s’avérait que j’avais tiré des plans sur la comète, et que je ne plaisais pas du tout à Craig.

Je lui ai montré sa chambre, en essayant de ne rien laisser paraître de mon dépit, et je suis allée me coucher moi aussi, un peu amère. Évidemment, je n’ai pas réussi à m’endormir tout de suite, au contraire. Je me suis tournée et retournée dans mon lit.

A la fin, j’ai craqué. J’ai ôté ma chemise de nuit, j’ai traversé mon appart à poil et je suis allée me coucher aux côtés de Craig, qui dormait déjà profondément. J’étais bien avancée. Grand moment de solitude, dans le lit, les bras croisés, réfléchissant à ce que je devais faire. Finalement, je n’ai rien tenté, et je me suis assoupie à ses côtés. J’ai été réveillée par des mains chaudes qui montaient et descendaient sur mon corps.

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Immédiatement, j’ai mouillé. J’ai ouvert les yeux, Craig était au-dessus de moi, avec le pénis en équerre. J’ai juste écarté les jambes et lui, tout en me pelotant les seins, il est entré. Ça m’a fait un peu mal, j’étais encore à moitié endormie. Mais Craig y allait tout doucement, millimètre par millimètre, mes chairs lui laissaient juste la place de rentrer par petites poussées successives.

Des vagues de bien-être envahissaient mon corps. Je sentais son odeur du matin qui était loin d’être déplaisante. Je lui ai fait plein de petits bisous dans le cou alors qu’il continuait sa lente progression à l’intérieur de mon vagin, qui décidément ne se desserrait pas facilement. Il faut dire que Craig, qui était d’ailleurs circoncis, était ce qu’on appelle un homme très bien monté…

Plus en largeur qu’en longueur. Tout ce que j’aime. Enfin, j’ai senti son pubis cogner contre mon mont de Vénus, son ventre collé au mien, et c’est moi qui lui ai fait l’amour. J’ai enserré sa taille de mes cuisses, j’ai croisé mes mollets au-dessus de son dos, et je lui ai donné des coups de hanches. Mon clitoris se frottait contre la peau de son bas-ventre, les sensations étaient exquises. Craig s’est mis à m’embrasser sur la bouche, des baisers très chastes par rapport à ce qu’il était en train de me faire.

On a fait l’amour à ce rythme doux quelques minutes, et ensuite, on s’est lancés dans une folle chevauchée. Craig a intensifié ses va-et-vient. Je pouvais entendre le clapotis régulier de son bâton de chair dans mes entrailles. J’ai eu un petit orgasme, intense mais trop court. J’en voulais plus.

On a roulé sur nous-mêmes, et je me suis retrouvée montée sur lui. J’ai écarté les jambes de chaque côté, et j’ai effectué des mouvements de bassin d’avant en arrière. Sa bite était tellement profonde en moi que ça me faisait presque mal, mais le plaisir était encore plus intense que la douleur.

Mes lèvres, mon clito caressaient la peau de Craig. Quand il m’a immobilisé les hanches pour me bourrer très fortement, l’explosion de ma jouissance a été totalement incontrôlée. Mes oreilles ont même bourdonné, et j’ai dû me reposer un peu, toute tremblante du plaisir dévastateur qui venait de m’envahir. J’étais dos à Craig. sur le côté, et il a fini par s’encastrer en moi en cuillère.

Quelques petits coups, et il a tapissé mes parois de son sperme moelleux. Quand il est sorti, il était encore un peu dur, et j’ai fait la toilette de sa queue avec ma langue. Nos deux goûts mêlés m’ont à nouveau beaucoup excitée, mais il était 10 heures du matin et Craig devait bientôt repartir. En le câlinant, je lui ai demandé pourquoi il ne m’avait pas fait d’avances. Il m’a répondu que c’était le gros cliché du type qui pratique le couchsurfing pour baiser, et que ça dénaturait l’esprit du truc.

Je lui ai objecté que ce n’était pas si mal de le pervertir un peu, et que j’irais le voir à San Diego dès que je pourrais… Et tant pis pour Rémi.

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